Il y a 10 ans, jour pour jour, que les français dans un élan de lucidité, on dit « NON » lors du référendum sur la constitution européenne. La question était simple, accepter ou non une constitution pour l’Europe, un fatras de textes en vue de mettre en place une gouvernance unique pour l’ensemble des pays piégés par l’Union Européenne telle que l’ont rêvé une poignée de financiers américains (voir la conférence de François Asselineau sur le sujet).
La claque fut magistrale, mais de courte durée, puisque un certain président qui tenait absolument à ce que le pays soit dirigé et digéré par un système politique qui n’a rien de démocratique, a finalement imposé une version réécrite du traité sur la constitution européenne à la France: le traité de Lisbonne. Par la suite, il nous par la suite expliqué le pourquoi de tout cela: « la mise en place d’un nouvel ordre mondial« , sans même dissimuler le fait dans ses discours, à quoi bon, cela passe et les foules ont laissé faire.
Stratégie payante au final, pas pour nous, mais pour certains, oui, l’Union Européenne décide maintenant de 80% des lois nationales, donc, avant même que le gouvernement français (ou d’un autre pays couillonné) puisse décider de quoi que ce soit, il faut l’aval de Bruxelles, quand ce n’est pas directement Bruxelles qui décide. Et mieux encore, si l’UE décide, bientôt, cela sera les États-Unis qui prendront les décisions, et qui imposeront tout et n’importe quoi au nom du profit, le Traité Transatlantique arrive à grand pas.
L’Union Européenne fut une réelle réussite pour bien pourrir les pays, il suffit de regarder dans quel état se trouvent actuellement l’Espagne, l’Italie, l’Irlande, la France, et le reste des pays, et surtout la Grèce, le traité Transatlantique s’annonce magistral, et tous ceux payés avec notre argent travaillent bien et docilement pour la mise en place. Souriez, vous allez morfler!
Quoi qu’il en soit, 10 ans après le référendum, les français répondent de la même manière, c’est NON et pis c’est tout!!!
Une dernière chose concernant la France, et pas des moindres: elle n’a pas reconnu les emblèmes européens, ce qui implique que nous n’avons pas à subir le drapeau européen sur les façades de mairies, de préfectures, d’établissements scolaire, ni même sur nos plaques d’immatriculation. Et donc? Vous pouvez les faire disparaître, ce drapeau est une trahison qu’ils n’ont pas le droit de nous imposer!