@mac-le-givré#4192183 Faut arrêter les conneries, point d'ambassadeur dans ses sauteries, que des amis et connaissances de l'oligarchie parisienne.
Si tu veux inviter tes potes tu finances, moi je fais barbeuc cuby et les copains amènent des bouteilles...
Accessoirement il est grassement rémunéré et nourri logé déplacé à l'oeil alors il peut.
Nous par contre on finance nos deplacements, notre bouffe...et les travaux de nos logements.
Le système politique très vertical, tel qu'on le connaît en France puisqu'il nous rappelle au souvenir d'un régime qui n'a pas rompu avec avec un décorum monarchique fait de privilèges pour les uns et de servitudes pour les autres, a ceci d'outrecuidant, que l'idée de s'en émanciper pour une société se voulant héritière de sa grande histoire, n'a rien d'aventureux. L'encre y a déjà coulé. Et nous nous en enorgueillissons d'y lire le sang versé.
Le prince fait référence aux gaulois réfractaires pendant que d'autres pensent aux révolutionnaires...
Et ce roitelet à la légitimité plus que fragile, s'il ne sert pas son bon petit peuple sans rien distribuer de ce que sa caste de gentillâtres parvenus veut garder sournoisement pour elle et ses proches, même la chair du homard et la robe du pinard AOC deviennent à ce point indécents, que la morale populaire se charge de rajuster le voile vertueux
tombé de l'épaule de Marianne. Serait-elle devenue cette cocotte impudique que des grands élus transforment sans vergogne en effeuilleuse docile, sans que personne n'y trouve à redire ?
Le cynisme ne peut être partagé, si les intérêts qui le motivent ne sont pas eux-même répartis de manière pertinente. Et ce bon petit peuple a toujours eu les sens des proportions. Il accepte le faste pour ces noblaillons qui le gouvernent à condition qu'il en reste quelques rogatons...Mais rien de mieux que quelques sacrifices supplémentaires pour que les ors trop patinés continuent à briller et à ruisseler à l'intérieur de palais discrets dont le besogneux ordinaire n'a même pas idée, quant à sa magnificence.
Et il suffit d'un vulgaire mouchardage émanant de certains affranchis envieux, rompus aux courbettes courtisanes et à la révérence ripoublicaine, mais contraints de ne bouffer que leur vengeance comme un plat froid, pour alimenter un scandale que des médias indépendants se font un plaisir d'étaler au grand jour et de distiller à la manière d'un feuilleton à rebondissements interminables pour les mis en cause.
On dira, tribunal médiatique ?
Un simple petit besoin d'exemplarité et de justice qui engendre du sensationnel à défaut d'une révolution à l'endroit
de personnages qui n'ont rien de noble. Et cette vieille nation de réfractaires sait au moins faire la différence entre une engeance cupide et vénale et ces âmes bien nées soucieuses d'équité relative lorsqu'elles règnent, histoire de réaffirmer que le suffrage universel est la seule vérité absolue qui vaille pour faire d'une nécessité d'éthique légitime une loi populaire.
Les représentants au service de la république ne peuvent plus tromper deux fois consécutives leurs concitoyens, qui eux se gourent à chaque fois qu'ils vont voter. François Pignon se rebiffe ! Héhéhé.