Je n'ai pas encore eu le temps de détailler la façon dont il veut financer cette baisse de prélèvement... Ce n'est pas triste (ou plutôt si!)
j'imagine, puisqu'il copie tout son programme sur marinelepen
J'avais depuis ajouté le "financement" proposé par N. Sarkozy:
Financement
Voilà comment N. Sarkozy propose de financer la baisse des prélèvement obligatoires de 25 à 30 milliard d'euro:
Réductions des dépenses publiques (État, et collectivités territoriales)
Réduction de 57% du PIB à 50%.
100 milliards de réduction de dépense sur le quinquennat.
Réduction des effectifs dans la fonction publique:
non-remplacement d'un fonctionnaire sur deux partant à la retraite
CDD de cinq ans dans la fonction publique
Augmentation de la durée de travail pour les fonctionnaires: de 35 à 37 heures de manière obligatoire, et de 37 à 39 heures pour les fonctionnaires qui le souhaitent.
Enseignants du secondaire: augmenter de 25% leur temps de présence dans les établissements pour une augmentation de 20% du salaire.
Réduction des dépenses sociales:
Réduction des dépenses des régimes sociaux, notamment de retraite et d'assurance-maladie.
Réduire le taux moyen de remboursement de 76% à 73% (5 milliards d'économies)
supprimer l'aide médicale d'Etat.
dégressivité des allocations chômage: réduire de 20% les allocations au bout de 12 mois, puis de nouveau de 20% au bout de 18 mois.
Augmentation de la dette publique.
Privatisation: vente du capital d'Air France, de Renault, d'EDF et de La Poste.
Il faut noter l'absence total de tout transfert de fiscalité: aucune fiscalité verte ou organique n'est créée ni augmentée pour compenser la perte de revenus sur la fiscalité le travail.
Aussi, seuls le patronat bénéficiera de la baisse de la fiscalité du travail. La part salariale, elle, n'est pas baissée du tout. Donc, pas d'augmentation des salaires, mais une baisse de certains remboursements sociaux, donc plus à payer pour les employés.
Sondage internautes: Primaires chez Les Républicains, élection présidentielle de 2017.
Extrait de: Le programme fiscal de Nicolas Sarkozy pour l'élection présidentielle de 2017.