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L'enfant avait menti en disant que c'était l'enseignant qui l'avait violée, je me demande donc si c'était la première fois qu'elle subissait des attouchements par son père, son oncle ou son grand-père, celui à qui appartient l'ADN trouvé. Ce côté affirmatif de l'enfant montre qu'elle a été conditionnée à mentir.
"La victime présumée, la petite Julie, qui a eu 4 ans la veille du dépôt de la plainte, présente effectivement, selon l’expertise médicale, des traces d’agression sexuelle. Aux dires de sa mère, elle désigne spontanément l’enseignant. L’agression se serait déroulée le lundi 14 novembre, jour où le père découvre des traces de sang dans la culotte de sa fille au moment de la douche du soir."
Cette affaire est grave sous plusieurs aspects : viol d'enfant, enfant qui ment intentionnellement ou pas, inculpation et mis en détention prolongée sur plusieurs mois d'un soi-disant violeur, justice qui a tous les éléments et ne fait rien alors que le viol sur mineur par un parent est un crime.
La justice doit rendre aussi des comptes au professeur des école qui a eu la vie complètement chamboulée, sans parler du préjudice morale qu'a subi sa famille.
L’avocate poursuit : "Il y a un véritable déni dans ce dossier. Une mise en danger volontaire de la part du juge d’instruction, de cette petite fille qui est maintenue dans un milieu familial qui me semble toxique."
https://france3-regions.francetvinfo.fr/bourgogne-franche-comte/viol-genlis-cette-petite-fille-est-danger-institution-judiciaire-alimente-ce-danger-1436203.htm