Cet abruti en est encore au stade du dernier mot vainqueur. Je suis persuadé qu'il y trouve encore raison à quelques fiertés.
Faut dire que dans son quotidien, les raisons d'en éprouver doivent être assez rares.
J'étais vainqueur avant de naitre, Dieu est mon guide, la victoire, la vraie, pas celle des fanfaronnades qu'expriment les vaniteux avec leur petit entourage restreint, fait partie intégrante du destin de ceux qui doivent être vainqueur, au lieu de paraitre "monsieur" (damoiseau) Morokon.
Quels sont tes victoires sur les hommes? tu as gravis des montagnes, qui ne réagissent pas, le manteau neigeux, les pierres réagissent, mais pas la montagne, que d'autres ont gravi en nombre.
Ce que j'escalade, je l'ai déjà escaladé des milliards de fois en vainqueur, j'ai laissé les plus beaux noms, grâce a l'éternel qui garanti leur continuité.
Toi, tu fais le mariole, tu laisseras quelques bouquins jaunis dans l'échoppe miniature d'un bouquinistes parisienne ou de provinces, ta lutte est vaine, tu ne dépasses pas les trois lignes.
Tu es comme la paille que le vent dissipe, car tu es foncièrement mauvais, hautin, prétentieux, méprisant, les gens comme toi, fort heureusement, ne durent pas, ils s'émoussent comme la lame d'un couteau bon marché a cause de la mauvaise image qu'il laisse aux générations futures, trouvant en toi, la graine qu'il doivent éviter de semer.
La fierté est un handicap, ceux qui chérissent leur nom sont dans l'erreur.
Tu n'as pas lu les livres qui illuminent, à la rigueur, tu les as feuilletés, entrouverts, aperçus de loin, sans oser les comprendre, cela aurait remis en question ta vie présente, suite de fiertés humaines semblables à la pomme tombée de l'arbre.
Le vainqueur, est celui qui possède les actes, ceux qui possèdent le paraitre, ne sont que des avantagés qui tomberont, des premières places aux dernières, à cause du mal qui cause à leurs contemporains.
je cause le bien, je suis le vainqueur, tu causes mal, tu es perdant.