Cette ouverture à tous et le sentiment d'unité qu'il procure, nous en avons bien besoin en ce moment.
Sentiment d'unité nationale catalysé par la phrase: «toutes les violences antisémites sont commises par des jeunes musulmans»
Il parlait de Toulouse, de Bruxelles, du Danemark, d'Illan Halimi, de l'Hypercasher etc.
Il parlait de "toutes" les violences antisémites.
"Toutes", ça veut dire "toutes", dans un contexte ou dans un autre.
En précisant qu'il s'agissait de terroristes musulmans, il n'a rien appris à personne.
Le propos doit être placé dans son contexte pour être compris dans le sens voulu.
;)
Je l'ai écouté et j'ai bien compris.
Et j'ai bien analysé également la dérive du discours de plus en plus flagrante pour les observateurs...
1/ "Marine Le Pen est irréprochable"
2/ «toutes les violences antisémites sont commises par des jeunes musulmans»
On voit de suite quelle alliance il souhaite faire éclore.
Mais l'arbre ne doit pas cacher la forêt, cette unité nationale est précieuse aujourd'hui
C'est le meilleur rempart contre les extrêmes.
Mais on ne peut la souhaiter et dire dans la même phrase que les musulmans sont entièrement responsables de "toutes" les violences antisémites.
C'est un clivage voulu.
L'unité nationale ne se fait pas au détriment d'une partie de la société française.
Ah bon ?
Tu as participé aux manifs ? Tu y a vu toute la diversité du peuple français rassemblé toi ?
Allons...
Les français qui peuvent se réclamer de la foi et/ou de la culture musulmane y ont leur place s'ils adhèrent de tout cœur à nos idéaux républicains
Une fois de plus, il faut savoir distinguer les 2 facettes de l'islam :
- le culte qui doit s'exercer dans le cadre des lois de la république,
- l'activisme politique qui conduit au fascisme et que nous devons combattre en tant que tel.
Le fascisme et l'idéologie portée par l'Islam sont aux antipodes.
Aux extrèmes, l'Islam est un produit politique qui se fiche du fait national, encore plus du socialisme.
En fait non, il ne s'en fiche pas, il le combat. L'Islam, à son extrème, voit comme un frein le nationalisme, car il représente un rempart à son universalité (ou sa domination globale, c'est selon).
Il faut savoir user des bons termes.