[supprimé] Soit on prend le pari de l'humain, et on conçoit des structures pour donner des chances de réussite à cette inclination sociétale, sachant qu'avec celles en vigueur actuellement, c'est une gageure.
Soit on ne croit pas en l'humain, c'est-à-dire qu'au fond on ne croit pas en soi-même, et il ne reste plus que l'éradication systématique des "contraires" pour maintenir un ordre social. Mais si l'homme se donne le droit de supprimer celui qui contrevient, nul est alors à l'abri.
"Croire en l'humain" : bla-bla décadent sans aucun intérêt. Parler de solutions pour la délinquance sans parler d'immigration, c'est parler de quelque chose qui a lieu quelque part, peut-être sur la planète Mars, mais pas dans la France actuelle.
Parler de délinquance sans parler d'immigration, c'est vouloir écoper l'eau avec un dé à coudre sans se préoccuper du trou béant dans la coque.
Moi aussi je crois en l'humain : je crois en l'humain qui n'a rien demandé à personne et qu'on doit empêcher de se faire tabasser, violer ou tuer par l'humain qui devrait être en prison, et même qui n'aurait pas du se trouver en France.
