Il n'avance pas, c'est le trait de côte qui recule. Vous ne savez ni observer, ni réfléchir !
Vous mettez une photo sans la moindre explication, vous devriez expliquer en premier la position de départ du bunker, avec une photo d'époque, là ou postez une photo d'un bunker sur le sable prétendant que la cote recule à cet endroit, il faudrait être un peu plus explicite.Vous êtes une personne de mauvaise foi. Ce recul a été étudié (et pas par moi) depuis pas mal de temps.
"Evolution depuis 1825.".
Dans sa première phase de travail, l’Observatoire de la côte aquitaine a réalisé une analyse historique du littoral , sur près de 200 ans, à partir de documents anciens. Les résultats de cette étude ont montré que même si l’évolution générale de la côte est marquée par une érosion dominante, elle n’est pas régulière dans le temps. Outre les effets de saisonnalité, certains sites peuvent présenter des périodes de stabilité, d’accrétion sédimentaire ou d’érosion.
Comparaison de documents cartographiques
Les premiers travaux de l’Observatoire de la côte aquitaine ont porté sur la connaissance et l’analyse historique du littoral de 1825 à 1966. L’évaluation des modifications de la bande côtière sur près de 150 ans, repose sur deux documents anciens : les minutes de Beautemps-Beaupré datant de 1825 et la carte IGN (Institut Géographique National) réalisée entre 1957 et 1966 et publiée en 1968.
Ces données cartographiques ont été réunies sous un même format : elles ont été numérisées et mises dans un même référentiel cartographique.
Ce travail de comparaison entre cartes anciennes et modernes d’un même littoral , est une expérience exemplaire et met en évidence des mouvements importants et variés de la côte entre 1825 et 1966 :
- soit une « avancée », c’est-à-dire un gain du continent sur la mer,
- soit un « recul » représentant une érosion, c’est-à-dire une perte du continent au profit de la mer.
Par la suite, l’analyse des déplacements de la côte sur un plus court terme, de 1966 à 1998, a été réalisée par comparaison entre un levé topo-bathymétrie réalisé en 1998 sur l’ensemble du haut-estran entre l’embouchure de l’Adour et la pointe de Grave, et la carte IGN de 1968. (...)
http://littoral.aquitaine.fr/Evolution-depuis-1825.html
... Alors que la tendance moyenne était à un recul du trait de côte de 1 à 3 mètres par an, après les tempêtes de l'hiver dernier, il a dépassé 20 mètres sur de nombreux sites pour atteindre "30-40 mètres très localement", comme au sud du camping de l'Amélie à Soulac-sur-Mer (Gironde). (...)
http://www.sudouest.fr/2014/12/27/litto ... 8-3580.php
... Autre conséquence de cette érosion accélérée et tout aussi significative : la diminution de l'épaisseur des plages. "Les plages se sont fortement abaissées et aplanies limitant ainsi leur résistance aux assauts de l'océan", poursuivent les auteurs du rapport. Un abaissement général très peu compensé par les rechargements naturels espérés au cours de l'été, ce qui fragilise des ouvrages de protection, qu'ils soient naturels (dunes) ou artificiels (digues etc). (...)
http://www.sudouest.fr/2014/12/27/litto ... 8-3580.php
etc., etc.
Cf. https://www.google.fr/search?q=littoral ... 8geXmYHAAQ
"UPN", votre négationnisme des évidences est une grande malhonnêteté.