Guillaume Gibault
Fondateur de l'entreprise "Le slip français"
ça avait bien commencé, a l'air sympa, monte une entreprise fondée sur l'image du Made In France avec un mélange d'humour, de second degré et de bizness. Image plutôt nationaliste et identitaire.
.. sauf que ce type est un lâche, une larve.
Même pas foutu de résister à la pression des indigénistes, gauchistes racialistes et autres groupes de pression néo-fascistes. Se plie comme une grosse merde sans honneur, comme un progressiste qu'il est.
Ceci alors que la pression est faible, pour l'essentiel juste du bruit sur un réseau social remplit de tarés: Facebook.
Pour la rentrée [2019] la marque lance un coup de com’ : le patron pose avec une quarantaine de collaborateurs, hommes et femmes, à moitié vêtus mais tous portant de manière apparente le slip à la cocarde tricolore. Une manière de faire savoir que la firme s’attaque, désormais, au marché féminin. Las, sur la photo, il n’y a que des Blancs (ou Blanc.he.s, pour parler en écriture inclusive). Les « indigénistes » s’indignent et lancent une campagne sur les réseaux sociaux. Au lieu de laisser filer, Guillaume Gibault reconnaissait le manque de diversité des ses « slipistes ». Premier aveu de faiblesse.
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Là-dessus, le Slip français est pris par la patrouille des Sleeping Giants, des activistes d’extrême gauche qui veulent assécher les ressources publicitaires des médias « mal-pensants ». Leur cible ? Valeurs actuelles, Boulevard Voltaire, notamment. Là encore, au lieu de laisser pisser (pardon), Guillaume Gibault s’exécute en faisant enlever les publicités de sa marque sur ces médias car cela ne correspond pas aux « valeurs de l’entreprise » (sic !).
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Arrive le réveillon. Dans un esprit carnaval, quelques salariés de l’entreprise organisent, à leur domicile, une fête sur fond de « Saga Africa ». Danse et faune locale au programme avec des Blancs grimés en Noirs (horreur), voire en singe. De l’humour potache qui scandalise, cinq ans après que toute la France bien-pensante a défilé sur le thème « Je suis Charlie ». C’est-à-dire la défense du droit à l’humour même agressif, même de mauvais goût. Les « indigénistes » lancent une campagne de boycott. Le patron se soumet à nouveau.
https://www.bvoltaire.fr/slip-francais-lachete-et-totalitarisme-dentreprise/
Un lâche indigne d'utiliser la cocarde tricolore.