[supprimé] .... Par rapport à la sécurité surtout (économique comme sécuritaire ou du lendemain).... c'est le préliminaire pour l'accès au bonheur, sans sécurité et sans pouvoir se projeter dans l'avenir, personne ne peut être bien (la vigilance permanente, l'insécurité pécuniaire ou autre, ça use et ça déstabilise pas à pas des sociétés/nations entières, qui se divisent voir périclitent).
Mémoire courte...
1968, grand chambardement.
Dans les années 70, avec la droite au pouvoir, dans les journaux il était souvent question de délinquance et et sécurité, sous l'égide d'Alain peyrefitte, particulièrement.
On n'a jamais vu fleurir autant d'actes d'auto-défense, celle-ci confondue avec la légitime défense.
Et la voyoucratie qui s'adonnait allègrement aux braquages de banques et rapts de banquiers ou de grands patrons, sans parler des groupuscules activistes qui faisaient péter les symboles de la République, et autre Olp avec ses moudjahidins palestiniens qui eux détournaient les avions pour revendiquer leur existence...
Cette periode-là fut assez mouvementée, entre nous, encore qu'on ait eu l'insouciance de vivre les belles années beatnik et la mode hippie qui a permis d'en émanciper beaucoup. 😁
Et du boulot, il y en avait. Les augmentations de salaire négociées de gré à gré étaient presque toujours conclues favorablement pour le salarié. Sinon, pour le coup, il lui suffisait juste de traverser la rue pour être embauché ailleurs.
Forte inflation, taux d'interet énormissime ? Le crédit fonctionnait à merveille, le niveau de vie progressait, et la consommation était abordable. Et cerise sur ce gâteau savoureux, les libertés n'étaient pas remises en question.
Alors, heureux ? Vu comme ça, oui.