" ...... // ......Étudiants, intermittents du spectacle, jeunes chômeurs… Les livreurs de repas d’hier ne ressemblaient pas à ceux d’aujourd’hui. En trois ans, les jeunes cyclistes cherchant à arrondir leurs fins de mois ont, pour un grand nombre d’entre eux, laissé place à des travailleurs précaires prêts à enchaîner les courses à des tarifs serrés, parfois en toute illégalité.
«Quand je travaillais chez Deliveroo, le profil des livreurs était assez “blanc”, avec une population d’étudiants sportifs. Depuis mi-2018, on a vu arriver des migrants, qui parlent à peine français. Certains sont clandestins et travaillent comme sous-traitants d’autres coursiers. Ces derniers leur louent leur compte et prennent une commission pouvant atteindre 50 % du montant de la course», explique Jérôme Pimot, le porte-parole du Collectif des livreurs autonomes de Paris, Clap 75. .........//................"
Le clandestin est une source de richesses .... pour certains ; les assoces sont donc leurs complices