Terrorisme racial contre les Blancs aux États-Unis : quels responsables ?
« Le suspect a dit qu’il en voulait aux Blancs, qu’il voulait tuer des Blancs, en particulier des policiers blancs »
Gabriel Robin
Juriste
SG du Collectif Culture, Libertés et Création du RBM
Cinq policiers abattus de sang-froid. Six autres gravement blessés. Ils étaient ciblés par des terroristes, racistes anti-blancs dont l’idéologie haineuse se nourrit des moindres faits divers relayés par les médias, et la caste « peopolitique » états-unienne. « Le suspect a dit qu’il en voulait aux Blancs, qu’il voulait tuer des Blancs, en particulier des policiers blancs », expliquait, peu après les attentats, le chef de la police locale (David Brown), lui même afro-américain. Les motivations sont connues, irréfutables. L’hypothèse de l’émergence d’un terrorisme racial, dirigé contre les Blancs américains, est désormais une réalité sur laquelle il faudra compter dans les années à venir.
Depuis plusieurs mois, les États-Unis souffrent d’émeutes raciales fustigeant la police, souvent nourries par une haine des Américains blancs. Le mouvement Black Lives Matter, né en 2012 suite au décès de Trayvon Martin, jeune Afro-Américain abattu par un gardien de voisinage latino-américain, est à l’origine directe de l’escalade de violence. Il n’est qu’à lire les tweets de ses partisans pour comprendre leur ressentiment et leur violence.
Sortes de Black Panthers 2.0, les animateurs de Black Lives Matter ont adapté le discours des militants afro-américains à l’époque actuelle, notamment en sectorisant leur action sur les seules « violences policières », ou supposées telles. En effet, la majorité des cas utilisés pour leur propagande ne sont pas clairs, et les responsabilités des policiers (parfois eux-mêmes afro-américains, d’ailleurs) ne peuvent pas toujours être établies. Cette organisation a donc clairement mis le feu aux poudres.
À Dallas, les manifestants s’étaient réunis pour protester contre la mort de deux hommes noirs abattus cette semaine par la police, dans des conditions toujours inconnues. Quelques jours auparavant, l’irresponsable Barack Obama avait mis en accusation la police, sans nuance. Il devra s’en expliquer. Comment deux faits divers instrumentalisés par des lobbys de pression haineux, associés à des personnalités du spectacle comme Beyoncé, peuvent-ils être commentés en des termes si durs par le président des États-Unis ? Certes, Barack Obama a condamné aujourd’hui les meurtres, mais il était trop tard car il avait déjà donné une justification morale à de pareils débordements.
Le 44e président des États-Unis n’a pas le même zèle pour commenter les statistiques officielles de la criminalité de son pays. Que disent-elles pour l’année 2015 ? Selon les sources du United Census Bureau et du Bureau of Justice Statistics, rapportées par Polémia, la population afro-américaine commet 52,5 % des homicides alors qu’elle ne représente que 12,6 % de la population. Notons que 93 % des personnes afro-américaines assassinées l’ont été par d’autres Afro-Américains. Quant aux personnes abattues par la police en 2015, au nombre de 990, elles comprennent 494 Blancs et 298 Noirs (le reliquat étant constitué, principalement, de « latinos). Ne suscitant jamais d’émeutes, on peut se demander si les Blancs tués par la police ont été un jour victimes de bavures… En outre, précisons que les Afro-Américains sont massivement présents dans les forces de police et la justice, sans compter Barack Obama. En 2016, parler de minorité opprimée est ridicule.
Nous devrions très vite prendre conscience de la dangerosité de la situation aux États-Unis. Simple question de temps avant que cela n’arrive en France. Les émeutes de 2005 ressemblaient fort à ce qui se passe actuellement outre-Atlantique, avec la récupération des morts de Zyed et Bouna (les policiers ont été blanchis dans cette affaire). En France, des groupuscules comme le Parti des indigènes, et quelques organismes salafistes (Al-Kanz), tentent de justifier ces mouvements et de les importer sur notre sol. Dès que j’ai eu le malheur de tweeter sur cette affaire, des dizaines d’internautes m’ont insulté, justifiant les assassinats. Vous êtes prévenus.
http://www.bvoltaire.fr/gabrielrobin/te ... 47cc53a487
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Paul Jambier
Quand les islamistes radicaux ont frappé à Orlando, Obama a qualifié cet attentat d'acte " homophobe ". Quand un flic blanc tue un suspect noir, par contre il pointe du doigt le racisme. Quand des suprémacistes noirs massacrent des policiers blancs, cette fois, Obama accuse les armes qu'ils avaient entre les mains, pas ceux qui appuient sur la gachette. Suivez le doigt du président, et vous êtes dans la guerre civile, désarmés. En France, Mitterand avait pris la responsabilité de mettre en scène politiquement la division raciale avec la création de SOS Racisme. La radicalisation de ce racialisme, instrumentalisé par l'islamisme, et encouragé par la propagande anti-identitaire des dirigeants, tout cela prépare le terrain pour la solution finale que serait la guerre civile. La gauche, aux USA comme en Europe, est entrain de préparer la dissolution des peuples par implosion.