• [supprimé]

[supprimé]

Absolument pas. Tant qu'on oblige pas les Francais qui ne souhaitent pas se faire injecter ce truc à se le faire injecter, toutes les solutions sont bonnes, y compris donner les doses à des pays crédules qui veulent refourguer ça à leur population.

  • [supprimé]

690 Ce n'est rien, pas plus que les Gilets Jaunes.

    • [supprimé]

    [supprimé]

    Même moins que les GJ pour le moment. Mais ça va monter en puissance. Sachant que les GJ ça avait commencé en automne/hiver alors que là nous sommes en pleine période estivale. La RF en 1789 ça avait d'ailleurs commencé en plein été. Il n'y a pas de saison pour lutter pour la liberté et résister à l'oppression.

    • [supprimé]

    Je comprends ces manifestants pour la liberté, de quel droit l'état nous impose à prendre des soins dont on peut ne pas vouloir ? C'est exactement ce qui se passe dans les soins sous contrainte en psychiatrie. Ca s'appelle des soins sous contrainte. Une violation de la liberté des individus. Ni plus ni moins. Et quand on viole le droit inaliénable de tout homme à la liberté, il est même du devoir des individus de se révolter contre cet état de fait.

      • [supprimé]

      • Modifié

      [supprimé] La société a le droit de se protéger contre des dangers publics psychiatriques ou sanitaires.
      La liberté n'est pas un absolu, même dans la DDHC.

        • [supprimé]

        • Modifié

        [supprimé] « La liberté consiste à pouvoir faire tout ce qui ne nuit pas à autrui » (article4 de la DDHC de 1789).

        Votre liberté de ne pas être vacciné nuit à autrui, et porte atteinte au droit à la sûreté qui fait également partie des droits naturels. Ainsi la loi peut restreindre les libertés pour garantir la sûreté et l’ordre public.
        La restriction est bien légitime.
        Inaliénable ne signifie pas qu'on ne peut pas restreindre ces droits pour des motifs légitimes, ouvrez un dico ou un manuel de droit constitutionnel merci.

          [supprimé] Votre liberté de ne pas être vacciné nuit à autrui, et porte atteinte au droit à la sûreté qui fait également partie des droits naturels. Ainsi la loi peut restreindre les libertés pour garantir la sûreté et l’ordre public.
          La restriction est bien légitime.

          Cet argumentaire a déjà été démonté maintes fois.
          La situation ne justifie pas de restrictions à la liberté d'aller et venir, d'accéder aux lieux publics, commerces, etc.
          Si on avait affaire a une épidémie hautement mortelle type ebola, variole, choléra, on pourrait en discuter, mais là ce n'est pas le cas.

          Puisque votre camp politique assume les restrictions totalitaires liées au pass sanitaire, je présume que vous assumerez aussi d'avoir instauré un rapport de forces qui débouchera assurément sur une révolte populaire.
          Si par exemple, une grande partie des non-vaccinés, soutenus ou non par les syndicats, décidait de se coordonner afin d'entamer une grève, le PIB du pays ferait une chute vertigineuse en deux jours. On verra si vos grands principes totalitaro-sanitaires vous tiennent vraiment à coeur a ce moment là.

          • [supprimé]

          [supprimé] le non-vacciné transmet 7 fois plus le virus que le non-vacciné, et comme il est sujet aux formes graves de la maladie il encombre les hôpitaux et les services de réanimation en mettant sa propre vie en danger aux frais du cotisant et du contribuable. Le non-vacciné au seul titre du 1er point est un empoisonneur et un criminel.

            • [supprimé]

            [supprimé]

            On ne juge pas un coupable par des probabilités, mais par des faits culpabilisants notoires. Jusqu'à preuve du contraire, le non vacciné est innocent de toute culpabilité. Là est la différence. C'est pareil pour juger de la dangerosité d'un patient psychiatrique qui n'a commis aucun délit condamnable par la loi.

              [supprimé] Le non-vacciné au seul titre du 1er point est un empoisonneur et un criminel.

              A la lumière des récents développements en Angleterre, en Israël et en Australie, ce sont plutôt les vaccinés qu'il convient d'isoler et de traiter.

                • [supprimé]

                [supprimé] aux frais du cotisant et du contribuable

                Ah bon je ne côtise pas? Je paie l'IRPP, la taxe foncière, la taxe d'habitation, la TVA, la CSG, la CRDS, ...
                Si tu veux m'exclure des soins il faut aussi m'exclure des cotisations.
                Plus sérieusement c'est toi qui coûte du pognon à la CPAM et moi qui devrait prendre des risques avec un produit expérimental. Remets les choses à l'endroit, gros!

                Monarch

                Toujours aussi fameuses, vos sources : un type incapable de traduire corectement le titre d'un article de journal en anglais.

                [supprimé] Votre liberté de ne pas être vacciné nuit à autrui, et porte atteinte au droit à la sûreté qui fait également partie des droits naturels. Ainsi la loi peut restreindre les libertés pour garantir la sûreté et l’ordre public.

                le non vacciné ne porte atteinte à autrui que s'il est malade et ne se confine pas et contamine les autres ! comme celui qui roule à 200 à l'h

                https://covidtracker.fr/

                les chiffres de covid-tracker sont ridicules en comparaison avec les chiffres d e l'an dernier! on met les P-O en écarlate alors que les chiffres sont les suivants dans tout le département!
                168 cas quotidiens
                0 décès
                56 personnes hospitalisées le 17 7
                6 personnes en réa actuellement

                Haute corse: en écarlate
                48 cas quotidiens
                7 personnes hospitalisées
                1 personne en réa
                0 décès

                De qui se moque t on!! précision ce site est devenu le site valorisé par Macron ce n'est pas un site complotiste

                [supprimé] il encombre les hôpitaux et les services de réanimation en mettant sa propre vie en danger aux frais du cotisant et du contribuable.

                Que penser de la prise en charge médicale des séropositifs ayant pratiqué le barebacking, malgré les diverses campagnes de prévention en faveur du préservatif ?
                Quid du paiement des soins des grands blessés de la route qui auraient dépassé les limites de vitesse, grillé un feu rouge ou commis toute autre infraction ayant directement causé l'accident ?
                Que penser de la prise en charge des soins des obèses qui ne suivent pas les recommandations sanitaires au sujet de la nécessité de s'alimenter de manière équilibrée ?
                Doit on continuer à rembourser les soins des fumeurs traités pour un cancer du poumon ? Après tout, de quel droit ces gens occuperaient-ils un lit alors qu'ils se sont mis eux-mêmes dans cette situation ?

                Les covidistes qui réclament un régime d'exception contre leurs "ennemis désignés" ne se rendent pas compte que leur logique peut se retourner contre eux à tout instant.

                Dans le même temps l'UE confirme que la vaccination n'est pas obligatoire et ne doit pas être forcée par tout moyen de pression.
                Et comme les décisions Européenne priment sur les lois nationale, cet état de fait imposé en France est illégal.
                ///Insulte, diffamation.

                Je constate avec grand plaisir que la résistance citoyenne est en train de se mettre en place pour contrer ce "gouvernement" qui joue ouvertement contre le peuple.

                • [supprimé]

                • Modifié

                [supprimé] vous étalez encore votre insuffisance. La loi de janvier 1995 établit le "risque de nuire à autrui".

                Article 223-1Version en vigueur depuis le 19 mai 2011

                Modifié par LOI n°2011-525 du 17 mai 2011 - art. 185

                Le fait d'exposer directement autrui à un risque immédiat de mort ou de blessures de nature à entraîner une mutilation ou une infirmité permanente par la violation manifestement délibérée d'une obligation particulière de prudence ou de sécurité imposée par la loi ou le règlement est puni d'un an d'emprisonnement et de 15 000 euros d'amende.