katou Vu le fort impact psychologique de ces interventions, chirurgiens et psychiatres se réunissent afin d’évaluer le ou la patient-e. S’engager dans un processus de changement de sexe représente un long parcours, qui implique un traitement lourd, ne se résumant pas uniquement à l’opération. Nos spécialistes doivent donc s’assurer de la réelle motivation du ou de la patient-e.
https://www.chuv.ch/fr/cpr/cpr-home/patients-et-familles/chirurgie-transgenre/
Essayons de voir la logique qui a prévalu dans la décision qui a été prise pour cet (cette ?) enfant.
Du point de vue médical, il a du être considéré que la réassignation de genre sera plus réussie en y procédant tôt, en effet il.elle aura la morphologie, la voix du sexe auquel il... aura été assigné et ne sera donc pas repérable contrairement a ceux opérés plus tard, il suffira d'un traitement hormonal.
Par contre pour, les parties génitales, le résultat ne sera pas très satisfaisant et pour la reproduction, zéro.
Mais ce n'est pas qu'une question médicale, a-t-on sérieusement considéré des alternatives ? On a du considérer que cette "dysphorie de genre" était définitive, mais les petits enfants ont parfois des lubies ...
Il y a clairement dans l'exemple cité un aspect idéologique qui a conduit à privilégier une logique, une décision plutôt qu'une autre.