jack127 Selon Rousseau, l'homme naît sans défaut et c'est seulement au contact des autres qu'il s'avilit car il ne peut s'empêcher de se comparer à son voisin et devient soit envieux ou se croit supérieur car il possède une plus grosse voiture, est plus cultivé...
Je serais d'accord sur le fait que par mimétique, les vices se transmettent, et de nouveau s'en créent avec l'indépendance et la violence qui accompagne le processus.
Et je pense que la morale la mieux enseigné c'est celle de PLATON, la moral logique et rationnelle, et que donc ce n'est pas tellement de la moral moraline qu'il faut enseigner mais la philosophie.
jack127 L'égalité des chances passe aussi par un changement profond de notre société et l'on devrait interdire toute notion d'héritage, de transmission de biens et ou chacun devrait construire sa propre fortune, bonne ou mauvaise suivant les ambitions et les motivations de chacun. Chaque travail serait rémunéré de manière juste et équilibré afin d'éviter toute forme de jalousie et en concertation avec le plus grand nombre.
Même moi j'en suis pas encore là mais si je comprends tout à fait les principes d'accumulation primitive du capital et l'idéal rousseauiste. Je me concentre sur les progrès qui sont à portée de main.
Salaire à la qualification etc etc etc. L’égalité parfaite ne sera pas atteignable, marx bakouinine les deux l'avait compris mais elle sera nécessaire.
[supprimé] Bonjour,
A force d'aller au fond des choses on finit par y rester.
Cordialement.
Vous les capitalistes restez superficiels, car toute pensée profonde pourrait révéler des choses très déplaisantes à votre vue. Ainsi vous restez avec des prétextes de la sorte pour justifier ce côté superficiel. Mais nous ça ne nosu trompe pas, on a vu ce que vous faîtes au lieu de travail de vos employés quand vous foutez le camp. Dans votre inconscient il ya une conscience de classe très profonde qui a tout comprit.
Les employés d'arjo-wiggins, en sont témoins, comme ceux des wendels... Les pillages effectués sont le fruit de la guerre que vous nous menez.