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Les Américains ont le dos large. Le vrai problème c'est l'inflation, qui avait égaement détruit l'économie Allemande au début du XXème.
Et le problème de fond du Vénézuela c'est qu'il y a eu une escalade entre le pouvoir d'une part, et les élites et cadres d'autre part. De l'opposition politique on est allé vers la méfiance puis vers la guerre ouverte. La Chine populaire avait eu le même problème. Sauf qu'ici le terrain était déjà inflammable du fait de l'histoire chaotique du Vénézuela.
Petit à petit le pouvoir s'est donc retrouvé en guerre contre tous les gens compétents, et les a renvoyés. De simples employés se sont retrouvés du jour au lendemain à devoir prendre en charge des tâches pour lesquels ils n'ont jamais été formés. Et ces nouveaux responsables sont généralement les soutiens les plus radicaux du régime, qui sont rarement les plus malins.
Le réchauffment climatique est un grave problème. Mais arrêtons avec les prophéties apocalyptiques car en France on en est très, très loin.
Au lieu de motiver les gens à agir vous les poussez à la résignation et au fatalisme, puisque tout est déjà perdu. C'est l'opposé de ce qu'il faut faire.
On n'a pas besoin de Gretas, on a besoin d'un plan cohérent ! Moins d'émotion, plus de raison.
Hélas l'église progressiste est bien trop accro à la morale et à l'émotion pour ça. Les curés se comporteront toujours comme des curés.