Venez parler ici des causes de l'effondrement de la culture, des signes visibles de cet effondrement, etc.

J'entends par culture, ce qui est sérieux.

Quelques causes possibles :

- la fin de l'enseignement sérieux du latin et grec qui est à lier à l'abandon des classiques.

- la concurrence de la "culture" du divertissement

- la fin de l'enseignement religieux

- la presse. Ex : promotion de gribouilleurs. Zemmour, Houellebecq, Onfray, etc.

- l'ère des spécialistes ; remplacement des philosophes par les intellectuels. Aussi spécialiste dans leur domaine, qu'ignorant dans les autres. En résulte une incapacité à traiter un sujet de manière complète et intéressante.

- Le relativisme. La fin du classement de la culture. Ex : la philosophie et la théologie plus présentées comme le nec plus ultra de l'intelligence. + son influence sur l'écriture de certaines disciplines comme l'histoire.

- le mythe du progrès qui tend à dévaloriser les classiques au profit des "nouveautés". + influence sur l'écriture de l'histoire, et dérives idéologiques depuis la révolution.

- l'histoire discipline bien trop magnifiée.

- etc. A vous d'en trouver d'autres.

    Le problème se situe en amont et est d'ordre sociopsychologique.

    J'ai étudié le latin et le grec pendant des années avec des professeurs sérieux, je n'en ai rien retenu et c'était la même foire que partout ailleurs.

      Le problème est d'ordre philosophique, comme toujours. Sinon ne comparez pas l'enseignement que vous avez reçu en latin et grec, avec celui qui était dispensé jusqu'au début XXème siècle.

      Pour répondre à l'enseignement de masse qui commence vers la fin des années 1950, il a fallu baisser le niveau. Et cela continue ... .

      Du coup, c'est quoi que vous appelez "la culture"?

      C'est vaste, ça. D'ailleurs vous parlez de l'effondrement, mais il y a toujours une culture ici. Et un effondrement de quoi?

      Le système de république par exemple, tout comme le capitalisme se portent très bien sur terre. Non seulement il n'y a pas eu effondrement, mais même une sacrée expansion et acceptation à travers le monde. Tout le monde veut en bouffer du capitalisme et du droit de vote. C'est bon, même que ça permet d'être presque blanc.

      1) J'aurais effectivement dû choisir un mot plus précis, comme savoir. Dans son acception philosophique, la culture étant tout ce qui relève de l'acquis et non de l'inné, tout ce qui est créé par l'homme.

      Mais allons bon, vous pouvez élargir le sujet si cela vous plait.

      Pour ma part, j'entends par savoir tout ce qui relève de la recherche soit de la vérité soit du beau. .

      2) La diffusion de la culture rime avec son effondrement.

      Je ne veux rien élargir du tout. Je demandais.

      Elle est jolie votre définition. Bien arrangeante en plus, on peut y mettre ce qu'on veut, selon l'humeur. C'est très pratique, je lui vois un grand avenir à cette définition.

      Tenez pas exemple, votre recherche de la vérité. Et bien moi, en tant que rationaliste, je trouve les avancées scientifiques comme une action tout à fait probante de la recherche de la vérité. Que d'avancées sur la cosmogonie, la faune, la flore, la physique, les mathématiques. On en fait des progrès! Nous en sommes même à l'apogée, de la recherche du vrai.

      Je ne veux rien élargir du tout. Je demandais.

      Elle est jolie votre définition. Bien arrangeante en plus, on peut y mettre ce qu'on veut, selon l'humeur. C'est très pratique, je lui vois un grand avenir à cette définition.

      Tenez pas exemple, votre recherche de la vérité. Et bien moi, en tant que rationaliste, je trouve les avancées scientifiques comme une action tout à fait probante de la recherche de la vérité. Que d'avancées sur la cosmogonie, la faune, la flore, la physique, les mathématiques. On en fait des progrès! Nous en sommes même à l'apogée, de la recherche du vrai.

      Vous savez mon cher, cette définition n'empêche pas les jugements de valeur contrairement au relativisme. On peut ainsi rechercher la vérité, et être bien mauvais.

      Mais je comprends bien que dans le contexte relativiste actuel qui interdit toute représentation métaphysique du beau, ou du vrai, cette idée soit complètement inaudible.

      Je vais donc définir cela plus prosaïquement :

      la recherche du vrai :

      1) philosophie et théologie

      Puis en - dessous, les sciences.

      La recherche du beau :

      1) les arts comme l'architecture, la sculpture et la peinture, la littérature, la photographie, etc.

      J'exclus de ma définition ce qui sert plus à l'industrie du divertissement, qu'à la recherche de ces deux nobles objectifs. Vous m'en voudrez pas de dire que le cinéma, la littérature actuelle à succès, etc recherchent plus le succès que le beau ou le vrai.

      Je dirais également que l'instruction de plus en plus mauvaise de nos scientifiques, essayistes et autres gens prenant la plume ou exerçant un art est un grand mal.

      Venez parler ici des causes de l'effondrement de la culture, des signes visibles de cet effondrement, etc.

      J'entends par culture, ce qui est sérieux.

      Quelques causes possibles :

      - la fin de l'enseignement sérieux du latin et grec qui est à lier à l'abandon des classiques.

      - la concurrence de la "culture" du divertissement

      - la fin de l'enseignement religieux

      - la presse. Ex : promotion de gribouilleurs. Zemmour, Houellebecq, Onfray, etc.

      - l'ère des spécialistes ; remplacement des philosophes par les intellectuels. Aussi spécialiste dans leur domaine, qu'ignorant dans les autres. En résulte une incapacité à traiter un sujet de manière complète et intéressante.

      - Le relativisme. La fin du classement de la culture. Ex : la philosophie et la théologie plus présentées comme le nec plus ultra de l'intelligence. + son influence sur l'écriture de certaines disciplines comme l'histoire.

      - le mythe du progrès qui tend à dévaloriser les classiques au profit des "nouveautés". + influence sur l'écriture de l'histoire, et dérives idéologiques depuis la révolution.

      - l'histoire discipline bien trop magnifiée.

      - etc. A vous d'en trouver d'autres.

      Oui mais rien ne t'empêche de lire, d'écouter, autre chose que ce que l'on te propose . . . . l'école c'est sur qu'elle n'aide pas mais en même temps l'école sont but c'est pas de t'élever, c'est de faire de toi un être suffisamment "intelligent" pour que tu puisses faire fonctionner le système au mieux de tes capacités de départ, tout en étant suffisamment "abrutis" pour que tu ne puisses pas te révolter et te révolter de manière construite.

      Tu comprends? Alors je sais, oui, c'est cruel, mais si on avait voulus former des gens autonomes capables de faire des bons choix dans la vie et de se défendre, on étudierait dès la 6e des bouquins comme Le Prince de Machiavel, les oeuvres de Sun Tzu et pas les conneries de pièces de théâtre de Molière, le médecin malgré lui etc. En même temps c'est très drôle, il y a un côté Jacquouille la Fripouille, des phrases écrites en vieux Français, mais ce n'est pas ce qui va te sauver.

      Je trouve, moi, que vous nous faites un petit coup de nostalgie. Rien de méchant, ça arrive à tout le monde, c'est humain.

      C'est vrai, le catholicisme a bien mangé. Alors il est naturel de rêvasser à la France d'avant, la chrétienne, avec ses églises généreusement remplies, le prêtre bien en haut de la pyramide sociale, bon, c'était autre chose quoi.

      Mais faut pas se laisser aller comme ça. Un peu de plus, et vous allez réellement finir par croire que le divertissement de masse à remplacer la haute culture chez la plèbe.

      Attention, un jour vous allez mal finir, vous commencerez à tenir des propos bizarres, sur le cul terreux fervent adepte de cours de théologie ou de philosophie. Je ne dirais pas que ces gens étaient plus incultes qu'aujourd'hui, ha non. Juste pareil.

      A l'époque, ils avaient la belle excuse de ne pas avoir accès à tout ça. C'était le bon temps, nul besoin de cacher sa médiocrité à autrui. C'est le mal moderne ça. Tout le monde il se prend pour un intellectuel maintenant, et vas y que je connais ça, et ci, et que j'ai vu ça, et que je comprends ceci. C'est le concours permanent au plus intelligent!

      Avant, les gens avaient des ambitions à leur mesure, ils faisaient moins chier.

      Et que dire du beau, du splendide!

      Tout se bouscule. Il y a du franchement très moche, du franchement très beau, et toute une infinité de nuances entre les deux. Faut trier, mais de la diversité, il y en a. Faut être de bien mauvaise foi pour tout rejeter comme ça, en bloc, sans même un remord envers ces millions d'artistes plus ou moins connus, qui galèrent plus ou moins pour gagner leur croute.

      Il y en a vraiment pour tout les goûts, dans toutes les qualités, toutes les inspirations, toutes les couleurs, tout les styles. Pardonnez moi, je reste chaque fois sidéré lorsqu'un nostalgique en crise se permet de tout jeter à la poubelle, comme ça, comme un plat de Spaghetti refroidi.

      Le problème est d'ordre philosophique, comme toujours. Sinon ne comparez pas l'enseignement que vous avez reçu en latin et grec, avec celui qui était dispensé jusqu'au début XXème siècle.

      Pour répondre à l'enseignement de masse qui commence vers la fin des années 1950, il a fallu baisser le niveau. Et cela continue ... .

      Vous pourriez refaire des cours comme en 1920, les enfants ne suivraient pas plus.

      etc...

      Je vais donc définir cela plus prosaïquement :

      la recherche du vrai :

      1) philosophie et théologie

      Puis en - dessous, les sciences.

      La recherche du beau :

      1) les arts comme l'architecture, la sculpture et la peinture, la littérature, la photographie, etc.

      Pourriez-vous donner des exemples du ?

      Venez parler ici des causes de l'effondrement de la culture, des signes visibles de cet effondrement, etc.

      J'entends par culture, ce qui est sérieux.

      Quelques causes possibles :

      - la fin de l'enseignement sérieux du latin et grec qui est à lier à l'abandon des classiques.

      - la concurrence de la "culture" du divertissement

      - la fin de l'enseignement religieux

      - la presse. Ex : promotion de gribouilleurs. Zemmour, Houellebecq, Onfray, etc.

      - l'ère des spécialistes ; remplacement des philosophes par les intellectuels. Aussi spécialiste dans leur domaine, qu'ignorant dans les autres. En résulte une incapacité à traiter un sujet de manière complète et intéressante.

      - Le relativisme. La fin du classement de la culture. Ex : la philosophie et la théologie plus présentées comme le nec plus ultra de l'intelligence. + son influence sur l'écriture de certaines disciplines comme l'histoire.

      - le mythe du progrès qui tend à dévaloriser les classiques au profit des "nouveautés". + influence sur l'écriture de l'histoire, et dérives idéologiques depuis la révolution.

      - l'histoire discipline bien trop magnifiée.

      - etc. A vous d'en trouver d'autres.

      Chacun cultive différentes facettes du beau, du bien, du vrai.

      tout le monde ne cultivent pas ce qui est important pour toi.

      il n'y a pas de hiérarchie du beau, du bien, du vrai.

      le beau, le bien, le vrai se manifestent aussi dans la culture de masse par exemple. il n'y a pas que la culture élitiste ou catholique ou classique qui éprouve le beau, le bien, le vrai.

      et nous cultivons tous aussi, le laid, le mal, le faux.

      nous sommes humains.

      La culture faisait l’honnête homme du XVIIe siècle. De nos jours le politiquement correct impose une propagande totalitaire du berceau au tombeau pour faire un homme nouveau, mais la résistance contre ce totalitarisme s’organise et s’enracine petit à petit partout dans le pays.

      La culture faisait l’honnête homme du XVIIe siècle. De nos jours le politiquement correct impose une propagande totalitaire du berceau au tombeau pour faire un homme nouveau, mais la résistance contre ce totalitarisme s’organise et s’enracine petit à petit partout dans le pays.

      tu parles de quoi, concrètement ?

      • [supprimé]

      Et l'humour, il s'éfondre aussi!

      Noyé dans la melasse des humouristes excités Djameliens, on en perd de vue les chansonniers!

      tu parles de quoi, concrètement ?
      L’enseignement du genre, la censure de l’histoire de France.

      ne chercher pas plus loin la cause....la nationalité francaise est octroyé à tout le monde, sans savoir parler le français, sans connaitre les bases de notre constitution, sans connaitre nos racines....les jeunes de banlieues parlent un français déplorable...une honte dans le pays de voltaire,

      Mais les hommes politiques n'ont pas le temps de s'occuper de ce problème, leurs préoccupations premières étant de s'engraisser vite car ils se savent sur un siège ejectable

      Et l'humour, il s'éfondre aussi!

      Noyé dans la melasse des humouristes excités Djameliens, on en perd de vue les chansonniers!

      humoriste DJAMEL .......vous n'etes pas serieux...je dirais PITRE plutôt

      tu parles de quoi, concrètement ?
      L’enseignement du genre, la censure de l’histoire de France.

      Exemple ?

      ne chercher pas plus loin la cause....la nationalité francaise est octroyé à tout le monde, sans savoir parler le français, sans connaitre les bases de notre constitution, sans connaitre nos racines....les jeunes de banlieues parlent un français déplorable...une honte dans le pays de voltaire, Mais les hommes politiques n'ont pas le temps de s'occuper de ce problème, leurs préoccupations premières étant de s'engraisser vite car ils se savent sur un siège ejectable

      Le lumpenprolétariat ignorant des banlieues ne pose qu’un problème économique et social, mais il ne pose pas un réel problème politique puisqu’il ne songe pas à conquérir le pouvoir politique.