On ne peut faire raisonnablement d'amalgame entre les islamistes bâchées, les pétasses travaillées par leurs hormones, et les tarés qui se scarifient.
Même si la provocation est le point commun des trois, les premières s'essaient au prosélytisme, les secondes cherchent à se faire sauter, et les derniers tentent d'exister dans le regard des autres. Mais aucun de ces comportements n'a sa place à l'école.