omega95
Réponse à omega95 du 26-8-2019
Comment vous pouvez justifier que les charges patronales font partie de votre salaire.
Je vous signale à tout hasard que la masse salariale n’est pas un salaire, tout comme l’âge du capitaine.
Déjà le salaire réel est celui qui figure sur votre bulletin de paye c’est le brut, c’est à dire le salaire net + les charges salariales.
Prenons un exemple, un salarié à un salaire brut de 1500€, il touchera en net environs 1200€, pour le moment vous me suivez?
Bien, son employeur subira des charges patronales pour environ 600€, un peu moins en raison de la réduction Fillon, la masse salariale sera donc de 1800€ (1200+600).
Que ces charges patronales deviennent 0 ou explose à 1000€ le salarié ne verra pas son salaire brut ou net bouger d’un iotas.
Si vous réfléchissez comment pouvez vous admettre que les charges patronales font parti de votre salaire, excusez moi l’expression mais il y a un peu de débilité dans ce raisonnement.
Sauf comme je le disais si l’employeur considère ses charges patronales trop élevées pourrait très bien pour compenser ne pas augmenter son salarié ou très peu où pas.
Mais là c’est d’une décision de l’employeur qui passe par le principe de l’honnêteté ou malhonnêteté.
En ce qui concerne la robotisation toutes les études démontrent d’une façon certaine la destruction d’un grand nombre d’emplois.
Après ce sont des nuances en 2 millions et 3 millions d’ici 2025 en France.
C’est énorme et surtout c’est destructeur de recettes.
Et surtout n’allez pas croire que la portée est la même que lorsque le ramasseur de crottin est devenu pompiste.
Tout va plus vite, tout est beaucoup plus important et nous savons aussi que les robots seront fabriqués par des robots, que l’IA permettra et d’établir des logiciels, de faire des analyses, des diagnostics et tout cela sans êtres humains ou trop peu.
Les voitures en sont le symbole, avant il fallait un temps plus ou moins important pour diagnostiquer une panne, maintenant branchement d’une valise et la panne est détectée.
Quand je vois partout où je porte les yeux les emplois disparaissent, de l’ordinateur de société aux caisses des supermarchés, je me dis il y a malheureusement beaucoup de chance pour qu’ils aient raison.