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ça tombe bien, il n'est pas en république laïque (tellement laïque d'ailleurs, que je me torche avec ce concept).
"nous d'apparat" ça représente le roi et l'ensemble de ses sujets. renseigne-toi donc, espèce de moule frites.
tandis que ton "moi je" c'est le petit roquet élyséen qui le balance, et à toutes les sauces
Le royaume de France est donc la somme des sujets du roi de France, les Français, et pour comprendre l’organisation de ce pays, les structures internes du royaume, il faut étudier les rapports du souverain avec ses sujets. La loi royale s’impose en théorie à tous, mais, en réalité, la diversité des provinces ou des pays en France constitue un obstacle à l’unité du pays. Les « coutumes », c’est-à-dire des droits locaux, défendus avec vigueur, rendent difficile l’application d’une même loi dans le royaume. Au sud, néanmoins, le droit écrit prévaut qui s’inspire du droit romain. Pour faciliter l’action royale, l’ordonnance de Villers-Cotterêts de 1539 a imposé l’utilisation du français dans les documents officiels à la place du latin, mais d’autres langues se parlent encore dans bien des provinces, ce qui ralentit les échanges d’informations. L’obligation de répéter les décisions royales révèle bien aussi qu’elles ne sont pas toutes, ni tout de suite, appliquées et que toute volonté politique a besoin de temps, de beaucoup de temps, pour entrer dans les faits. Même si le pouvoir monarchique se targue d’être absolu, il s’appuie en réalité sur de subtiles et longues négociations entre les représentants du roi et les populations, ou leurs porte-parole. Finalement, il faut qu’une décision royale soit acceptée pour pouvoir s’appliquer.
https://www.cairn.info/france-au-xviie-siecle--9782130558279-page-43.htm?contenu=resume#
autre chose que ton petit pouvoir de fachos à peine déguisé