Gregory-1978 Les Hussards noirs de la République savaient comment faire, mais c’est un savoir qui s’est perdu, il va falloir faire appel au bureau d’études McKinsey pour retrouver ce savoir-faire.

themis-301 *Et oui pour des raisons idéologiques de prétendu égalitarisme on a tout sacrifié en France.*

Patrice Caine, PDG de Thales : «Il n'y a pas suffisamment d'ingénieurs et de scientifiques en France»
https://www.lefigaro.fr/societes/patrice-caine-pdg-de-thales-il-n-y-a-pas-suffisamment-d-ingenieurs-et-de-scientifiques-en-france-20220331

En effet : on a voulu niveler par le bas, pour ne pas déplaire aux classe "défavorisées", ce qui est à mon avis une erreur : il faut offrir le meilleur à tous, et savoir débusquer les talents de chacun, qui ne sont pas forcément scolaires...Mais le niveau actuel, au final, est accablant !

L’éducation nationale demande aux collégiens s’ils sont homme, femme ou « autre »

Les élèves de 3ème sommés de se déclarer homme, femme ou « autre » par l’éducation nationale
Communiqué de presse Juristes pour l’enfance 1er avril 2022

Le Ministère de l’éducation nationale adresse aux élèves de 3ème des collèges français un test d’anglais intitulé « Ev@lang collège ».

Ce test est obligatoire pour les 800 000 élèves de 3ème et compte pour le brevet. Il doit être réalisé par les élèves avant le 22 avril 2022.

Après leur connexion, les élèves doivent renseigner leur sexe, et pour cela choisir une des trois réponses proposées :

Homme
Femme
Autre

Juristes pour l’enfance demande au ministère de l’éducation nationale la rectification immédiate du test et le retrait de cette troisième réponse « autre ».

Il est en effet inadmissible qu’un test d’anglais soit l’occasion et le prétexte pour véhiculer auprès de jeunes collégiens une idéologie remettant en cause la binarité des sexes et l’existence de deux sexes, homme ou femme, idéologie sans le moindre fondement scientifique et à l’encontre de l’évidence comme de l’expérience la plus commune.

L’obligation de se prononcer dans un contexte incluant la possibilité de choisir un sexe qui ne serait ni homme ni femme mais « autre » est une violence de nature à susciter chez les jeunes sommés de se positionner dans cette perspective doutes, inquiétudes et perte de repères, d’autant plus qu’ils sont sollicités dans le cadre scolaire et que l’idéologie ainsi promue est en quelque sorte validée par l’institution elle-même.

Le fait que, dans des cas exceptionnels, il soit difficile voire impossible de déterminer le sexe d’une personne est une situation d’exception qui, selon la loi, relève de la compétence des centres des maladies rares et ne remet en rien au cause la pertinence de la binarité des sexes.

Juristes pour l’enfance demande ce jour au Ministre de l’éducation nationale de corriger sans délai ce test afin de conformer la question relative au sexe de l’élève tant à ce donné anthropologique de base que les êtres humains sont homme ou femme qu’à la loi française qui ne connait en conséquence que les sexes homme ou femme.

Le test « Ev@lang collège » s’inscrit dans le cadre du plan d’action, dit « Plan langues vivantes », mis en œuvre par le ministère de l’éducation nationale du 28 février au 22 avril 2022. Il est obligatoire et compte pour le brevet.

source : https://www.juristespourlenfance.com/2022/04/01/leducation-nationale-demande-aux-collegiens-sils-sont-homme-femme-ou-autre/

    paulau J'aurai tendance à répondre naturellement "autre" puisque ce sont des enfants donc ni des hommes, ni des femmes! 😀

    • [supprimé]

    Le Courageux Capitaine préconise de développer l'apprentissage à partir de 12 ans.

    • gth a répondu à ça.
      • [supprimé]

      Bonjour,

      La vie moderne implique que l'on fasse moins d'efforts. Ce principe appliqué à l'enseignement fait qu'il est moins performant.

      Cordialement.

      Comment expliquer la décadence de l’Education Nationale, alors qu’on n’est plus foutu d’expliquer l’accord du verbe
      avec son COD...

        [supprimé] Le Courageux Capitaine préconise de développer l'apprentissage à partir de 12 ans.

        Si on ne trouve pas d’apprenti(e)s il faut les inciter en leur versant une forme de salaire.

          brisdeglace
          C'est à dire que même en creusant jusqu'à atteindre le magma, vous ne trouverez jamais aucun verbe pour s'accorder avec un COD.
          Bref.

          • [supprimé]

          gth Si on ne trouve pas d’apprenti(e)s il faut les inciter en leur versant une forme de salaire.

          Là où l'on apprend que les actuels apprentis ne sont pas rémunérés.

          Année Apprenti de 15 à 17 ans De 18 à 20 ans À partir de 21 ans
          1 25 % du SMIC 41 % du SMIC 53 % du SMC
          2 37 % du SMIC 49 % du SMIC 65 % du SMC
          3 53 % du SMIC 65 % du SMIC 78 % du SMC

          • gth a répondu à ça.

            [supprimé] Merci de faire progresser utilement le débat sur l’apprentissage.

            3 mois plus tard

            Dans les années 50, dans les grandes écoles, alors très peu nombreuses et dont les concours d’entrée étaient par conséquent très sélectifs, 30 % étaient des fils ou des filles de paysans et d’ouvriers.
            Or, en 2022, je lis « qu’un élève issu de milieu défavorisé présente cinq fois plus de risques d’être en difficulté en compréhension de l’écrit qu’un camarade issu d’un milieu favorisé (…). Seuls 2% des jeunes socialement défavorisés se trouvent parmi les élèves les plus performants…/… Si l’on ajoute à cela que moins de 5% des élèves des Grandes Écoles et des étudiants de troisième cycle universitaire sont issus de milieux ouvriers…/…

            https://www.lefigaro.fr/vox/societe/claude-obadia-pap-ndiaye-aura-t-il-le-courage-de-rehabiliter-la-selection-meritocratique-et-le-savoir-20220701

            L’explication est simple : Dans les années 50, dans l’enseignement primaire, la qualité de l’enseignement, l’exigence et la discipline étaient les mêmes dans un village au fond de la campagne française et dans les beaux quartiers. Et les cours complémentaires de la 6° à la 3° étaient plus exigeants que les lycées des villes.
            Les enfants de famille modeste se creusaient la tête le soir jusqu’à ce qu’à ce qu’ils réussissent seuls à faire leurs devoirs, sous peine d’être punis à l’école le lendemain s’ils ne les avaient pas faits.
            Si bien que chacun était poussé jusqu’au maximum dont il était capable et que le fait d’avoir des parents éduqués ne procurait pas d’avantage scolaire.

            En renonçant à toute exigence pour faire de l’animation après 68, l’EN a trahi les enfants des classes populaires pour qui l’école était la seule chance ; au profit des enfants de parents éduqués, lesquels se sont précipités pour leur inculquer ce que l’école n’inculquait plus. Par eux- mêmes ou par cours particulier ou par l’école privée.

            Les gauchistes qui ont envahi l’EN depuis les années 70 ont déroulé le tapis rouge aux classes privilégiées en plombant sciemment la scolarité des enfants d’origine modeste, et 50 ans après, ça continue. A quand un procès pour scolaricide ?

            Fusion de 1 message de Éducation nationale .
            6 jours plus tard

            On ne peut critiquer une école qui a 90% de réussite au bac.
            Par contre l'école est critiquée car elle n'accueille pas, au niveau des grandes écoles, suffisamment d'enfants des classes défavorisées.
            La solution : intégrer le plus de boursiers possibles dans les parcours d'élites. Ainsi, sans rien changer au système on pourra affirmer : il y a x% d'ouvrier dans la société et exactement le même pourcentage dans les grandes écoles. On cachera ainsi le désastre.
            Ceux qui critiquent l'école ne pourront rien dire : tout le monde réussit quelque soit son origine.

            • [supprimé]

            @"[supprimé]"#p4241064 Il aurait fallu mettre la possibilité de cocher plusieurs options dans ce sondages.

            Problèmes d'immigration et de pauvreté, oui bien sûr.
            Baisse de l'exigence et renoncement des profs et de l'encadrement, aucun doute sur la question.
            Les parents laxistes, décadents, dépassés et eux-même analphabètes, oui bien entendu.
            L'utopie égalitaire, bien entendu.

            Mais surtout la faiblesse et la lâcheté, l'interdiction du coup de bâton, l'absence de chatiments à l'école ou dans la rue, au tribunal.

            8 jours plus tard

            Il ne croit tellement pas en ce qu'est devenu l'éducation nationale qu'il en sort ses propres enfants. Pourtant, il persiste dans la voie qui a mené l'éducation nationale à devenir ce qu'elle est devenue.
            Quelle hypocrisie idéologue.

            • [supprimé]

            Mettez une source SVP.

              Objectifs de Pap NDiaye
              https://www.huffingtonpost.fr/entry/pap-ndiaye-deja-critique-presente-aux-profs-ses-5-priorites-a-leducation-nationale_fr_62bb0991e4b0adb8aa4cd021
              D'abord l'égalitarisme qui met tous les élèves au même niveau de nullité, ce qui est fait depuis 25/30 ans, puis ensuite enseigner les savoirs fondamentaux à des élèves complétement nuls.
              Pourquoi n'applique-t-il pas dans l'éducation nationale la logique de l'école Alsacienne privée dans laquelle il a mis ses enfants: rehausser le niveau de tous d'abord puis corriger les faiblesses des moins bons ensuite.

              Le nivèlement par le bas sous couvert de pédagogisme et d'égalitarisme, c'est la source de la déliquescence de l'éducation nationale depuis 25/30 ans.
              L'égalité des chance devrait commencer par rendre tous les élèves meilleurs et ensuite corriger les différences par plus de travail et d'accompagnement pour les moins bons, pas de rendre les meilleurs plus nuls pour être au niveau des moins bons.