Abdelkrim
Abdelkrim, tu t’es plaint que les réponses qui étaient faites à tes divagations scripturales étyaint trop faibles, au regard de ton message. Je t’en propose une plus longue.
Abdelkrim, ton message ne veut strictement rien dire. Ce sont des mots pour les mots, pour amener le lecteur éventuel à considérer que c’est « pensé » !. Ce qui est une blague.
Tu commences par :
« Au-delà du symbolisme strictement spirituel -qui n'est pas inintéressant … »
Est-ce que le symbolisme peut être autre chose que « strictement spirituel » ? Non ! Ou c’est que tu inventes un nouveau sens aux mots. Cherche un manuel de sémantique et de syntaxe à l’usage des écoles maternelles.
Tu écris à propos du Christ : - « si le Christ symbolise l'amour, la négation de sa crucifixion comme s'il était impossible que celui-ci soit mis à mort en l'homme … ».
Déjà affirmer qu’il symbolise l’amour est sujet à caution. Cette affirmation est basée sur les centaines de milliers de cadavres que les croisés, au nom de ce Christ « d’amour » et sous sa bannière « christique », ont laissés dans le sillage de leurs croisades ? Croisades qui pour l’essentiel étaient constituées de bandes de pillards et d’individus qui visaient d’abord le pillage, depuis les petit nobliaux de campagne jusqu’aux nobles soucieux de se tailler des fiefs à coups d’extermination des populations autochtones ?
Ajouter : « … la négation de sa crucifixion comme s'il était impossible que celui-ci soit mis à mort en l'homme … ». En français, tant pour la sémantique que pour la syntaxe, cela ne veut strictement rien dire. « Négation de sa crucifixion » signifie que l’on ne reconnaît pas la réalité de cette crucifixion. Ce qui correspond très exactement à nier l’existence dudit Christ, puisque c’est sur cette crucifixion qu’est basée toute la geste chrétienne.
En outre, comment le Christ peut-il être mis à mort en l’homme ? Si par essence il est présent en l’homme, il est inutile de le proposer au plan universel. Cela ferait double emploi. Ce serait confondre l’essence et la substance. Et à quoi aurait servi les multitudes de missionnaires que la chrétienté à envoyées convertir les tenants d’autres religions ? Ils deviennent non seulement inutiles, mais ne servent plus à rien. Au surplus, s’il est présent en l’homme, c’est que l’évolution l’a prévu ainsi. Et l’organisme humain a un principe. C’est d’éliminer un organe qui ne sert plus à rien. C’est comme cela que l’être humain a perdu la queue que portait ses lointains ancêtres. Et n’en a plus que des traces. L’on peut admettre qu’un chrétien ressente en lui la présence d’un être quelconque. Cela relève de la neuropsychiatrie. Voir à ce sujet l’intervenant habituel de ce forum lorsqu’il est question de voix venant « d’ailleurs ».
Mais s’il s’agit d’un athée ou d’un tenant d’aune autre religion, le Christ en lui ne sert plus à rien à personne. Donc, obéissant aux lois universelles de l’organisme humain, ledit organisme s’est débarrassé de cette part de Christ dont il n’a rien à faire. Donc si l’on compare les humains d’avant les religions révélées concernées ici, et non chrétiens, c’est-à-dire d’avant en gros il y a quatre mille ans, l’on ne peut que trouver chez un chrétien d’aujourd’hui un emplacement occupé par cette part de Christ, et inutilisé chez un musulman, un juif ou un bouddhiste. L’imagerie médicale actuelle nous aurait permis de localiser avec exactitude cet emplacement du corps demeuré, ou devenue, vide. Ce qui n’est pas le cas. Où se cache ce morceau de Christ chez les chrétiens convaincus ?
Tu continues ton propos décousu par : « l'islam se pose comme une alternative juridique à un despotisme romain (en l'occurrence sa variation républicaine) mais surtout féministe où l'homme se voit systématiquement quasiment contraint de s'excuser d'exister ».
Ces bêtises sont plus grosses que toi. Le monde romain était doté d’un corpus de Lois, venant en partie de la Haute Antiquité, et enrichi de l’apport de civilisations précédentes. Lois tellement adaptées à notre monde que nos Lois d’aujourd’hui, par l’intermédiaire de Napoléon, en ont conservé les principales bases. En face, le corpus de Lois de l’Islam est une plaisanterie, consistant en une application de la charia, qui est le concentré de toute la méchanceté et cruauté des humains d’il y a 1300 ans, à une époque de profond obscurantisme sur le plan scientifique, et d’implantation par le fer et le feu des principes les plus sauvages des tribus devenues musulmanes par obligation.
Le « despotisme romain » que tu sous-entend, était mille fois plus avancé, éclairé et humain que les Lois de l’Islam résumés par la charia.
Tu continues : « Le cadre juridique républicain …/… mangera ses enfants mesmérisés par les médias ».
Tout aussi clair que le reste du texte. Les enfants « mesmérisés ». À la limite l’on pourrait rapprocher ce mot de la notion de mesmérisme élargie, c’est-à-dire qui a uhn lien avec le magnétisme animal. Quel rapport avec les Lois du Christianisme ou de la charia ? Sauf à considérer que l’Islam et la charia sont à rapprocher du monde animal. En fait, tu utilises des mots et des notions que tu trouves devoir impressionner ton prétendu « savoir » auprès des lecteurs éventuels de tes élucubrations.
Cerise sur le gâteau tu t’extasies sur la polygamie. « … l’Islam te donne tes 4 femmes soumises sur un plateau ».
Cette remarque est celle d’un esclavagiste pour lequel a femme doit être « soumise » à l’homme. Et l’on sait ce que ce principe veut dire pour l’Islam et la charia. Tous les hommes pensent cela devrait être mis dans un sac et expédiés dans la fosse des Mariannes, pour servir de nourriture aux requins. Quoiqu’en l’occurrence, cela risquerait d’empoisonner les requins. Et eux ne le méritent pas.
Et tu conclues par une merveille d’absurdité. - « … esprit centrique Nietzsche (ne s'y était pas trompé).
Toi, es-tu « centrique » ? Où es-tu allé chercher ce mot en cette occurrence ? Ce mot est utilisé en biologie et en botanique, ce qui n’a rien à voir ici. À la rigueur dans sa notion d’axe. Ce qui dans ton texte signifierait que les quatre femmes soumises sont l’axe central autour duquel doit être apprécié favorablement l’Islam. Effectivement une morale d’esclavagiste. D’esclavagiste mais en outre de violeur permanent et systématique, puisque soumises, ce qui déborde de l’esclavage proprement dit.
Mais surtout, je ne sais sur quel site islamiste tu as dégotté cette référence à Nietzsche, mais elle est bidon et n’a rien à voir avec cette histoire. Tu dois trouver que citer ce type fait chic et instruit, mais encore faut-il savoir de quoi l’on parle. L’on peut faire dire à Nietzsche n’importe quoi et même le contraire, c’est l’une de ses caractéristiques, mais pas ce dont il ne parle pas. Il a érigé en dogme le fait que l’interprétation métaphysique constitue sur le fond une falsification délibérée. Il part du principe que le métaphysicien ne peut que donner une lecture faussée du texte d’origine. Et Que puisque l’être transcendant est forcément dépendant de la pensée du philosophe, il est obligatoire que l’on y trouve une adéquation entre la connaissance et son objet. Comment tu fais pour rattacher ce principe, si tant est qu’il en soit un, au fait que l’exploitation sexuelle de quatre femmes simultanément par un individu aux mœurs d’esclavagiste est une chose recommandable, et dont tu puisses te réjouir ?