Poufpouf C'est en effet très maladroit. Il aurait du évoquer la xénophobie, qui est une tare. Macron nous a habitués aux dérapages verbaux de ce genre. Trop bavard.
nationalisme, on sait tous ce que ça veut dire aujourd'hui.
Macron ne s'est pas trompé de langage, et cela fait longtemps qu'il parle de cela.
A savoir que les nationalismes -synonymes de populisme, vu le cours des choses, mettent en péril beaucoup de choses et il n'a pas évoqué cela que pour la France, c'est un sujet global et en particulier très européen.
Il est évident qu'en 1914, un certain nationalisme en Europe était puissant.
Idem pour 1938.
Donc macron a très bien visé et très bien choisi ses termes/
La belle époque de Valmy 1792 date un peu, hein.
et avec le phénomène zemmour et consort, macron sait très bien comment faire référence à ce sujet.
En outre, Mr Macron semble désireux d'entrer en campagne présidentielle prochainement.
Jouer la carte du réalisme face au nationalisme grimpant est loin d'être une stupidité politique.
Par conséquent, je ne vois strictement rien à lui reprocher sur ce choix des mots.
Si macron veut se la jouer unique rempart face au fléau du nationalisme montant, il en a bien le droit, et si certains jugent que c'est pas très fairplay de sa part pas très moral, si vous voulez on peut parler de Monsieur Mitterrand qui donne carte blanche à le pen, et qui appelle antenne 2 pour demander à François Henri de Virieux d'inviter Le Pen à son émission, car il fait partie prenant du paysage politique français "maintenant".
En jouant ainsi, mitterrand savait qu'il enterrerait le PC et qu'il coincerait Chirac entre Barre et Le Pen.
Alors, pardon, mais si Macron s'amuse à jouer sa petite muraille morale contre la montée des populismes, c'est au plus, un abus de profiter d'une situation de facilité.
Mais, après avoir subi 72 week ends de ravagés jaune fluo, plus 22 mois de pandémie mortelle, il a bien le droit de souffler et donc de se faciliter le job pour sa réélection