Vincent Lambert n'est ni mort, ni vraiment vivant. Il est entre les deux. La question est : on fait quoi ? Et la réponse est : faut voir...
euh je crois que tu as raté une étape importante, la question a été tranchée : carte blanche pour le laisser claquer en le privant de nourriture, vu que maintenant, nourrir un malade est considéré comme un traitement. (eh oui, pas facile de faire autrement)
pas d'autre moyen, vu qu'il ne veut pas se décider à mourir tout seul
autrement, si vivant c'est un certain degré de conscience, on va bientôt se marrer quand il va falloir fixer un seuil minimal. Et je te dis pas le souk, quand il va falloir ajouter "non-malade" dans le schmilblick.
y a un paquet de types à risque qui doivent serrer les fesses :
d'où la position de l'assoce que j'ai citée.