un aperçu
Parmi les personnes qui ont soutenu Trump, il serait plus rapide de dresser la liste de celles qui n'ont pas encore été poursuivies que le contraire.
Les Démocrates ont tout mis en œuvre pour que les élections de novembre se déroulent autour du thème de l'avortement, mais les sondages montrent que l'inflation inquiète davantage les Américains. Parallèlement, les 40 milliards d'aide à l’Ukraine irritent l'opinion publique.
En plus, l'échec de Biden à faire plier le prince Al Saoud afin qu'il augmente la production de pétrole va peser sur la décision finale des électeurs.
Les Démocrates agitent aussi le vieux hochet "Trump pire que tout", accompagné du narratif inversé "Trump et ses alliés ont pris part à des activités criminelles dans le but de renverser Biden et son gouvernement démocratiquement élu", ou le petit dernier: "Trump a menti sous serment", espérant que la majorité des électeurs soient suffisamment abrutis pour intérioriser les injonctions.
La haine de Trump dans les médias a atteint de telles proportions que beaucoup d'électeurs américains ont développé un réflexe de Pavlov: rien qu'en entendant son nom, ils ont une réaction de rejet.
La mentalité américaine fait que les gens ne se préoccupent pas tellement des guerres que leur pays mène, tant que leurs proches ne sont pas envoyés au combat et que leur niveau de vie n'en souffre pas. "La vie des Noirs compte", ont beuglé les foules durant des mois en battant le pavé. Pour ces mêmes, la vie des Russes, des Ukrainiens et celle des Européens, c'est le cadet de leurs soucis.
L'Europe fait face à une crise économique majeure, à l'invasion migratoire, qui amènera en plus le terrorisme, mais l'islamisation de l'Europe reste la conséquence la plus grave de notre soumission aux atlantistes.
Et comme si cela ne suffisait pas, le risque existe que la guerre déborde sur l'Europe occidentale.
En effet, la Russie a déclaré que l'Europe fait partie des belligérants et que la guerre risque à présent de s’étendra sur son territoire: