et vous faites comment, pour l'interdire, l'amour libre ???
C'est pour cela que j'ai remplacé le terme par "décourager", lorsque j'ai édité. C'est le discours que je tiens qui doit redevenir légitime: insistons sur une vision du mariage saine comme je le fais, sur la responsabilité des époux avant l'acte, sur le respect de l'autre: le fait qu'il ne doit pas être un simple moyen d'accéder au plaisir...
Supprimons l'avortement; si besoin, décourageons le divorce par des taxes, avant de le supprimer, ou au moins limitons - le à une seule possibilité; taxons le concubinage aussi s'il se poursuit trop longtemps...
De toute façon, il est clair que s'il faut réformer les mœurs, cela ne peut se faire que progressivement; on ne passe pas du tout permis, à une éthique de vie, en quelques mesures, et en quelques jours.
Tout l'enjeu d'une telle réforme serait et le bien commun de tous, et celui des familles; n'accepter la liberté que lorsqu'elle n'est pas nocive. Par exemple, que nous apprenions à nous connaître avant de nous engager d'accord, mais... il faut quand même s'engager à un moment donné.
De toute façon, pour qu'un mariage marche, il faut qu'il soit précédé d'une véritable réflexion:
Évidemment, pour que cela marche, il faut préparer son mariage: comprendre les difficultés qui nous attendent, avant de s'engager en toute liberté. Il faut essayer de se projeter dans l'avenir: l'époux ou l'épouse peut changer physiquement, mais aussi au niveau du caractère; il peut nous décevoir... ; de même, qu'il ne faut pas succomber à l'attrait de la nouveauté, une autre personne qui sur le moment paraît plus séduisante, même si dans le même temps, le désir sexuel s'amenuise... Ne réduisons pas l'amour à l'union des corps.
P.S: j'ai bien conscience de deux choses messieurs: 1) les responsabilités, oui, ça fait chier; 2) le mariage, oui, c'est une capitulation.
Vous causez bien, soit comme un musul, soit, comme un catho bien arriéré.