Je m'en veux d'ouvrir un fil sur un sujet dont on parle beaucoup trop sur ce forum mais la nouveauté de ce rapport le justifie. Voici l'ensemble du rapport qui couvre divers aspects, notamment l'appartenance politique ou la tendance à gauche n'est pas si prononcée que cela.

http://www.institutmontaigne.org/fr/pub ... t-possible

Qui sont les musulmans de France ?

Le portrait des musulmans de France tel qu’il ressort de cette enquête décrit une réalité très contrastée. La première, à rebours de beaucoup d’idées reçues, est qu’il n’y a ni « communauté musulmane », ni « communautariste musulman » unique et organisé. Il existe des Français de culture et de confession musulmane, dont le sentiment d’appartenance à la communauté musulmane est avant tout individuel : peu d’engagement associatif au nom de l’islam ou encore la faiblesse d’un sentiment de destinée collective.

Quatre traits partagés sont caractéristiques des musulmans de France :

1. une pratique religieuse régulière :

31 % des enquêtés qui se déclarent musulmans se rendent une fois par semaine dans une mosquée ou une salle de prière, contre 8,2 % dans la population générale ;

2. le respect marqué de la norme alimentaire halal :

70 % des enquêtés déclarent « toujours » acheter de la viande halal, 22 % en achètent « parfois » et seulement 6 % « jamais » ;

3. le soutien au port du voile, majoritaire malgré d’importants clivages :

environ 65 % des musulmans – de religion ou de culture – se déclarent favorables au port du voile ;

4. l’absence d’un communautarisme musulman généralisé :

78 % des enquêtés qui se déclarent musulmans – inscrits sur les listes électorales – disent qu’ils ne votent pas systématiquement pour un candidat musulman aux différentes élections.

31% de pratiquants, et combien susceptibles de se radicaliser (ou déjà radicalisés) ?

Combien considèrent que la charia est applicable, et doit prévaloir sur la loi nationale ?

Le plus intéressant manque dans cette "étude" qui ressemble surtout à une opération de comm.

Une étude bien orientée gauche toutequi se contredit, comme on pouvait s'y attendre. Ainsi les muslims ne sont pas communautaristes pour un sou, mais ils sont majoritairement à bouffer halal, pour le port du voile qui est l'emblème du communautarisme et qu'ils sont plus de 60% à se rendre au temple régulièrement.

Et le bouquet final -"le sentiment d'appartenance à la communauté muslim et avant tout individuel ! Nul besoin de développer plus. :

"C’est parce que la méfiance, l’ignorance et l’hostilité croissante d’une partie de la population menacent notre cohésion nationale qu’il est indispensable que les musulmans de France mènent une bataille de la connaissance afin de lutter contre les idées reçues et contre le fondamentalisme"

Hakim El Karoui

C'est quoi le fondamentalisme musulman ?

ça semble confirmer que la plupart des musulmans ne sont pas islamistes et que donc en procédant intelligemment il doit y avoir moyen d''éradiquer la France de l'islamisme sans que les musulmans qui sont de bon français se sentent visés.

Une étude bien orientée qui se contredit, comme on pouvait s'y attendre. Ainsi les muslims ne sont pas communautaristes pour un sou, mais ils sont majoritairement à bouffer halal, pour le port du voile qui est l'emblème du communautarisme et qu'ils sont plus de 60% à se rendre au temple régulièrement.

Et le bouquet final -"! Nul besoin de développer plus. :

Ce n'est pas ça le communautarisme. Pratiquer sa religion ne dénote pas une volonté de vivre de façon dépendante au sein de sa communauté. Ça ne démontre pas non plus une quelconque organisation communautaire. Ce sont des caractères de la population musulmane mais qui elle est dispersée et non organisée.

Comme dit dans leur conclusion:

Ce portrait des musulmans de France décrit une réalité très contrastée. La première, à rebours de beaucoup d’idées reçues, est qu’il n’y a ni «communauté musulmane», ni «communautarisme musulman» unique et organisé. Il existe des Français de culture et de confession musulmane, dont le sentiment d’appartenance à la communauté musulmane est, d’abord et avant tout individuel: peu d’engagement associatif au nom de l’islam, des choix politiques aux élections très faiblement influencés par «l’islamité» réelle ou supposée d’un candidat, la faiblesse du sentiment de destinée collective, très peu d’écoles confessionnelles.

Cette étude te dérange car elle ne va pas dans le sens de tes préjugés mais elle est très intéressante car réaliste.

l’absence d’un communautarisme musulman généralisé

Le communautarisme musulman défie l'école

Une note confidentielle des services de renseignements, portée à la connaissance du Figaro , révèle que, de manière insidieuse, une forme de repli identitaire se fait jour dans certains établissements scolaires.

Port du voile dans la cour de récréation, revendication de repas halal à la cantine, absentéisme chronique lors des fêtes religieuses, prières clandestines… De manière inexorable, le communautarisme musulman gagne du terrain dans le système éducatif. À fleuret moucheté, il se propage au risque de faire vaciller le principe de laïcité censé en être la clé de voûte. Dix ans après la promulgation de la loi sur le port des signes religieux en milieu scolaire, le phénomène a pris des contours tels que les experts de la sous-direction de l'information générale (IG) de la Direction centrale de la sécurité publique, rebaptisée Renseignement territorial (RT), ont livré un examen au scalpel d'un fait qui, précisent-ils d'emblée, ne relève pas d'une «stratégie structurée» mais d'«initiatives isolées» susceptibles de «déstabiliser les équipes enseignantes». «Une stratégie à moyen ou long terme que l'on pourrait qualifier d'usure.»

Dans une note confidentielle portée à la connaissance du Figaro, ils dressent un état des lieux nuancé et édifiant. Ce document, daté du 28 novembre dernier, est émaillé d'environ 70 exemples précis à travers la France. Tous sont révélateurs et, parfois, surréalistes. Si l'application du texte du 15 mars 2004 prohibant les signes religieux à l'école «ne semble plus soulever de difficultés majeures», «le port du voile est en plein essor à l'extérieur des établissements, dans quasiment tous les départements». Et de citer le cas d'un lycée à Marseille «où la moitié du public féminin, toutes classes et formations confondues, se présente quotidiennement revêtu d'un voile, soit environ 600 jeunes femmes».

«Certaines adolescentes ne renoncent pas à défier l'autorité», déplore la note en citant le cas de lycéennes scolarisées à Longlaville (Meurthe-et-Moselle) qui bravent le règlement intérieur en se voilant dans la cour de l'établissement. À en croire le document à en-tête de la police et de la gendarmerie nationale, le problème prend toute son acuité quand il «s'agit des parents, la loi de 2004 ne permettant pas de faire face à tous les cas de figure». «C'est ainsi qu'élues par les parents d'élèves, des mères voilées pénètrent dans les établissements pour siéger au conseil d'administration, la tête couverte, sans qu'aucune disposition légale ne les en empêche». Ce qui entraîne la «protestation d'un corps enseignant attaché à la laïcité» et celle des élèves «contraintes d'ôter leur voile» à l'entrée et qui réclament une «égalité de traitement avec leurs aînées». Le nombre des candidates voilées au baccalauréat serait lui aussi en augmentation, puisque «la loi leur permet de se présenter ainsi accoutrées aux examens». Ainsi, en juin 2012, lors d'un concours d'aides soignantes dans un lycée marseillais, les candidates étaient «porteuses de toutes sortes de voiles islamiques», déclenchant là encore un regain de revendications de la part de ses propres élèves.

Le nombre des candidates voilées au baccalauréat serait lui aussi en augmentation, puisque « la loi leur permet de se présenter ainsi accoutrées aux examens ».

Par ailleurs, si elle juge les programmes scolaires «peu impactés», la note pointe des «difficultés», notamment en matière de sciences de la vie et de la terre (SVT), lorsque «certaines familles vont jusqu'à dispenser leurs enfants de cours» quand est abordé le sujet de la reproduction. Par ailleurs, des «contestations peuvent poindre» en histoire-géographie quand sont évoqués des «sujets sensibles» tels que «la guerre d'Algérie, la décolonisation, les harkis, la Palestine, la Shoah».

De manière plus «anecdotique», la note évoque le cas de ce lycée professionnel de Nîmes «spécialisé dans l'hôtellerie et l'esthétique» où le proviseur s'est ému du «refus de goûter les plats contenant du porc», de «préparation de toute autre viande non hallal». L'incompréhension devient totale face aux «refus de goûter les vins et alcools en section œnologie» ou à l'hostilité d'apprenties esthéticiennes de «toucher le corps d'une autre fille ou de procéder à une épilation». Toujours selon les policiers, la «tradition islamique rigoriste» toucherait plus les cours de sport. Ainsi, dans le Châlonnais, deux élèves féminines en moyenne par classe s'opposeraient à se mettre en maillot de bain pour les cours de natation, allant jusqu'à prétexter de mystérieuses allergies au chlore… «Dès lors, pour éviter tout problème, le cycle de natation a été supprimé pour les secondes, raconte la note. Les premières et les terminales se voient proposer un sport de substitution.»

Les «chefs d'établissement paraissent particulièrement démunis»

Au registre des «signes avérés de repli» face auxquels les «chefs d'établissement paraissent particulièrement démunis», les analystes du Renseignement territorial mentionnent pêle-mêle les cas d'un interne à Breuil-le-Vert (Oise) qui «réveillait ses trois coreligionnaires tous les matins à 6 heures pour la prière», de cet entraîneur en sport études de Wittenheim (Haut-Rhin) proposant à «l'équipe de football de faire la prière avant chaque match», les «corans posés sur les coins de table» par défi, ou encore de ces sonneries de portable lançant des «appels à la prière ou chants coraniques».

Et les policiers de désigner ce qu'ils appellent les «jeunes gardiens de l'orthodoxie», qui, «un peu partout sur le territoire national (…) distribuent conseils et remarques, avec parfois beaucoup d'agressivité». Les pressions, qui viseraient en particulier les filles «placées sous la surveillance constante des garçons», atteindraient leur paroxysme en période de ramadan. Ainsi, un lycéen de Chalon-sur-Saône autoproclamé «gardien de la loi islamique» a frappé une camarade musulmane de seconde car elle ne consommait pas hallal. Plus récemment, un élève de Valence a été quant à lui épinglé pour imposer aux «filles de s'habiller plus sobrement, sans maquillage, ni bijoux».

Face aux «sollicitations permanentes pour la nourriture halal», des municipalités n'hésitent plus à anticiper d'éventuelles requêtes, même si les instructions académiques départementales autorisent, en vertu d'une circulaire d'août 2011, la mise à disposition d'un plat alternatif lorsque le porc est prévu au menu des cantines. Ainsi, en décembre 2012, la municipalité du Havre (Seine-Maritime) avait préféré retirer des cantines des mousses au chocolat au prétexte qu'elles contenaient de la gélatine de porc. «L'adjoint au maire concerné, arguant d'une “nécessité sanitaire”, a fait jeter à la poubelle les 8500 entremets et provoqué l'émoi médiatique», ponctuent les auteurs du rapport avant de trouver une situation «plus problématique» à la cantine d'un collège de Lingolsheim (Bas-Rhin), où «se constituent des tables “sans porc” auxquelles les enfants non musulmans ne peuvent s'asseoir que si le contenu de leur assiette répond à ce critère»… Enfin, si les exigences en termes de pratique de la prière sont «rares» en milieu scolaire, la note remarque cependant quelques manifestations éparses. Ainsi, dans un lycée francilien, «les élèves avaient déployé des tapis de prières dans un coin des gymnases afin de se livrer à cette obligation religieuse». Ou encore la présence d'une «salle de prière clandestine» dans un local attenant à la cuisine d'un établissement nîmois où un agent de service affirme y avoir vu jusqu'à une trentaine d'élèves y prier simultanément. À Vénissieux et à Oullins (Rhône) ou encore à Garges-lès-Gonesse (Val-d'Oise), une cour de récréation, une salle de permanence et un couloir, entre deux portes coupe-feu, ont respectivement servi de cadre de fortune à cette ferveur religieuse.

Globalement, décryptent les experts du renseignement territorial, «le profil des élèves mis en cause pour des comportements contraires aux principes de laïcité présentent souvent des similitudes».«Fragilisées», ces jeunes recrues de l'islam, «particulièrement perméables aux discours de groupes prosélytes», sont «livrées à elles-mêmes». À croire que ces rejetons perdus se sont éloignés du chemin de l'école, au point d'en garrotter l'esprit républicain.

Absentéisme record pour l'Aïd

«Lors des fêtes musulmanes, et plus particulièrement lors de l'Aïd- el-Kebir, des classes sont désertées»: ce constat évoqué dans la note du Renseignement territorial serait d'autant plus chagrinant que «ce phénomène s'enracine dans le temps et prend de l'ampleur». Statistique à l'appui, la stricte observance de la «fête du sacrifice» se traduit cette année par des taux d'absentéisme records. Le jour de la «fête du mouton», ils atteindraient, selon le rapport, les 90% aux collèges Vilar à Saint-Gilles (30) et La Reynerie à Toulouse, 80 % pour l'Ariane et 50% pour la zone des Moulins, deux quartiers de Nice, ou encore 24% au collège Albert-Camus de La Chapelle-Saint-Luc. L'absentéisme concernerait aussi «les deux tiers des effectifs dans les établissements des grandes villes de Picardie (Amiens, Creil ou Compiègne)». «Fait nouveau, ce phénomène affecte les écoles primaires», avancent les services de renseignement qui énumèrent, toujours à l'occasion de l'Aïd, des taux d'absentéisme culminant à «95% à l'école élémentaire Vaillant dans le quartier Pissevin de Nîmes, 90 % à l'école élémentaire Wallon dans le quartier Valdegour de Nîmes» ou encore à «80% à l'école primaire Edouard-Herriot de Châtellerault».

La période du ramadan est aussi sensible. La dernière fois qu'elle s'est déroulée en période scolaire remonte à 2010: cette année-là, précise la note, «il n'était pas rare que les élèves sollicitent, en vain, les responsables afin de disposer de salles pendant les heures d'études dans le but d'étudier le Coran». De plus, affirment les auteurs, cette «période génère des comportements inquisiteurs qui se caractérisent par des insultes, des brimades, voire des menaces à l'égard des élèves d'origine maghrébine qui n'observent pas le jeûne, lesquels tendent à obtempérer ou à simuler». Les difficultés devraient se reposer d'ici deux ans, le ramadan devant coïncider avec la période du baccalauréat.

http://premium.lefigaro.fr/mon-figaro/2 ... -ecole.php

Je ne comprends pas que l'on puisse réfuter le communautarisme arabo-musulman, qui est à la fois un sentiment d'appartenance à une communauté de croyants, la religion commune imposant de plus des obligations lourdes (voile, ramadan, prière, hadj...) et des interdictions alimentaires ou autres (alcool, porc...) qui placent les mahométans en marge des us et coutumes du monde occidental.

La dénégation est ici un mensonge énorme et stupide.

Cette étude te dérange car elle ne va pas dans le sens de tes préjugés mais elle est très intéressante car réaliste.

tu espérais quoi en publiant cette étude sur fopo ?

Nous enfumer, très probablement...

Mais on aura au moins appris que 28% à 29% (plus d'1 sur 4) sont irrécupérables :

Le dernier groupe, que l'Ifop évalue à 28%, réunit des croyants qui ont "adopté un système de valeurs clairement opposé aux valeurs de la République", s'affirmant "en marge de la société". Les jeunes, les moins insérés dans l'emploi et les convertis sont les plus disposés à adhérer à ce modèle.

Dans le détail, comme le met en exergue Le JDD, 29% des interrogés se sont déclarés "d'accord" à l'affirmation suivante: "La loi islamique (charia) est plus importante que la loi de la République".

http://www.bfmtv.com/societe/islam-fran ... 38242.html

Comme c'est curieux, notre ami jabar a oublié ce "détail"...

Cette étude te dérange car elle ne va pas dans le sens de tes préjugés mais elle est très intéressante car réaliste.

tu espérais quoi en publiant cette étude sur fopo ?

Dire que certains ont des préjugés sur l'islam, il le dit plus haut.

5,6 % de la population française (66 000 000 habitants), soit 3 696 000 personnes.

29 % de ces 3 696 000 musulmans, soit 1 071 840 musulmans sont contre les valeurs de la république française et pour la charia !

1 million sur 65 millions !

1 sur 1000 de ces cinglés sort du chemin battu, et il y a potentiellement 1000 terroristes dormants sur le territoire français !

Mais encore une fois : padamalgam !

L’Institut Montaigne est convaincu que construire un islam français est possible. Mais son organisation, son financement, ses liens avec l’État ainsi qu’avec les pays dits « d’origine » doivent se transformer sous peine, faute de résultat, de rendre insupportables les tensions sociales que chaque attentat approfondit.

L'étude de l'Institut Montaigne est intéressante. Dommage qu'elle réponde à un objectif politique, idéologique même : celui de soumettre encore davantage la population non musulmane de ce pays. Etude qui arrive 40 ans trop tard puisque la présence musulmane en France, aujourd'hui, n'est plus résiduelle mais envahissante. Les conclusions de cette étude sont, par ailleurs, biaisées : 46% représente, pour les auteur de cette étude, une majorité silencieuse. Pour moi, cela constitue plutôt une forte minorité. Je peine à croire que M. El Karoui, agrégé de Géographie, ait quelque problème de vocabulaire. :

il n’y a ni « communauté musulmane », ni « communautariste musulman » unique et organisé.

Sans blague : première porte ouverte enfoncée. Chacun aura remarquer que l'Islam est profondément marqué par des divisions politico-spirituelles ; de faite, étant donné que l'invasion que subit la France provient de l'ensemble du monde musulman (Maghreb, Afrique noire, Proche-Orient, Moyen-Orient etc.), et bien nous retrouvons en France les divisions qui caractérisent l'Islam.

Cependant, s'il n'y a pas de "communauté musulmane" solide et organisée à l'échelle nationale, il existe bien des réflexes communautaires de la part de ces populations allogènes et qui s'expriment à des échelles locales. Prenons l'exemple de Lunel : qui peut contredire qu'il existe là-bas une solide communauté musulmane malékite qui a, de fait, remplacé la population autochtone blanche ?

Les musulmans, comme l'ensemble de la population vivant en France, adoptent des attitudes communautaristes et se regroupent par accointance, ce qui est logique. Lorsque les musulmans sont minoritaires, ceux-ci se regroupent avec leur coreligionnaires ; ensuite, chacun se groupe autour de sa chapelle (marocains, turques, albanais...).

5,6 % de la population française (66 000 000 habitants), soit 3 696 000 personnes.

D'où sort ce chiffre fantaisiste d'ailleurs ?

5,6 % de la population française (66 000 000 habitants), soit 3 696 000 personnes.

D'où sort ce chiffre fantaisiste d'ailleurs ?

Ce sont les % officiels !

Attention au négationnisme !

Pour ma part, malgré les chiffres officiels, je pense qu'ils sont au moins 6 à 8 millions en France, les mahométans !

Propagande abjecte, cette pseudo étude.

A minima, comme on présentait le chiffre de 6 millions de musulmans y'a 5 ans, on pourrait éviter de prendre les gens pour des cons et leur dire qu'il n'y a même pas 4 aujourd'hui.

Les 4 millions, tu les as sur la seule région parisienne, t'sais.

5,6 % de la population française (66 000 000 habitants), soit 3 696 000 personnes.

D'où sort ce chiffre fantaisiste d'ailleurs ?

Ce sont les % officiels !

Attention au négationnisme !

Pour ma part, malgré les chiffres officiels, je pense qu'ils sont au moins 6 à 8 millions en France, les mahométans

Non, ce sont des "estimations" de gauchistes. Rien d'officiel.

Misons plutôt sur 10-12.

D'où sort ce chiffre fantaisiste d'ailleurs ?

Ce sont les % officiels !

Attention au négationnisme !

Pour ma part, malgré les chiffres officiels, je pense qu'ils sont au moins 6 à 8 millions en France, les mahométans

Non, ce sont des "estimations" de gauchistes. Rien d'officiel.

Misons plutôt sur 10-12.

Tu dis 10/12, moyenne 11 !

Je dis 6/8, moyenne 7 !

Coupons la poire en deux : 9 millions ?

5,6 % de la population française (66 000 000 habitants), soit 3 696 000 personnes.

D'où sort ce chiffre fantaisiste d'ailleurs ?

On ne sait pas puisque c'est interdit de recenser les adeptes de religions au nom de la liberté de pensée.

Je m'en veux d'ouvrir un fil sur un sujet dont on parle beaucoup trop sur ce forum mais la nouveauté de ce rapport le justifie. Voici l'ensemble du rapport qui couvre divers aspects, notamment l'appartenance politique ou la tendance à gauche n'est pas si prononcée que cela.

http://www.institutmontaigne.org/fr/pub ... t-possible

vous avez eu raison, car nous nous opposions sur la part de musulmans qui privilégient leur religion.

Tout d'abord il s'agit d'un sondage, mais tout aujourd'hui

les musulmans représentent 5.6% de la population

1% de la population avait au moins un parent musulman mais ne se dit pas musulman.

On peut donc considérer que 15% d'origine musulmane sont parfaitement intégrés, assimilés, dès la première génération. Donc notre modèle d'intégration fonctionne partiellement

38% sont inactifs

2/3 estiment que la laïcité française leur permet de pratiquer sans contrainte leur religion, donc 1/3 non.

ils sont plus pratiquants (31%) contre 8% dans la population globale

65% soutiennent la pratique du voile

l'analyse identifie 3 population

- la majorité silencieuse (46%) adhérant aux valeurs nationales

- les conservateurs (25%) très pieux, mangeant Halal, s'habillant musulmans, pratiquant la charia sans toutefois la faire passer devant les lois de la république ni demandant la poligamie

- les autoritaires (28%) souvent inactifs, résident dans les banlieues et qui se servent de l'islam comme moyen de révolte contre la société

Si les conservateurs vont énerver les allergiques à l'islam, ce sont les autoritaires qui sont véritablement dangereux.

Pour moi il n'y a pas de raison qu'on ne puisse pas vivre en bonne intelligence avec les 2/3, reste 1/3 qui semble un problème de banlieue sous forme religieuse