Le souci est que votre réaction est purement épidermique, vous ne prenez même pas la peine de réfléchir ... c'est immoral .. point

Ce n'est pas parce que mon point de vue est différent du votre, qu'il n'est pas réfléchi.

Simplement, je ne prend pas juste en compte le principe d'égalitarisme, je prend aussi en compte celui de l'enfant, et celui de l'éthique.

en l'occurence je ne parlais pas de vous qui avez fait l'effort d'argumenter :)

Le souci est que votre réaction est purement épidermique, vous ne prenez même pas la peine de réfléchir ... c'est immoral .. point

Ce n'est pas parce que mon point de vue est différent du votre, qu'il n'est pas réfléchi.

Simplement, je ne prend pas juste en compte le principe d'égalitarisme, je prend aussi en compte celui de l'enfant, et celui de l'éthique.

en l'occurence je ne parlais pas de vous qui avez fait l'effort d'argumenter :)

Je suis tendu en ce moment

Une question pour vous :

Aux USA, il y a le don d'ovule, les femmes peuvent donc donner leurs ovules, pour que les femmes qui ne peuvent concevoir, aient une chance de le faire. Qui est la mère dans ce cas?

Le souci est que votre réaction est purement épidermique, vous ne prenez même pas la peine de réfléchir ... c'est immoral .. point

Si je suis bien et en cas de besoin vous trouveriez acceptable que votre mère accouche de vôtre fils.

Question :

Êtes vous sûr d'aller bien ?

Pour ma part je vous recommande vivement une consultation......en urgence.

Non honêtement je crois que cela ne me viendrait pas à l'esprit de demander cela à ma mère.

Mais est ce que parce que cela me semble pour le moins bizarre comme démarche, c'est forcément immoral ?

A priori je ne détiens pas la vérité universelle et le moins que je puisse faire est justement d'y réfléchir

en l'occurence je ne parlais pas de vous qui avez fait l'effort d'argumenter :)

Je suis tendu en ce moment

Une question pour vous :

Aux USA, il y a le don d'ovule, les femmes peuvent donc donner leurs ovules, pour que les femmes qui ne peuvent concevoir, aient une chance de le faire. Qui est la mère dans ce cas?

:)

la question que vous posez est bien sur pertinente et démontre bien que le problème est loin d'être simple et qu'on ne peut le balayer d'un revers de main sous la notion d'immoralité.

Pour moi dans ce cas là la mère biologique est celle qui donne les ovules, la mère adoptive celle qui les reçoit.

Maintenant en faisant quelques recherches, j'ai vu la notion de mère génétique, mère porteuse, mère biologique, mère adoptive.

La science ajoute de la complexité là ou la situation était simple auparavant, d'ou la nécessité de comité d'éthique.

en l'occurence je ne parlais pas de vous qui avez fait l'effort d'argumenter :)

Je suis tendu en ce moment

Une question pour vous :

Aux USA, il y a le don d'ovule, les femmes peuvent donc donner leurs ovules, pour que les femmes qui ne peuvent concevoir, aient une chance de le faire. Qui est la mère dans ce cas?

:)

la question que vous posez est bien sur pertinente et démontre bien que le problème est loin d'être simple et qu'on ne peut le balayer d'un revers de main sous la notion d'immoralité.

Pour moi dans ce cas là la mère biologique est celle qui donne les ovules, la mère adoptive celle qui les reçoit.

Maintenant en faisant quelques recherches, j'ai vu la notion de mère génétique, mère porteuse, mère biologique, mère adoptive.

La science ajoute de la complexité là ou la situation était simple auparavant, d'ou la nécessité de comité d'éthique.

Ce n'est complexe que si on souhaite le rendre complexe. Si on s'en tient à simplement la mère biologique, et la mère adoptive, la mère biologique donne la vie, la mère adoptive ne donne pas la vie, mais accueil l'enfant sous son toit.

Une Anglaise de 46 ans a accepté de faire une GPA pour son fils inverti de 24 ans. Une première au Royaume-Uni.

L'amour maternel est sans limites, dit-on. À 46 ans, Anne-Marie Casson a accepté de porter l'enfant de son fils Kyle, 24 ans. Elle n'est donc pas seulement la grand-mère de Miles, huit mois, mais aussi la femme qui lui a donné naissance et qui a «porté» une ovule fécondée par le sperme de son propre fils.

L'enfant est né en juillet dernier. La semaine dernière, un tribunal a jugé que Kyle pouvait adopter Miles. Auparavant Kyle était enregistré à la fois comme le frère et le père de Miles. Après décision du juge, il devient le seul parent biologique et légal de l'enfant, enregistré à l'état civil de mère inconnue. Au Daily Mail, il déclare: «Je ne l'ai jamais considéré comme mon frère, même si légalement, il l'était. Tout comme légalement, il était le fils de ma mère.»

Le jeune père se défend des critiques suscitées par sa démarche: «Je sais que certaines personnes sont contre ce que nous avons fait, mais je crois que quiconque peut s'occuper d'un enfant a le droit d'avoir un enfant.» «Personne n'a le droit de nier à quelqu'un cette opportunité, défend-il. Nous sommes supposés vivre dans un monde où tout le monde a le droit aux mêmes chances, mais les gens célibataires sont discriminés.» Homosexuel, Kyle a toujours voulu avoir des enfants. Mais il n'a pas souhaité attendre d'être en couple pour adopter. «L'adoption, c'est super, mais pourquoi choisir l'adoption alors que je pourrais avoir mon propre enfant?» «Je me fiche de ce que les gens pensent. Il est soigné. Il est aimé. J'ai tout payé moi-même», insiste-t-il. «Pourquoi mon fils n'aurait pas le droit d'être père alors qu'il peut procurer à l'enfant un foyer et de l'amour?», renchérit sa mère. Le jeune homme revendique son célibat: «J'ai toujours été indépendant et je serai heureux d'être seul avec Miles pendant quelques années.» Mais Kyle reconnaît qu'il compte sur l'aide de sa mère . Quand il reprendra son travail au supermarché, c'est elle et son mari qui s'occuperont de l'enfant pendant la journée.

Le futur Sarkozy du Royaume unis.

:)

la question que vous posez est bien sur pertinente et démontre bien que le problème est loin d'être simple et qu'on ne peut le balayer d'un revers de main sous la notion d'immoralité.

Pour moi dans ce cas là la mère biologique est celle qui donne les ovules, la mère adoptive celle qui les reçoit.

Maintenant en faisant quelques recherches, j'ai vu la notion de mère génétique, mère porteuse, mère biologique, mère adoptive.

La science ajoute de la complexité là ou la situation était simple auparavant, d'ou la nécessité de comité d'éthique.

Ce n'est complexe que si on souhaite le rendre complexe. Si on s'en tient à simplement la mère biologique, et la mère adoptive, la mère biologique donne la vie, la mère adoptive ne donne pas la vie, mais accueil l'enfant sous son toit.

Cela devient plus compliqué dès lors que la médecine a trouvé une solution pour traiter l'infertilité ou l'impossiblité de porter un enfant.

Dès lors que la technique existe et fonctionne on doit se poser la question : est ce éthique de l'utiliser ?

On ne peut plus justement rester dans un monde ou l'on peut s'en tenir à la mère biologique et la mère adoptive. Reste à déterminer s'il est judicieux de mettre en pratique les nouvelles techniques

pourquoi immoral ?

La naissance de cet enfant relève de l'inceste.

Même si le type n'a pas couché avec sa mère, l'enfant qu'elle a porté avait la moitié de son matériel génétique provenant de son père, c'est à dire du fils de la femme l'ayant portée.

C'est un truc de cinglé, quel que soit le bout par lequel on prend cette histoire.

Je n'imagine même pas les ravages psychiques potentiels sur le gosse quand il va découvrir son ascendance...

Au passage, ses "parents" sont aussi complètement cinglés. Son père avait bien d'autres possibilités d'avoir un enfant. Si il a choisi celle-ci, c'est bien qu'il a un pet au casque.

L’inceste (du latin incestum : souillure, rendre impur1) désigne une relation sexuelle entre membres de la même famille et soumise à un interdit.

Ce n'est pas de l'inceste.

L'enfant est officiellement est né de mère inconnue, comme cela aurait été le cas de n'importe quel accouchement sous X.

Par contre je vous rejoint sur un truc, le fait de cacher l'ascendance maternelle de cet enfant et de faire en sorte qu'il ne l'apprenne jamais, peut faire penser qu'on reconnait qu'il lui serait nocif de l'apprendre....

Note : voir au delà u simple ADN transmit par les parents les interractions liés à l'ARN maternel lors de la gestation.

:)

la question que vous posez est bien sur pertinente et démontre bien que le problème est loin d'être simple et qu'on ne peut le balayer d'un revers de main sous la notion d'immoralité.

Pour moi dans ce cas là la mère biologique est celle qui donne les ovules, la mère adoptive celle qui les reçoit.

Maintenant en faisant quelques recherches, j'ai vu la notion de mère génétique, mère porteuse, mère biologique, mère adoptive.

La science ajoute de la complexité là ou la situation était simple auparavant, d'ou la nécessité de comité d'éthique.

Ce n'est complexe que si on souhaite le rendre complexe. Si on s'en tient à simplement la mère biologique, et la mère adoptive, la mère biologique donne la vie, la mère adoptive ne donne pas la vie, mais accueil l'enfant sous son toit.

Cela devient plus compliqué dès lors que la médecine a trouvé une solution pour traiter l'infertilité ou l'impossiblité de porter un enfant.

Dès lors que la technique existe et fonctionne on doit se poser la question : est ce éthique de l'utiliser ?

On ne peut plus justement rester dans un monde ou l'on peut s'en tenir à la mère biologique et la mère adoptive. Reste à déterminer s'il est judicieux de mettre en pratique les nouvelles techniques

Éthique je dirais non. L'éthique doit prendre en compte la nature, et est-ce que oui ou non, ce que l'on fait est contre-nature. Deux hommes ne peuvent pas avoir un enfant, et la consanguinité pose un problème de dégradation des gènes.

Maintenant, l'infertilité est une chose, pour l'impossibilité de porter un enfant, on en revient au commentaire, ou vous m'aviez reproché de partir hors sujet, le fait qu'un homme souhaite pouvoir enfanter, en se passant d'une femme(conjointe), tout comme certaines femmes cherchent à faire un enfant sans homme.

Maintenant, cela pose un autre problème : la responsabilité. Est-ce responsable de confier un enfant à un parent seul? Est-ce le meilleur choix? La science ne doit-elle pas lutter pour le meilleur? Dans ce cas, seule une condition idéale pour l'évolution et la croissance de l'enfant devrait permettre l'usage de ces méthodes, d'où mon opinion de n'accorder l'accès à ces méthodes qu'à ceux qui auront la possibilité d'offrir l’environnement le plus naturel, stable et sain à l'enfant.

Une Anglaise de 46 ans a accepté de faire une GPA pour son fils inverti de 24 ans. Une première au Royaume-Uni.

L'amour maternel est sans limites, dit-on. À 46 ans, Anne-Marie Casson a accepté de porter l'enfant de son fils Kyle, 24 ans. Elle n'est donc pas seulement la grand-mère de Miles, huit mois, mais aussi la femme qui lui a donné naissance et qui a «porté» une ovule fécondée par le sperme de son propre fils.

L'enfant est né en juillet dernier. La semaine dernière, un tribunal a jugé que Kyle pouvait adopter Miles. Auparavant Kyle était enregistré à la fois comme le frère et le père de Miles. Après décision du juge, il devient le seul parent biologique et légal de l'enfant, enregistré à l'état civil de mère inconnue. Au Daily Mail, il déclare: «Je ne l'ai jamais considéré comme mon frère, même si légalement, il l'était. Tout comme légalement, il était le fils de ma mère.»

Le jeune père se défend des critiques suscitées par sa démarche: «Je sais que certaines personnes sont contre ce que nous avons fait, mais je crois que quiconque peut s'occuper d'un enfant a le droit d'avoir un enfant.» «Personne n'a le droit de nier à quelqu'un cette opportunité, défend-il. Nous sommes supposés vivre dans un monde où tout le monde a le droit aux mêmes chances, mais les gens célibataires sont discriminés.» Homosexuel, Kyle a toujours voulu avoir des enfants. Mais il n'a pas souhaité attendre d'être en couple pour adopter. «L'adoption, c'est super, mais pourquoi choisir l'adoption alors que je pourrais avoir mon propre enfant?» «Je me fiche de ce que les gens pensent. Il est soigné. Il est aimé. J'ai tout payé moi-même», insiste-t-il. «Pourquoi mon fils n'aurait pas le droit d'être père alors qu'il peut procurer à l'enfant un foyer et de l'amour?», renchérit sa mère. Le jeune homme revendique son célibat: «J'ai toujours été indépendant et je serai heureux d'être seul avec Miles pendant quelques années.» Mais Kyle reconnaît qu'il compte sur l'aide de sa mère . Quand il reprendra son travail au supermarché, c'est elle et son mari qui s'occuperont de l'enfant pendant la journée.

Dégénérés, décadence, envie de vomir ...

Cela devient plus compliqué dès lors que la médecine a trouvé une solution pour traiter l'infertilité ou l'impossiblité de porter un enfant.

Dès lors que la technique existe et fonctionne on doit se poser la question : est ce éthique de l'utiliser ?

On ne peut plus justement rester dans un monde ou l'on peut s'en tenir à la mère biologique et la mère adoptive. Reste à déterminer s'il est judicieux de mettre en pratique les nouvelles techniques

Éthique je dirais non. L'éthique doit prendre en compte la nature, et est-ce que oui ou non, ce que l'on fait est contre-nature. Deux hommes ne peuvent pas avoir un enfant, et la consanguinité pose un problème de dégradation des gènes.

Maintenant, l'infertilité est une chose, pour l'impossibilité de porter un enfant, on en revient au commentaire, ou vous m'aviez reproché de partir hors sujet, le fait qu'un homme souhaite pouvoir enfanter, en se passant d'une femme(conjointe), tout comme certaines femmes cherchent à faire un enfant sans homme.

Maintenant, cela pose un autre problème : la responsabilité. Est-ce responsable de confier un enfant à un parent seul? Est-ce le meilleur choix? La science ne doit-elle pas lutter pour le meilleur? Dans ce cas, seule une condition idéale pour l'évolution et la croissance de l'enfant devrait permettre l'usage de ces méthodes, d'où mon opinion de n'accorder l'accès à ces méthodes qu'à ceux qui auront la possibilité d'offrir l’environnement le plus naturel, stable et sain à l'enfant.

Deux hommes (ou un seul d'ailleurs) peut parfaitement élever un enfant qu'il soit le sien ou non. La problème de consanguinité est inexistant dans le cas précis de cet anglais.

Effectivement se pose la question de la responsabilité tout comme pour les adoptions d'ailleurs. Mais si l'on interdit à ce type de faire un enfant "tout seul", on doit aussi l'interdire aux femmes qui font la même chose ....

Effectivement se pose la question de la responsabilité tout comme pour les adoptions d'ailleurs. Mais si l'on interdit à ce type de faire un enfant "tout seul", on doit aussi l'interdire aux femmes qui font la même chose ....

Justement on ne peut pas faire un enfant tout seul, et les enfants finissent toujours par le savoir et développent souvent un malaise et veulent connaitre le parent biologique dont on leur a cacher l'existence. La filiation ce n'est pas une mince affaire pour un enfant et pour la construction de son identité. Le pire ici étant que sa mère sera donc également sa grand mère? Bordel on fait joue impunément avec des élément aussi structurant socialement et psychologiquement pour le développement de l'enfant tout cela pour satisfaire le caprice d'un homosexuel qui veut prouver on ne sait quoi! Je comprends maintenant pourquoi certains ED en lisant cela, en arrive parfois à souhaiter l'établissement d'un califat islamique dans les pays occidentaux où l'on autorise ces conneries!

Éthique je dirais non. L'éthique doit prendre en compte la nature, et est-ce que oui ou non, ce que l'on fait est contre-nature. Deux hommes ne peuvent pas avoir un enfant, et la consanguinité pose un problème de dégradation des gènes.

Maintenant, l'infertilité est une chose, pour l'impossibilité de porter un enfant, on en revient au commentaire, ou vous m'aviez reproché de partir hors sujet, le fait qu'un homme souhaite pouvoir enfanter, en se passant d'une femme(conjointe), tout comme certaines femmes cherchent à faire un enfant sans homme.

Maintenant, cela pose un autre problème : la responsabilité. Est-ce responsable de confier un enfant à un parent seul? Est-ce le meilleur choix? La science ne doit-elle pas lutter pour le meilleur? Dans ce cas, seule une condition idéale pour l'évolution et la croissance de l'enfant devrait permettre l'usage de ces méthodes, d'où mon opinion de n'accorder l'accès à ces méthodes qu'à ceux qui auront la possibilité d'offrir l’environnement le plus naturel, stable et sain à l'enfant.

Deux hommes (ou un seul d'ailleurs) peut parfaitement élever un enfant qu'il soit le sien ou non. La problème de consanguinité est inexistant dans le cas précis de cet anglais.

Effectivement se pose la question de la responsabilité tout comme pour les adoptions d'ailleurs. Mais si l'on interdit à ce type de faire un enfant "tout seul", on doit aussi l'interdire aux femmes qui font la même chose ....

Si vous m'avez bien lu, j'ai bien parlé de couple. Donc oui, je suis contre l'adoption ou la PMA pour les femmes seules.

La question que deux hommes puissent parfaitement élever un enfant n'est pas le sujet, ça peut arrive. Mais l'idéal pour un enfant est un père, une mère, qui peuvent financièrement l'assumer, dans un environnement favorable. Et lorsque la science s'implique, cela doit être dans un contexte idéal, ou l'on a le plus de chance d'offrir à l'enfant une vie normal.

Éthique je dirais non. L'éthique doit prendre en compte la nature, et est-ce que oui ou non, ce que l'on fait est contre-nature. Deux hommes ne peuvent pas avoir un enfant, et la consanguinité pose un problème de dégradation des gènes.

Maintenant, l'infertilité est une chose, pour l'impossibilité de porter un enfant, on en revient au commentaire, ou vous m'aviez reproché de partir hors sujet, le fait qu'un homme souhaite pouvoir enfanter, en se passant d'une femme(conjointe), tout comme certaines femmes cherchent à faire un enfant sans homme.

Maintenant, cela pose un autre problème : la responsabilité. Est-ce responsable de confier un enfant à un parent seul? Est-ce le meilleur choix? La science ne doit-elle pas lutter pour le meilleur? Dans ce cas, seule une condition idéale pour l'évolution et la croissance de l'enfant devrait permettre l'usage de ces méthodes, d'où mon opinion de n'accorder l'accès à ces méthodes qu'à ceux qui auront la possibilité d'offrir l’environnement le plus naturel, stable et sain à l'enfant.

Deux hommes (ou un seul d'ailleurs) peut parfaitement élever un enfant qu'il soit le sien ou non. La problème de consanguinité est inexistant dans le cas précis de cet anglais.

Effectivement se pose la question de la responsabilité tout comme pour les adoptions d'ailleurs. Mais si l'on interdit à ce type de faire un enfant "tout seul", on doit aussi l'interdire aux femmes qui font la même chose ....

Si vous m'avez bien lu, j'ai bien parlé de couple. Donc oui, je suis contre l'adoption ou la PMA pour les femmes seules.

La question que deux hommes puissent parfaitement élever un enfant n'est pas le sujet, ça peut arrive. Mais l'idéal pour un enfant est un père, une mère, qui peuvent financièrement l'assumer, dans un environnement favorable. Et lorsque la science s'implique, cela doit être dans un contexte idéal, ou l'on a le plus de chance d'offrir à l'enfant une vie normal.

Leur avantage, aux femmes, est qu'elles n'ont besoin ni d'adoption ni de PMA ;)

Donc ok on interdit aux hommes/femmes seul d'avoir un enfant ...

Pourquoi le faire pour les couples gay ? Si le critère est le couple.

Effectivement se pose la question de la responsabilité tout comme pour les adoptions d'ailleurs. Mais si l'on interdit à ce type de faire un enfant "tout seul", on doit aussi l'interdire aux femmes qui font la même chose ....

Justement on ne peut pas faire un enfant tout seul, et les enfants finissent toujours par le savoir et développent souvent un malaise et veulent connaitre le parent biologique dont on leur a cacher l'existence. La filiation ce n'est pas une mince affaire pour un enfant et pour la construction de son identité. Le pire ici étant que sa mère sera donc également sa grand mère? Bordel on fait joue impunément avec des élément aussi structurant socialement et psychologiquement pour le développement de l'enfant tout cela pour satisfaire le caprice d'un homosexuel qui veut prouver on ne sait quoi! Je comprends maintenant pourquoi certains ED en lisant cela, en arrive parfois à souhaiter l'établissement d'un califat islamique dans les pays occidentaux où l'on autorise ces conneries

Et donc ce n'est ni à la société ni à la science d'organiser le malaise des enfants, on y pallie pour des situations accidentelles mais on ne les créé pas ...

Ca me va.

Et donc ce n'est ni à la société ni à la science d'organiser le malaise des enfants, on y pallie pour des situations accidentelles mais on ne les créé pas.

C'est faux ici la situation a été artificiellement créé, l'enfant va se retrouvé avec une filiation aberrante de la volonté même de ce type et de la mère de ce dernier. Il faut arrêter de faire comme s'il n'existait aucune norme anthropologique et sociale structurante pour les enfant au sein de nos sociétés, et donc se permettre de les ignorer en plaçant de fait des enfant dans des situations anomiques juste pour satisfaire des caprices individualistes. Et donc je conchie sur ce type et se mère!

Une Anglaise de 46 ans a accepté de faire une GPA pour son fils inverti de 24 ans. Une première au Royaume-Uni.

L'amour maternel est sans limites, dit-on. À 46 ans, Anne-Marie Casson a accepté de porter l'enfant de son fils Kyle, 24 ans. Elle n'est donc pas seulement la grand-mère de Miles, huit mois, mais aussi la femme qui lui a donné naissance et qui a «porté» une ovule fécondée par le sperme de son propre fils.

L'enfant est né en juillet dernier. La semaine dernière, un tribunal a jugé que Kyle pouvait adopter Miles. Auparavant Kyle était enregistré à la fois comme le frère et le père de Miles. Après décision du juge, il devient le seul parent biologique et légal de l'enfant, enregistré à l'état civil de mère inconnue. Au Daily Mail, il déclare: «Je ne l'ai jamais considéré comme mon frère, même si légalement, il l'était. Tout comme légalement, il était le fils de ma mère.»

Le jeune père se défend des critiques suscitées par sa démarche: «Je sais que certaines personnes sont contre ce que nous avons fait, mais je crois que quiconque peut s'occuper d'un enfant a le droit d'avoir un enfant.» «Personne n'a le droit de nier à quelqu'un cette opportunité, défend-il. Nous sommes supposés vivre dans un monde où tout le monde a le droit aux mêmes chances, mais les gens célibataires sont discriminés.» Homosexuel, Kyle a toujours voulu avoir des enfants. Mais il n'a pas souhaité attendre d'être en couple pour adopter. «L'adoption, c'est super, mais pourquoi choisir l'adoption alors que je pourrais avoir mon propre enfant?» «Je me fiche de ce que les gens pensent. Il est soigné. Il est aimé. J'ai tout payé moi-même», insiste-t-il. «Pourquoi mon fils n'aurait pas le droit d'être père alors qu'il peut procurer à l'enfant un foyer et de l'amour?», renchérit sa mère. Le jeune homme revendique son célibat: «J'ai toujours été indépendant et je serai heureux d'être seul avec Miles pendant quelques années.» Mais Kyle reconnaît qu'il compte sur l'aide de sa mère . Quand il reprendra son travail au supermarché, c'est elle et son mari qui s'occuperont de l'enfant pendant la journée.

Dégénérés, décadence, envie de vomir ...

Un Mozart, un Einstein

Et donc ce n'est ni à la société ni à la science d'organiser le malaise des enfants, on y pallie pour des situations accidentelles mais on ne les créé pas.

C'est faux ici la situation a été artificiellement créé, l'enfant va se retrouvé avec une filiation aberrante de la volonté même de ce type et de la mère de ce dernier. Il faut arrêter de faire comme s'il n'existait aucune norme anthropologique et sociale structurante pour les enfant au sein de nos sociétés, et donc se permettre de les ignorer en plaçant de fait des enfant dans des situations anomiques juste pour satisfaire des caprices individualistes. Et donc je conchie sur ce type et se mère

Il arrive tellement rarement que quelqu'un modifie sa position sur fopo, que même quand on le lit, on y croit pas ;)

Bien sur au delà de ce cas là, il faut aussi se poser des questions sur l'adoption par des célibataires, est ce déstructurant ? L'affirmer n'étant évidement pas suffisant.

Même chose pour des couples gays.

Et bien entendu dans des situations préexistantes, il faudrait aller vers la solution la plus structurante pour l'enfant, à savoir l'officialisation de cette situation.

  • [supprimé]

Et bien entendu dans des situations préexistantes, il faudrait aller vers la solution la plus structurante pour l'enfant, à savoir l'officialisation de cette situation.

Vous croyez franchement que l' va structurer quoi que ce soit chez ce gosse?

Que son équilibre psychique va dépendre d'un coup de tampon sur un papelard? C'est à se demander pourquoi les enfants adoptés ont autant de problèmes.

Et bien entendu dans des situations préexistantes, il faudrait aller vers la solution la plus structurante pour l'enfant, à savoir l'officialisation de cette situation.

Vous croyez franchement que l' va structurer quoi que ce soit chez ce gosse?

Que son équilibre psychique va dépendre d'un coup de tampon sur un papelard? C'est à se demander pourquoi les enfants adoptés ont autant de problèmes.

Ces situations qu'on le veuille ou non elles existent et continueront à exister, ne pas les reconnaître revient à ne pas accepter que cela puisse exister. Si ça n'est pas déstructurant, je me demande ce que c'est.