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Ce plateau ressemblait plus à un tribunal composé d'inquisiteurs qu'à une émission politique. En furie, Ferrari y endossait le rôle de l'accusateur public, tandis que le Zéribi simulait la colère, confinant à la haine, du bien-pensant outré, en charge de la défense de sa coreligionnaire et de son chiard pleurnichard.
Puisqu'on en cause, que devient le renvoi du preux Zéribi devant le tribunal correctionnel de Marseille pour "abus de confiance et abus de biens sociaux" suite à son détournement de 50 000 euros de subventions publiques, somme initialement destinée à ses associations de promotion de la diversité dans la ville de Marseille.
Selon certaines sources bien informées, il aurait utilisé cette somme pour, entre autres, se faire construire une piscine. Mais chut !
Néanmoins l'indécent Zéribi parade sur les plateaux pour dire la bonne parole, et jouer le redresseur de torts, sans que quiconque ne lui rappelle gentiment l'escroquerie qui lui vaut d'être poursuivi par la justice.