Je suis d'accord pour regarder en face l'immigration, mais avec la clause qu'on conserve la vision binoculaire. Il faut la regarder avec les deux yeux, qui coopèrent, mais sans converger.
Lorsque Marion Maréchal-nous-voilà regarde l'immigration, y a un strabisme qui conduit à tout doubler : là où la vision normale voit un Arabe, elle en voit deux.
Je relativise la portée de la remarque : Jean-Marie qui, contrairement à Marion, qui à trop d'yeux, n'en avait pas assez, était victime du même phénomène de duplication. La physiologie peut éclairer, mais elle n'est jamais en soi une explication.