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Extinction Rebellion, nouvelle manipulation de masse, dans quel but ?
À tous ceux qui s’interrogent sur Extinction Rebellion (XR), ce « mouvement » qui est arrivé sur le devant de la scène en moins d’un an, et dont nous n’avons pas fini d’entendre parler.
Le texte ci-dessus a été écrit en juillet 2016 par Roger Hallam, un des fondateurs d’Extinction Rebellion. XR n’existait pas encore, et à aucun moment il n’y est question de climat ; mais c’est le modèle proposé par XR pour organiser ses réunions. C’est un « outil » dont le but explicite est de créer de toutes pièces un mouvement populaire, une illustration parfaite de ce que les anglophones nomment Astroturfing. Ils appellent « grassroots movements » les mouvement populaires « par les racines de l’herbe » ; alors quand on veut beaucoup d’herbe rapidement, on utilise plutôt du gazon artificiel comme Astroturf TM.
Il est en effet devenu contributeur d’Open Democracy,la plateforme web d’Open Society. Sa première contribution date de janvier 2015, 3 mois après sa rentrée au King’s College. Open Society, c’est la pieuvre de George Soros, qui a accouché d’une foultitude d’organisations, d’entreprises, de média, d’événements tous destinés à promouvoir la « liberté » ou la « démocratie », c’est à dire l’impérialisme US dans sa version soft. On les a vus à l’oeuvre à chaque « révolution colorée », de la place Maïdan à la place Tahrir, où des « mouvements spontanés » très organisés expliquaient à la foule les techniques insurrectionnelles « non-violentes » et surtout médiatiques qui ont permis l’arrivée au pouvoir de néo-nazis en Ukraine et des Frères Musulmans en Tunisie et en Égypte.
Open Democracy est financé, outre Soros, par des démocrates aussi fervents que la Fondation Ford ou les frères Rockefeller.