christianne Une épidémie qui n'est pas freinée croit de manière exponentielle. On peut discuter la technique employée, qui n'est peut être pas optimale, mais laisser faire est impossible. Voir la catastrophe brésilienne, qui a de surcroît favorisé l'apparition d'un nouveau variant. N'oublions pas non plus le fait que le nombre de lits en réa est plafonné à 5000. Enfin, à chaque confinement, l'épidémie a régressé. S'agissant des décès par cancer ou crise cardiaque, on en aurait eu encore plus si on avait laissé faire. Votre argument est donc invalide. Pour soigner les cancéreux, on a besoin de lits d'hôpitaux.