- la fin de l'enseignement sérieux du latin et grec qui est à lier à l'abandon des classiques.
Le Grec il y a avait même pas la où j'étais au collège. Je ne sais pas quelle est l'évolution dans l'enseignement au niveau de ces langues mortes mais j'imagine que c'est en perdition.
- la concurrence de la "culture" du divertissement
Et les jeux vidéos qui prennent une belle part du divertissement. De moins en moins de lecteurs en parallèle.
- la fin de l'enseignement religieux
De moins en moins de personnes pour pratiquer, toujours pareil , j'imagine.
- la presse. Ex : promotion de gribouilleurs. Zemmour, Houellebecq, Onfray, etc.
Merci à la TV.
Enfin Houellebecq d'après ce que j'ai entendu de lui, ça me parait être plus qu'un "gribouilleur". Et c'est un type qui entre moins que les autres dans le jeu des médias.
- le mythe du progrès qui tend à dévaloriser les classiques au profit des "nouveautés". + influence sur l'écriture de l'histoire, et dérives idéologiques depuis la révolution.
On oublies trop les classiques oui.
- l'histoire discipline bien trop magnifiée.
Effectivement trop de bienpensant dans l'enseignement aussi. Manque de réalisme parfois.