je ne me réjouis pas spécialement de la souffrance animale, la souffrance fait partie de la condition de tout etre vivant.
et il se trouve que l'homme est le plus grand prédateur, au sommet de la chaine alimentaire.
que l'homme ait envie d'un combat ritualisé et ponctuel rappelant la domination humaine sur la nature, au prix de la vie d'un taureau (et au risque de la vie du torero ne l'oublions pas) ne me dérange pas, on tue bien des kilometres de poulets, poissons, cochons, fourmis tous les jours.
en revanche que vous veniez nous asséner des espèces de vérités immémoriales sur les qualités des civilisations, me parait tout à fait grotesque.
une civilisation se juge à sa puissance, qui repose sur sa force militaire, sa richesse et son aura scientifique ou culturelle. le reste c'est de la flûte.