[supprimé]
Elle pleurait tous les soirs, à être contrainte de débrancher, et eux, ne pratiquaient pas la chloroquine mais l'assistance respiratoire. Dans les cas grave, la chloroquine n'a rien de vraiment concluant!
Les hôpitaux ne prenaient dans leurs services lors de la première vague que les individus en détresse respiratoire, soit ceux qui subissaient le fameux orage cytokine ou encore flambée inflammatoire observée après huit jours chez certaines personnes.
La HCQ n'avait plus aucun effet puisque ce médicament est avant tout un antiviral. L'effet immunomodulateur est secondaire alors. Il faut passer aux corticoïdes et aux anticoagulants. On ne retrouve souvent plus le virus quand la personne décède.
D'où l'escroquerie à inclure dans certains protocoles la HCQ en deuxième phase et non au début de l'infection. Le tout pour discréditer notre bien aimé professeur Raoult
Sérieusement, je comprends ton infirmière qui pleurait. Devoir débrancher certaines personnes est terrible. Tu remarqueras que sur la video que j'ai mise plus haut, le médecin (ou une infirmière) pleure quand on lui dit de ne pas traiter le malade.
Aujourd'hui, on n'intube plus les patients comme lors de la première vague, on les traite par oxygénothérapie avec lunettes ou masque selon la gravité. Les patients dont l'état général était déjà dégradé (âge, comorbidités..) ne pouvaient supporter l'intubation.