C'est justement cela que les pro IVG ne veulent pas, cad responsabiliser la femme qui avorte.
Pour cette raison que le gouvernement veut supprimer les sites pro vie qui montrent visiblement ce qu'est l'avortement et poussent ainsi à la responsabilité. L'IVG gratuite et plus aucun site pour montrer ce que c'est vraiment qu'un avortement, cela déresponsabilise.
Nous avons des politiques qui ont créé une machine mortifère et ils en sont satisfaits, faut donc pas la casser.
vous faites de la désinformation
les pro IVG responsabilisent la femme qui avorte
des entretiens préalables sont obligatoires pour que la femme prennent connaissance des risques, des problèmes psychologique, et ne le fasse que responsabilisée
vos site anti IVG peuvent tout à fait s'exprimer tant qu'ils ne déforment pas la réalité, invente des douleurs qui n'existent pas, transformes les complications qui ont lieu 2-3% des cas en "fréquent", etc
ne laissez pas votre position anti IVG vous conduire à utiliser des faux arguments, restez en à la réalité.
vous pouvez dire que vous estimez que l'IVG est un crime, mais vous ne pouvez pas dire que ces sites disent la vérité, c'est indigne de vous
Le mensonge est omni présent chez les pro IVG, je te vise, évidemment.
IVG : la consultation initiale
Après confirmation de la grossesse, et si celle-ci n'est pas désirée, un rendez-vous doit être pris chez un médecin généraliste ou dans un centre de planification.
Une prise de sang, un examen gynécologique et/ou une échographie sont réalisés. Ce bilan médical permet de déterminer l'existence éventuelle de contre-indications à certaines techniques d’IVG, ainsi que la date du début de la grossesse.
Cette consultation représente aussi l’occasion de s’informer sur les méthodes d’avortement existantes, sans occulter les risques potentiels de chacune : « Dans la limite des contre-indications médicales, il doit être laissé à la femme la liberté de choisir entre les différentes techniques », précise le Dr Danielle Gaudry.
Il existe deux principales méthodes d’IVG : médicamenteuse et chirurgicale (par aspiration). Si l’intervention chirurgicale sous anesthésie générale est choisie, un rendez-vous avec l’anesthésiste est obligatoire.
Toute femme ayant recours à une interruption volontaire de grossesse doit signer un consentement écrit avant l’intervention.