Plariste-le-Revanite Saint Nicolas c’est pas un saint d'origine païenne? Putain c'est quoi une perlouze pour vous?

ah tu avais écrit "d'origine païenne" ?

voyons voyons...

l'ancêtre païen du père noël siant je sais plus qui.. Ha oui siant nicolas

Ah ben non, c'était donc bien une énorme connerie. Si tu ne te comprends pas toi-même, je n'y peux rien

    cemab Ah ben non, c'était donc bien une énorme connerie. Si tu ne te comprends pas toi-même, je n'y peux rien

    Lis l'article que j’ai posté à l'instant sur ce topique. Ton punching ball favori est pleins d'épine.

      Plariste-le-Revanite Lis l'article que j’ai posté à l'instant sur ce topique. Ton punching ball favori est pleins d'épine.

      tu ne comprends pas que je m'en cogne de tes articles, je me contente d'éplucher tes stupidités, et c'est déjà énorme.

      Donc, tu écris n'importe quoi, tu t'es pété les dents, fous-là donc en veilleuse.

      Tous les jours, le forum, moins ton nouveau pote, se fout de ta gueule, tu n'en as pas marre ?

        cemab tu ne comprends pas que je m'en cogne de tes articles, je me contente d'éplucher tes stupidités, et c'est déjà énorme.

        Plariste-le-Revanite “Saint” Nicolas et Odin

        On peut lire dans une encyclopédie (Encyclopedia Oosthoeks): “La fête de famille [de la Saint-Nicolas] provient de la fête religieuse (y compris les surprises pour les enfants) qui, elle, a sa source dans des éléments préchrétiens. Saint Nicolas, qui chevauche au-dessus des toits, est le dieu païen Wotan [Odin]. (...) Saint Nicolas était aussi le chef de la chasse sauvage au cours de laquelle les âmes des morts rendent visite à la terre.”

        En effet, les Teutons croyaient qu’Odin, ou Wotan, le plus important de leurs dieux, conduisait les âmes des morts en une furieuse chevauchée à travers champs pendant les “douze mauvais jours” qui séparent Noël et l’Épiphanie (6 janvier). Le grand vent qu’il soulevait emportait les semences du produit des champs, ce qui stimulait la fertilisation. Quant aux pommes, aux noix, aux noisettes, aux amandes et aux autres fruits d’automne distribués à la “Saint-Nicolas”, ils étaient des symboles de fertilité. Les anciens croyaient pouvoir apaiser la colère de leurs dieux en leur faisant des cadeaux pendant les jours froids et sombres de l’hiver. Ils en obtiendraient une plus grande fertilité pour l’homme, l’animal et le sol.

        Odin était accompagné par son valet Eckhard, le prédécesseur de Pierre le Noir, qui, lui aussi, portait une verge. Pas plus tard qu’au Moyen Âge, il était courant d’admettre que certains arbres et plantes pouvaient rendre les humains féconds et qu’une femme pouvait tomber enceinte simplement si elle était frappée avec une branche d’un de ces arbres.

        Le livre Feest-​en Vierdagen in kerk en volksgebruik (Fêtes et cérémonies dans l’Église et dans les coutumes populaires) cite quelques autres similitudes entre Odin et “saint” Nicolas: “Wotan, lui aussi, remplissait bottes et sabots placés près de la cheminée, mais avec de l’or. Pour le coursier de Wotan, on plaçait également dans le sabot du foin et de la paille. En outre, la dernière gerbe des champs était réservée au cheval.”

        Sint Nicolaas, de B. van den Aardweg, signale encore d’autres similitudes frappantes:

        “Saint Nicolas: personnage grand et puissant monté sur un cheval blanc. Il porte une longue barbe blanche, tient une crosse à la main et il est coiffé d’une mitre (...) et revêtu d’une cape d’évêque, large et flottante.

        “Wotan: personnage de haute stature et à la barbe blanche. Il porte un chapeau à larges bords enfoncé sur les yeux. Il tient à la main une lance magique. Il est enveloppé d’une grande cape et monte son fidèle cheval gris, Sleipnir.

        “Il y a plus que ces similitudes visibles: Wotan menait son cheval gris à travers les airs, et les gens, tout tremblants, lui offraient des gâteaux fourrés, de la viande et des produits des champs. Saint Nicolas, à cheval, passe au-dessus des toits, et les enfants préparent du foin, des carottes et de l’eau pour sa monture. Les gâteaux secs au gingembre et la baguette étaient des symboles de fertilité longtemps avant l’apparition des fêtes de saint Nicolas.”

        Les rites de fertilité aujourd’hui

        Un certain nombre d’autres coutumes ayant trait à “saint” Nicolas trahissent elles aussi leurs origines païennes. Par exemple, dans les régions nordiques, le 4 décembre, les garçons de 12 à 18 ans se répandent dans les rues. Masqués et affublés de costumes grotesques décorés de plumes, de coquillages et d’autres objets régionaux, ils représentent les “petits saints Nicolas”, ou Sunne Klaezjen. Le lendemain soir, c’est au tour des hommes de 18 ans et plus. En début de soirée, ils rôdent dans les rues où, armés de balais, de cornes de bœufs et de gourdins, ils font fuir toute femme, jeune fille ou petit garçon qui croise leur chemin. Ils forcent les jeunes filles à danser ou à sauter par-dessus une baguette.

        À quoi servent toutes ces manifestations? Encore à la fertilité — invariable préoccupation des cultures antiques. En effet, l’hiver était une époque sombre et angoissante, souvent considérée comme une période de sommeil ou de mort pour le dieu de la fertilité. On pensait que, par divers moyens, l’on pouvait redonner vie à ce dieu ou à cette déesse, ou tout au moins l’aider quelque peu. Les cadeaux, les danses, le tapage, les coups de baguette étaient, pensait-​on, autant de façons de chasser les mauvais esprits et de rendre plus féconds les humains, les animaux et le sol.

        C’est pourquoi, lorsqu’aujourd’hui les jeunes filles sautent par-dessus une baguette, elles imitent leurs aïeules qui croyaient que plus haut elles sautaient, plus haut pousserait le lin. En chassant les femmes et les enfants, les jeunes hommes répètent le rite de la chasse aux mauvais esprits.

        Les vrais chrétiens doivent choisir

        Pourquoi ces rites ont-​ils été intégrés dans le “christianisme”? Parce que, il y a des siècles, des missionnaires n’ont pas insisté pour que ceux ou celles qu’ils convertissaient obéissent à cet ordre biblique: “Sortez du milieu d’eux, et séparez-​vous (...) et ne touchez plus à la chose impure.” (2 Corinthiens 6:17). Au lieu d’éliminer les pratiques païennes, les missionnaires de la chrétienté ont perpétué ces coutumes en les modifiant. Elles ont ensuite été répandues dans le monde entier.

        Les émigrants hollandais qui se sont installés en Amérique du Nord ont emmené avec eux la fête de “saint” Nicolas. Avec le temps, son nom s’est altéré, devenant “Santa Claus”. Le majestueux évêque s’est transformé en brave homme obèse et rubicond, vêtu d’un habit rouge vif. Il a troqué sa mitre contre un bonnet d’elfe et son cheval blanc contre un traîneau tiré par un renne. Par contre, ce Santa Claus est demeuré porteur de cadeaux, bien qu’il ne passe plus le même jour, mais la veille de Noël.

        Dans les régions protestantes d’Allemagne, le “saint” Nicolas catholique a été remplacé par le plus neutre “père Noël”. Toutefois, les éléments païens sont toujours nettement apparents.

        Jésus Christ a dit que les “vrais adorateurs adoreront le Père avec l’esprit et la vérité”. (Jean 4:23.) Pour les adorateurs sincères, la “Saint-Nicolas” avec ses coutumes les place devant un choix: Continueront-​ils à perpétuer les anciennes pratiques du culte d’Odin, ou vont-​ils rompre avec les vestiges du paganisme? Nous sommes au bon moment de l’année pour nous poser cette question importante.

        [Crédit photographique, page 26]

        Harper’s Weekly

        Moi je peux te spammer dans la bouche petit con de troll. Tu veux que je te feed moi je feed des pavés dans ta bouche, un avant en arrières ! Tu vas les sucer mes gros pavés.

          Plariste-le-Revanite Moi je peux te spammer dans la bouche petit con de troll. Tu veux que je te feed moi je feed des pavés dans ta bouche, un avant en arrières ! Tu vas les sucer mes gros pavés.

          ayé, le blaireau vient de se prendre la nouvelle branlée de la journée lol

          re-perlouze, la vermine

          Plariste-le-Revanite “Saint” Nicolas et Odin

          On peut lire dans une encyclopédie (Encyclopedia Oosthoeks): “La fête de famille [de la Saint-Nicolas] provient de la fête religieuse (y compris les surprises pour les enfants) qui, elle, a sa source dans des éléments préchrétiens. Saint Nicolas, qui chevauche au-dessus des toits, est le dieu païen Wotan [Odin]. (...) Saint Nicolas était aussi le chef de la chasse sauvage au cours de laquelle les âmes des morts rendent visite à la terre.”

          En effet, les Teutons croyaient qu’Odin, ou Wotan, le plus important de leurs dieux, conduisait les âmes des morts en une furieuse chevauchée à travers champs pendant les “douze mauvais jours” qui séparent Noël et l’Épiphanie (6 janvier). Le grand vent qu’il soulevait emportait les semences du produit des champs, ce qui stimulait la fertilisation. Quant aux pommes, aux noix, aux noisettes, aux amandes et aux autres fruits d’automne distribués à la “Saint-Nicolas”, ils étaient des symboles de fertilité. Les anciens croyaient pouvoir apaiser la colère de leurs dieux en leur faisant des cadeaux pendant les jours froids et sombres de l’hiver. Ils en obtiendraient une plus grande fertilité pour l’homme, l’animal et le sol.

          Odin était accompagné par son valet Eckhard, le prédécesseur de Pierre le Noir, qui, lui aussi, portait une verge. Pas plus tard qu’au Moyen Âge, il était courant d’admettre que certains arbres et plantes pouvaient rendre les humains féconds et qu’une femme pouvait tomber enceinte simplement si elle était frappée avec une branche d’un de ces arbres.

          Le livre Feest-​en Vierdagen in kerk en volksgebruik (Fêtes et cérémonies dans l’Église et dans les coutumes populaires) cite quelques autres similitudes entre Odin et “saint” Nicolas: “Wotan, lui aussi, remplissait bottes et sabots placés près de la cheminée, mais avec de l’or. Pour le coursier de Wotan, on plaçait également dans le sabot du foin et de la paille. En outre, la dernière gerbe des champs était réservée au cheval.”

          Sint Nicolaas, de B. van den Aardweg, signale encore d’autres similitudes frappantes:

          “Saint Nicolas: personnage grand et puissant monté sur un cheval blanc. Il porte une longue barbe blanche, tient une crosse à la main et il est coiffé d’une mitre (...) et revêtu d’une cape d’évêque, large et flottante.

          “Wotan: personnage de haute stature et à la barbe blanche. Il porte un chapeau à larges bords enfoncé sur les yeux. Il tient à la main une lance magique. Il est enveloppé d’une grande cape et monte son fidèle cheval gris, Sleipnir.

          “Il y a plus que ces similitudes visibles: Wotan menait son cheval gris à travers les airs, et les gens, tout tremblants, lui offraient des gâteaux fourrés, de la viande et des produits des champs. Saint Nicolas, à cheval, passe au-dessus des toits, et les enfants préparent du foin, des carottes et de l’eau pour sa monture. Les gâteaux secs au gingembre et la baguette étaient des symboles de fertilité longtemps avant l’apparition des fêtes de saint Nicolas.”

          Les rites de fertilité aujourd’hui

          Un certain nombre d’autres coutumes ayant trait à “saint” Nicolas trahissent elles aussi leurs origines païennes. Par exemple, dans les régions nordiques, le 4 décembre, les garçons de 12 à 18 ans se répandent dans les rues. Masqués et affublés de costumes grotesques décorés de plumes, de coquillages et d’autres objets régionaux, ils représentent les “petits saints Nicolas”, ou Sunne Klaezjen. Le lendemain soir, c’est au tour des hommes de 18 ans et plus. En début de soirée, ils rôdent dans les rues où, armés de balais, de cornes de bœufs et de gourdins, ils font fuir toute femme, jeune fille ou petit garçon qui croise leur chemin. Ils forcent les jeunes filles à danser ou à sauter par-dessus une baguette.

          À quoi servent toutes ces manifestations? Encore à la fertilité — invariable préoccupation des cultures antiques. En effet, l’hiver était une époque sombre et angoissante, souvent considérée comme une période de sommeil ou de mort pour le dieu de la fertilité. On pensait que, par divers moyens, l’on pouvait redonner vie à ce dieu ou à cette déesse, ou tout au moins l’aider quelque peu. Les cadeaux, les danses, le tapage, les coups de baguette étaient, pensait-​on, autant de façons de chasser les mauvais esprits et de rendre plus féconds les humains, les animaux et le sol.

          C’est pourquoi, lorsqu’aujourd’hui les jeunes filles sautent par-dessus une baguette, elles imitent leurs aïeules qui croyaient que plus haut elles sautaient, plus haut pousserait le lin. En chassant les femmes et les enfants, les jeunes hommes répètent le rite de la chasse aux mauvais esprits.

          Les vrais chrétiens doivent choisir

          Pourquoi ces rites ont-​ils été intégrés dans le “christianisme”? Parce que, il y a des siècles, des missionnaires n’ont pas insisté pour que ceux ou celles qu’ils convertissaient obéissent à cet ordre biblique: “Sortez du milieu d’eux, et séparez-​vous (...) et ne touchez plus à la chose impure.” (2 Corinthiens 6:17). Au lieu d’éliminer les pratiques païennes, les missionnaires de la chrétienté ont perpétué ces coutumes en les modifiant. Elles ont ensuite été répandues dans le monde entier.

          Les émigrants hollandais qui se sont installés en Amérique du Nord ont emmené avec eux la fête de “saint” Nicolas. Avec le temps, son nom s’est altéré, devenant “Santa Claus”. Le majestueux évêque s’est transformé en brave homme obèse et rubicond, vêtu d’un habit rouge vif. Il a troqué sa mitre contre un bonnet d’elfe et son cheval blanc contre un traîneau tiré par un renne. Par contre, ce Santa Claus est demeuré porteur de cadeaux, bien qu’il ne passe plus le même jour, mais la veille de Noël.

          Dans les régions protestantes d’Allemagne, le “saint” Nicolas catholique a été remplacé par le plus neutre “père Noël”. Toutefois, les éléments païens sont toujours nettement apparents.

          Jésus Christ a dit que les “vrais adorateurs adoreront le Père avec l’esprit et la vérité”. (Jean 4:23.) Pour les adorateurs sincères, la “Saint-Nicolas” avec ses coutumes les place devant un choix: Continueront-​ils à perpétuer les anciennes pratiques du culte d’Odin, ou vont-​ils rompre avec les vestiges du paganisme? Nous sommes au bon moment de l’année pour nous poser cette question importante.

          [Crédit photographique, page 26]

          Harper’s Weekly

          je confirme au vu des messages que l'évolution de l'homme est bien arrivé à son terme... 🙂

            jack127 Profitons en encore une quarantaine d'année et ensuite il faudra passer la main car l'évolution est nécessaire; je propose de passer la main aux criquets pour la suite, ils ont encore plein de potentiel, eux!

              • [supprimé]

              jack127 je confirme au vu des messages que l'évolution de l'homme est bien arrivé à son terme... 🙂

              Heureusement qu'il reste l'évolution de la femme ;-)

                [supprimé]
                Tout gauchiste se doit d'être androphobe et blancophobe : le dominé supposé est toujours décrit comme un être supérieur.

                Celui qui l'énonce se convainc ainsi de prendre la défense de celui qu'il perçoit en réalité comme des inférieurs, ce qui lui donne le sentiment d'être supérieur.

                  sangtriste Ah, je pensais que c'était les virus les plus à même de nous remplacer!

                  • [supprimé]

                  jack127 Oui la femme s'émancipe. Bientôt, on n'aura plus le droit de vote à ce rythme là ...

                  ... Ni de filiation, ni de procréation ;-)

                  • [supprimé]

                  • Modifié

                  france2100 le dominé supposé est toujours décrit comme un être supérieur.

                  ... Est toujours décrit comme esclave, sous-fifre, subordonné, "une ressource comme une autre" (surtout si les différentiels deviennent abyssaux comme maintenant).

                  • [supprimé]

                  sangtriste Il y a beaucoup de marge mais y a t il le potentiel??? 😀

                  Chez certaines plus que chez d'autres.

                  france2100 Tout gauchiste se doit d'être androphobe et blancophobe : le dominé supposé est toujours décrit comme un être supérieur.

                  Celui qui l'énonce se convainc ainsi de prendre la défense de celui qu'il perçoit en réalité comme des inférieurs, ce qui lui donne le sentiment d'être supérieur.

                  C'est très simpliste comme affirmation...
                  un peu comme si on disait que tous les ED sont des nazis.
                  L'intelligence c'est aussi de faire la part des choses....