Voilà un homme qui a passé toute sa carrière à mentir, à déformer et à pratiquer la démagogie la plus naze qui soit.
Avant le Brexit, Monsieur Boris se baladait en bus, en paradant le slogan 'quitter l'Europe, ça équivaut à 350 millions de livres en plus par semaine pour notre système de Santé"?
Sous entendu l'Union Européenne vole notre argent.
A force de mensonges, le type arrive à faire gagner le Brexit à 52% de "yes we leave"
Pour négocier le Brexit, le couard s'est planqué et a laissé Theresa May (qui était contre le Brexit) négocier le départ avec l'UE.
Une fois la theresa complètement cuite, il fait son petit numéro pour reprendre le flambeau du 10 Downing Street.
Et là, le Brexit se fait.
Les catastrophes ne se font pas attendre.
Cruel manque de main d'oeuvre, UK a perdu 90% de ses chauffeurs routiers.
Le gars, Boris, annonce "j'offre un permis de travail jusqu'à Noel, aux routiers polonais".
Un visa de 3 mois, lol. Il croit quoi, le gars? Complètement secoué.
En parallèle aux autres catastrophes sinistres provoquées par le Brexit, les rayons des supermarchés sont… VIDES!
que fait Bojo? il remplit les rayons vides de barres chocolatées.
Puis, personne ne sait pourquoi, Boris se met à annoncer "l'angleterre va devenir LE pays des haut salaires".
Bah, voilà, on est contents, encore une promesse.
Puis, comme son annonce n'a pas fonctionné, voilà qu'il arrose le pays de subventions par milliards,
des milliards pour les pêcheurs, des milliards pour la santé, des milliards pour les salariés, des milliards et des milliards.
Beaucoup, en Angleterre, sont particulièrement inquiets des conséquences de la folie de Boris, mais, le gars, il parvient quand même à garder son poste, d'une, parce que les travaillistes n'ont pas fini d'essuyer leur crise interne après les soupçons d'antisémitisme au sein du parti, et de deux, parce que personne d'autre n'est prêt à assumer l'énorme stupidité du Brexit.
Vous voyez?
Pour durer, y a rien de plus simple que de suivre les préceptes de Goebbles "plus c'est gros, plus ça passe".
Pauvre angleterre.
