il faut ne rien lâcher face a l'islam politique ils doivent se plier a nos loi de laicité
la religion est une affaire privé qui doit être respecter mais pas étaler dans la sphère public
Complétement d'accord !
Personnellement je n'aime pas croiser des gens qui mettent en avant leur religion, qui me l'impose tel des hommes ou des femmes sandwichs ; "regardez tous je suis musulman et vu ma tenue ; je suis très pratiquant !!!!"
Dieu n’exige pas une vénération ostentatoire. Les manières benoîtes ne font illusion que dans l’imagination du dévot démonstratif, niais ou tartufe.
Les jeûnes grégaires sont superfétatoires. Importe le fond spirituel, plutôt que stomacal. Aucune préparation spéciale de ce que l’être humain mange n’est requise par Dieu. Une telle préparation, quand elle entraîne un surcroît de souffrance chez l’animal tué, Lui répugne. Elle motive des mauvaises surprises du destin pour ceux qui pérennisent cette cruauté.
L’ablation d’un bout de viande au niveau génital n’augmente pas la valeur de l’être humain, selon Dieu. Coutume de sauvages. Du même genre que: scarification, tatouage, os transperçant le nez, allongement des lèvres ou du cou, dents taillées en pointe, déformation crânienne, pieds bandés, piercing…
Ce n’est pas l’augmentation du tissu couvrant le corps qui rend la personne meilleure à Ses yeux. Les bons comportements n’ont rien à voir avec une mode vestimentaire. C’est même l’inverse quand une telle combine d’attardés esclavage, au profit des mâles, l’infortunée femelle bâchée.
Dieu n’exige pas que l’on prie un nombre précis de fois par jour. Il n’ordonne pas non plus que les prières soient faites en groupe. Surtout quand celles-ci prennent la forme, dans les rues, d’une revendication politique.
Prier sur son lieu de travail est une requête extravagante à laquelle aucune direction ne doit consentir. La prière est une affaire intime que personne ne doit remarquer.
Dieu ne demande pas que l’on se prosterne pour Lui montrer sa soumission. Toute servitude Lui répugne. En se comportant ainsi, on L’offense car la prosternation jusqu’à terre n’est imposée que par les tyrans. Dieu n’est pas un tyran.
La scolarité n’est pas réservée aux personnes d’un sexe particulier. Seuls les sauvages imaginent Dieu n’autorisant l’enseignement qu’aux élèves ayant une queue.
Effectuer un, ou plusieurs, pèlerinage sur des lieux saints ne confère aucune supériorité, comparativement à la personne restée chez elle. Pour Dieu, seul compte le déplacement de l’âme, pas celui du corps. Frime, frime, frime.
Aucune conjuration du diable, consistant à se travestir pour jouer une scénette avec des cailloux, ne remplace un long travail introspectif, constant, jamais terminé. Expérience discrète, vécue, où l’on ne joue pas la comédie.
Vénérer un bout d’os ou quelque babiole ayant appartenu à une vedette de la sphère religieuse ne procure aucun bénéfice spirituel. Il s’agit d’une sorte de fétichisme, d’idolâtrie. Ce n’est toutefois pas une raison pour détruire certains monuments artistiques ou des archives historiques. En révérant outre mesure diverses prétentions arbitraires, cette sauvagerie culturelle participe tout autant du fétichisme, de l’idolâtrie. C’est même leur forme la plus exécrable, car voulant se faire passer pour son contraire.
Aucun sacrifice animal, a fortiori humain, ne rend Dieu perméable aux requêtes des hommes. Cette sollicitation abjecte, prise par Lui comme un affront, est transmise à qui de droit, dont les «cadeaux empoisonnés», différés le plus souvent, ne peuvent qu’épouvanter.
Se suicider en essayant de faire un maximum de victimes, dans l’espoir d’extorquer des faveurs à Dieu, produit l’effet inverse. On ne Le pigeonne pas. Le sauvage qui tente d’échanger un bien précieux contre une saloperie y perd des plumes. Beaucoup. Surcroît de malheurs, ajoutés aux peines pas encore résorbées, pour l’assassin qui attendait, avec candeur, sa rétribution en pouffes increvables et décoration jardinière réservée aux «happy few». Bernique! Les exhortations des gras conseilleurs, qui restent à l’abri, sont considérées pareillement criminelles par Dieu. Ces mentors ont droit au même salaire en souffrance accrue.
Dieu ne demande jamais de faire mourir des êtres humains. Tuer un homme en Son nom est L’insulter.
Une aide réelle, concrète, sans parader, à son prochain plongé dans le malheur, vaut 1.000 prières au Créateur, 10.000 chants à Ses louanges, 100.000 paroles en Son honneur.
Une relation sincère, cordiale, avec Lui, suffit à Dieu. L’homme libre la cultive dans le secret de son cœur.
Pour leur bonne pratique religieuse, en quoi les musulmans paisibles ont-ils besoin des préceptes criminels que recèle le Coran «unique» tripatouillé par le troisième calife Uthman, qui fit détruire tous les exemplaires non conformes à ses prétentions politiques?