Que fait Schiappa ?

Les faits remontent au mois de novembre 2016. Une fillette âgée de 4 ans raconte à sa famille qu’elle a été victime d'attouchements de la part de l'instituteur remplaçant qui intervient dans sa classe.

L’enseignant est mis en examen pour viol et agressions sexuelles sur mineure. Il est emprisonné pendant quatre mois, avant d’être remis en liberté.
En novembre 2017, ce professeur des écoles voit sa mise en examen levée, car il n’existe aucune charge grave et concordante contre lui.
L’ADN identifié n'est pas celui de l'instituteur, mais celui d'un membre de la famille paternelle de l’enfant.
En décembre 2018, trois personnes masculines issues de la lignée paternelle de la fillette - le père, l’oncle et le grand-père - sont placées en garde à vue, mais aucune mise en examen n’est prononcée.
le Collectif Droits Des Femmes 21.

Ce "collectif d'associations luttant pour le droit des femmes et son application réelle en informant et sensibilisant le public" a décidé d’alerter plusieurs personnalités. Elle a écrit notamment à Adrien Taquet, secrétaire d’Etat à la protection de l’enfance, Nicolle Belloubet, Garde des Seaux, Marlène Schiappa, secrétaire à l’Égalité entre les femmes et les hommes, Jacques Toubon, défenseur des Droits, Éric Mathais, procureur de la République de Dijon, Bruno Laplane, président du tribunal de grande instance de Dijon, etc.

Contacté par France 3 Bourgogne, le parquet de Dijon n'a pas souhaité s'exprimé...et se range derrière l'avis de l'aide sociale à l'enfance, qui, l'an dernier, n'avait pas demandé de mesure particulière de protection.
https://france3-regions.francetvinfo.fr/bourgogne-franche-comte/cote-d-or/dijon/genlis-pourquoi-enquete-viol-fillette-n-avance-pas-1677203.html

S'il avait été afghan ou pakistanais il aurait eu que du sursis ou même rien (je remets pas les liens toutes les personnes de bonne volonté les connaissent)

C'est quand même incroyable cette chape de plomb sur cette affaire. On a l'ADN du violeur et personne ne bouge le petit doigt pour l'arrêter et mettre l'enfant hors de danger.
Sont quoi les parents de la petite fille violée ? Des personnes haut placées ?
Schiappa, toujours la parole en avant pour dire des con.eries, ne dit mot.

    M'est avis qu'il n'y a pas de soutane dans l'affaire

    cemab vu le silence, si là c'est pas un curé, c'est pas un blanc oppressif...

    C'est vrai que quand on a un oncle curé, on cumule les facteurs de risque.

      katou C'est quand même incroyable cette chape de plomb sur cette affaire. On a l'ADN du violeur et personne ne bouge le petit doigt pour l'arrêter et mettre l'enfant hors de danger.

      Lenteurs et cafouillages habituels de la justice ....

        cheshire-cat C'est vrai que quand on a un oncle curé, on cumule les facteurs de risque.

        Et lorsque c'est un cousin musulman à vous, ce n'est pas un crime, mais un fait autorisé par votre religion. Donc, facteur à risque multiplié par le nombre de cousins au bled !

        Au bled ils se marient entre cousins. Il n'y a donc pas de difficulté à forniquer avec.

        L'enfant avait menti en disant que c'était l'enseignant qui l'avait violée, je me demande donc si c'était la première fois qu'elle subissait des attouchements par son père, son oncle ou son grand-père, celui à qui appartient l'ADN trouvé. Ce côté affirmatif de l'enfant montre qu'elle a été conditionnée à mentir.
        "La victime présumée, la petite Julie, qui a eu 4 ans la veille du dépôt de la plainte, présente effectivement, selon l’expertise médicale, des traces d’agression sexuelle. Aux dires de sa mère, elle désigne spontanément l’enseignant. L’agression se serait déroulée le lundi 14 novembre, jour où le père découvre des traces de sang dans la culotte de sa fille au moment de la douche du soir."

        Cette affaire est grave sous plusieurs aspects : viol d'enfant, enfant qui ment intentionnellement ou pas, inculpation et mis en détention prolongée sur plusieurs mois d'un soi-disant violeur, justice qui a tous les éléments et ne fait rien alors que le viol sur mineur par un parent est un crime.
        La justice doit rendre aussi des comptes au professeur des école qui a eu la vie complètement chamboulée, sans parler du préjudice morale qu'a subi sa famille.

        L’avocate poursuit : "Il y a un véritable déni dans ce dossier. Une mise en danger volontaire de la part du juge d’instruction, de cette petite fille qui est maintenue dans un milieu familial qui me semble toxique."
        https://france3-regions.francetvinfo.fr/bourgogne-franche-comte/viol-genlis-cette-petite-fille-est-danger-institution-judiciaire-alimente-ce-danger-1436203.htm

        cheshire-cat enteurs et cafouillages habituels de la justice ....

        Il n'y a pas de cafouillage puisque la justice sait grâce à l'ADN mais elle ne fait pas grand chose volontairement. L'enseignant a été tout de suite suspendu et mis en prison alors qu'il était innocent, elle n'a pas attendu, la justice.

        SChiappa est prête à bondir sur des propos grossiers qui n'ont rien à voir avec "la culture du viol" qu'elle clame à qui veut l'entendre et ne fait rien en ce qui concerne ce genre d'affaire très grave. La petite fille a bien été violée, sa famille lui a dit de mentir sur son violeur et puis ... c'est tout, la justice la laisse avec son violeur.

          Quelques précisions

          Depuis avril dernier, le dossier est retourné chez le juge d'instruction, donc plus d'investigation en cours ! Du côté de l'enquête confiée à l'Aide Sociale à l'Enfance, d'après le Procureur "elle ne relevait pas d'éléments de danger ou inquiétants. Raison pour laquelle nous n'avions pas saisi le juge des enfants."

          Le point de vue

          On remarquera que, focalisant, sur le sort de l'instituteur -- autre victime de cette affaire dont le nom a été jeté, sans délai, en pâture à la vindicte publique -- l'auteure de l'article, Amandine Robert, omet un détail d'importance.

          La gendarmerie lieu présumé du viol

          C'est qu'en effet la gendarmerie de Genlis, lieu présumé du viol de la fillette, a été chargée de l'enquête initiale, dès novembre 2016.

          La seule mention de la noble institution dans l'article ci-dessus figure au titre de "rappel des faits" : en mars 2018 " le juge d'instruction retire l'affaire à la gendarmerie et la confie à la P.J. de Dijon".Soit 1 an et 4 mois après les faits !

          Coupable naïveté ?
          Et aujourd'hui, on feint de s'étonner que l'affaire n'avance pas ? Coupable naïveté ? Ou une manifestation supplémentaire d'une omerta qui, ô paradoxe, ne cherche même plus à se déguiser, avec la complicité de la presse régionale de surcroît ?

          Genlis, trois ans après, l'enlisement
          Ici et maintenant, la question principale n'est-elle pas de savoir qui s'inquiète aujourd'hui de cette enfant de Genlis, toujours vivante, qui n'a même pas de nom, même pas un pseudo ? Qui se soucie des séquelles plus que probables ? A-t-elle au moins bénéficié d'un suivi adapté ? Seule Me Marie GRimaud en son temps a mené campagne de presse au plan national, mais désormais disparue des radars sur l'affaire qui nous occupe ! Pourquoi ? Est-il admissible que des tractations soient conclues au détriment de l'intégrité physique et psychologique d'une enfant, victime rescapée de viol à l'âge de 4 ans ? Sacrifiée à l'intérêt supérieur de l'État ? Non !

          "L'impression que la justice se désintéresse du sort de l'enfant"
          La seule explication selon lui: un conflit d’intérêt. "La mère de la fillette est gendarme, elle a travaillé dans des sections de recherche. On n'a jamais vu ça. Le conflit d'intérêt a joué à 100% dans cette affaire". Eric ne comprend pas qu'on ait pu le mettre si rapidement en examen, alors que "quand on sait que le suspect aujourd'hui est un membre de la famille de la fillette, que le risque est permanent et quotidien pour l'enfant, là la justice estime qu'il faut prendre le temps. Pourtant on est quasiment certain que cet enfant court un danger. On a l'impression que la justice se désintéresse du sort de l'enfant".

          De son côté le procureur de la république de Dijon rappel que l’instruction se poursuit et s’étonne qu’après avoir reproché à la justice d’être allé trop vite pour mettre en cause l’instituteur. On lui reproche d’être aujourd’hui trop lente.
          https://rmc.bfmtv.com/emission/accuse-a-tort-de-viol-un-enseignant-denonce-l-inertie-de-la-justice-l-enseignant-c-est-le-parfait-bouc-emissaire-1347673.html

          cheshire-cat
          et imaginez, pour un peu qu'il soit en plus d'une minorité visible et bariolée...

          En tout cas si cette petite fille est toujours en contact avec un prédateur pourquoi Schiappa et compagnie ne font rien ? Pour une fois Schiappa servirait à quelque chose.

          katou Il n'y a pas de cafouillage puisque la justice sait grâce à l'ADN mais elle ne fait pas grand chose volontairement. L'enseignant a été tout de suite suspendu et mis en prison alors qu'il était innocent, elle n'a pas attendu, la justice.

          Votre lien ne marche plus, en voici un autre:
          https://france3-regions.francetvinfo.fr/bourgogne-franche-comte/cote-d-or/dijon/genlis-pourquoi-enquete-viol-fillette-n-avance-pas-1677203.html

          Il n'est pas exceptionnel que la justice criminelle soit prompte à mettre les gens au trou et lente à les sortir de là quand les charges s'effondrent.

          Pour la suite : Il semble que le chromosome Y de violeur soit identique à celui du père.
          Cela ne suffit pas à prouver une culpabilité mais conduit à trois suspects de la famille (il pourrait y en avoir d'autres dans la famille éloignée) .
          Il ne serait pas compliqué de prélever des empreintes génétiques complètes pour innocenter les innocents et accabler le coupable.
          Et c'est à faire d'urgence !

          Un juge d'instruction en congé longue maladie ?

          La mère a dit que sa fille lui avait désigné sans hésitation le prof des écoles comme son violeur. Comme ce n'est pas ce prof, pourquoi une gamine de quatre ans aurait dit cela ? On lui a forcément dit de le dire et comme c'est son père qui est venu la chercher à l'école ce jour-là, pour moi il y a un problème avec le père.

          La victime présumée, la petite Julie, qui a eu 4 ans la veille du dépôt de la plainte, présente effectivement, selon l’expertise médicale, des traces d’agression sexuelle. Aux dires de sa mère, elle désigne spontanément l’enseignant. L’agression se serait déroulée le lundi 14 novembre, jour où le père découvre des traces de sang dans la culotte de sa fille au moment de la douche du soir.