Jiminy
Il y a plus de quarante ans, tu n’aurais lu cela que dans le cadre d’études spécifiques d’Histoire. Qu’il est évident que tu n’as pas faites. Ce que personne, ni moi, ne peut te reprocher, la question n’est pas là. Ce qui est agaçant, c’est l’affirmation par certains de choses dont ils ignorent tout, dont ils ne savent pas si elles sont vraies ou pas, et qu’ils ne mentionnent que pour avoir l’air de les connaître. Et surtout qu’ils inventent uniquement pour contredire un autre intervenant.
Il est parfaitement légitime de la part de chacun de faire cela, de contredire pour le plaisir. Mais de préférence seulement après s’être donné la peine de chercher si ce que l’on va avancer tient debout et repose sur quelque chose. Ne serait-ce que sur sa conviction, étayée un minimum, que c’est vrai.
Je n’ai aucun apriori que ce soit. Je me constate de constaer ce que je lis sous la plume de l’autre intervenant. Et soi-dit entre-nous, qu’il me prenne au sérieux ou pas m’est indifférent. Je n’interviens jamais lorsqu’il s’agit d’un sujet que je ne connais pas suffisamment pour étayer mes propos. J’apporte une connaissance précise à un sujet précis. Quiconque pense que c’est une erreur peut le dire, j’en serais ravi. Chaque jour où l’on n’apprend pas quelque chose est un jour perdu, dit la sagesse populaire de nombreux pays. J’essaye d’apprendre chaque jour quelque chose, même si depuis des décennies je croyais le contraire. Et que l’on me prenne au sérieux ou pas m’est indifférent. Je n’ai besoin ni d’être aimé ni d’être admiré. J’apporte une chose que je crois être une vérité. Et seulement sur des sujets que je suis capable de maîtriser sans avoir besoin d’aller chercher mes arguments sur Internet.
Quiconque met mes dires en cause, ce qui est son droit le plus strict, mais ne vérifie pas, je m’en fous. Ce n’est pas pour moi que cela présente une perte d’acquisition d’une parcelle de connaissance.