Il n'y a pas de chef religieux commandé par l'Islam, la seule autorité serait un chef politique, le Calife, reconnu par ses concitoyens comme tel.
Nul besoin d’un «pape» de «clergé» (ensemble des clercs). Les clercs musulmans peuvent prendre collectivement une décision: la fatwa d’excommunication des djihadistes.
Mais vous ne voyez pas que quelque chose qui s'appelle l'Arabie Saoudite, qui est gérante du lieu de pèlerinage de la Mecque, qui est allié des Etats-Unis via le Pacte du Quincy a contribué à la propagation de la voie du wahabisme et d'autres courants fondamentalistes qui soutiennent les terroristes ?
A partir du moment où le principal "acteur" du contreterrorisme mondial est étroitement allié au principal acteur mondial du financement du terrorisme, ce n'est pas quelques mecs en djellabas -et Dieu sait qu'il y en a eut qui condamnent les terroristes-, qui vont peser dans la balance.
L'existence de l'Islam ne peut être menacée par les actions d'au plus 100 000 de ces fidèles, que ce soit en Occident, en Orient ou sur Mars.
L'existence de l'islam est menacée en Occident, à cause des discours violents que contient le Coran. Ces discours violents engendrent des actes de guerre insupportables aux Occidentaux: la «guerre sainte».
Vous dites n'importe quoi, en quoi est-ce qu'une compréhension minoritaire du discours, est-elle plus problématique que les forces vives qui donnent les moyens aux adeptes de ces compréhensions d'agir ?
On a le même Coran pour tous, pourtant il n'y a qu'une poignée qui se revendique de la guerre, pourquoi ? Vous comprenez mieux que les autres ? Pourtant vous n'avez même pas tout lu, alors ça m'étonnerait vivement !
L'innovation est un péché, dans le sens où elle se trouverait en porte-à-faux avec une prescription du Coran.
«Péché» est un terme irrecevable par les opinions laïques, lesquelles orientent nos politiques en Occident. La religion n’a pas voix au chapitre quand il s’agit de gouverner le pays. Tout politique doit dire:
Là vous essayez de vous payer ma tête on dirait, on parle du plan théologique, puis ensuite vous invoquez les lois de la République...
Sur un plan théologique, demander à un musulman une innovation, constitue de facto une incitation au pêché, c'est inacceptable sous quelques termes que ce soit.
Pour ce qui est du politique, puisque vous passez du coq à l'âne en coupant une réponse pour introduire la confusion, si l'on est un musulman authentique, on ne s'engage pas dans le processus démocratique, qui dresse l'homme comme seule mesure de lui-même, on vit avec et on ne l'entrave pas.
Une fatwa n'est qu'un avis juridique publiée par un musulman, elle n'a pas force d'autorité par défaut, le pouvoir en Islam est libre d'institutions formelles, il se considère sur ses incidences réelles dans la vie en société.
La bureaucratie islamique est comme toutes les bureaucraties, elle peut changer. En Occident, à la faveur des combats djihadistes sur son sol, elle sera obligée de changer.
Quels combats ? Vous partez dans des fantasmes.
En Occident, l’islam n’est pas autorisé à parler de djihad. La guerre, c’est de la politique. Aucune religion n’a le droit d’exercer la politique.
Parlons-nous de l'Islam ou de l'application d'une religion dans l'espace public laïc d'un pays ?
Toute religion doit se soumettre aux lois françaises. Toute religion n’a pas le droit de propager un discours guerrier. Par exemple, les préceptes criminels du Coran.
Mais ça vous plait de répéter les choses sans tenir compte des réponses on dirait ...
Le Jihad concerne une action qui doit se décider dans un gouvernement, hors, en France, le gouvernement exerce le pouvoir au nom du peuple Français sous la République laïque. Par conséquent, le Jihad ne peut être promulguer en France.
J'espère que cette réponse vous suffit, sans avoir besoin de rentrer dans des considérations autour de préceptes criminels ou d'autres qualificatifs déplacés.
Oui, il n'y a pas d'appel au Jihad possible au nom de l'Islam par des responsables politiques dans un pays qui ne l'admet pas, auquel cas, l'appel sera fait par des personnalités issues d'un autre milieu, se plaçant automatiquement en situation d'illégalité.
Sauf que ces légitiment leur discours guerrier en s’appuyant sur les préceptes criminels du Coran acceptés par l’ensemble des musulmans. Chez nous, l’islam est donc dans l’illégalité totale.
Quand un «livre saint» contient des appels au meurtre, ce «livre saint» n’est plus saint. Il faut l’expurger de ses miasmes guerriers.
Vous faites des anachronismes insupportables, comment une société qui place l'homme comme seule mesure de lui-même, peut-elle juger d'un Livre qui promulgue une société placée sous les lois du ciel ?
Les personnalités issues d'un autre milieu prêchent le Jihad, mais elles ignorent un précepte du Coran, qui interdit de s'élancer dans des actions illégales au sein du pays dans lequel elles exercent leur influence.
Et je le répéterai encore, toute modification du Coran est inadmissible, sous quelques termes que ce soit.
Cela n'empêche pas que le Jihad ait une existence et une application possible pour les pays qui se considèrent sous la loi du Coran, dans ce cas, celui-ci est encadré par des règles qui proscrivent le combat contre des populations civiles, ainsi que l'utilisation de la force contre une nation qui ne l'aurait pas fait.
En pays d’islam, quel djihadiste respecte de telles règles? Tartuferie! Mais hors d’Occident, les gens font ce qu’ils veulent. Quant aux individus qui rêvent de flicage religieux, la France les invite à rejoindre ces terres idylliques. Manu militari, si nécessaire.
Pour l’individu sain d’esprit, ne pas vivre en théocratie est une véritable bénédiction.
Les personnes que vous qualifiez de Jihadistes ne le sont pas, ils ont beau vouloir se justifier par des discours, mais leurs actes contredisent le discours.
Au lieu de balancer des diagnostiques psychiatriques impliquant des millions de personnes dont vous ne savez rien, vous feriez mieux de parler de ce que vous savez.
Quant à chasser des personnes, avec la France membre de l'UE qui gomme les frontières, qui impose sa loi sur les gouvernements; cette même UE qui prend ses conseils des multinationales ne cherchant que le profit, et pour qui les migrants sont bénéfiques faisant baisser les salaires; j'attends encore !
Vous avez la même incohérence que ceux que vous accusez.
4.les personnes prétendant pratiquer le djihad tout en allant se suicider pour tuer des civils sont des terroristes, non des djihadistes.
Tout discours guerrier par l’islam étant interdit en Occident, cette finasserie sémantique, destinée aux supposés béotiens occidentaux, est nulle et non avenue.
Il n'est pas question une seule seconde de parler du Jihad en Occident, vous avez mal compris mon propos, comme d'autres sur des fils de discussion interposés.
Pour ce qui est des prétendus Jihadistes, en Irak par exemple, qui vont s'exploser en tuant des personnes faisant leur marché, ceci est un acte de suicide, qui porte atteinte à la vie ou à l'intégrité physique de civils (donc, de non-combattants), actions et conséquences jugées par le Coran de pêchés (de crime également, mais il nous est impossible d'appliquer un jugement sur le criminel déjà mort).
Aucune religion n’est autorisée à se mêler des faits de guerre. Son rôle consiste à mettre les hommes (qui le veulent bien) en «communication avec le ciel». Toute religion doit laisser les tueries aux tueurs et aux vrais justiciers. En France, c’est le travail du gouvernement, uniquement.
Et alors ?
Ai-je prétendu révoquer le droit Français ? Ai-je fait allusion sur ce point précis au droit Français ? Non, ce point précis concerne uniquement l'appréciation du Coran concernant les actes de terrorismes.
Cette appréciation stipule :
29.Ô les croyants ! Que les uns d'entre vous ne mangent pas les biens des autres illégalement. Mais qu'il y ait du négoce (légal), entre vous, par consentement mutuel. Et ne vous tuez pas vous-mêmes. Allāh, en vérité, est Miséricordieux envers vous.
30.Et quiconque commet cela, par excès et par iniquité, Nous le jetterons au Feu, voilà qui est facile pour Allah.
Il faut laisser ces calculs de boutiquiers aux agents des pompes funèbres. A cause des préceptes criminels du Coran, tous les musulmans sont obligés d’assumer la responsabilité du sadisme des psychopathes d’Allah. Les musulmans intègres doivent se libérer de cet assujettissement diabolique.
Ce sont des estimations qui permettent de ramener le débat sur des bases concrètes, imposant de fait d'écarter les représentations fantasmées d'un Islam aux portes de l'Occident, d'une déferlante de combattants barbus et d'autres inepties.
Le retour massif des djihadistes du califat n’est pas un fantasme. Ces combattants de «guerre sainte» conditionneront une guerre civile en France.
C'est un fantasme, s'ils reviennent, ils sont contrôlés, ils n'ont apporté aucune arme.
De plus, l'EI est composé de plusieurs factions qu'on appelait autrefois sous des traits nobles "rebelles syriens", ce qui de facto place la responsabilité de l'action de ces groupes maintenant présentés comme terroristes, sur les autorités qui ont participé à leur ravitaillement et leur soutient comme par exemple les autorités Françaises :
"Si on veut arriver à une solution politique (en Syrie), il faut bouger la situation militaire sur le terrain et il faut que les résistants puissent avoir des armes pour lutter contre les avions qui les mitraillent"
Les préceptes du Coran commandent la défense et réprouvent le crime.
Dans sa grande malhonnêteté, le Coran dit une chose et plus loin son contraire. Ce procédé mensonger doit disparaître de ce livre religieux.
Le Coran ne se contredit pas, est-ce se contredire que d'appeler à se défendre contre l'agresseur et de laisser les personnes neutres en paix ?
Tout les préceptes du Coran ne peuvent être considérés de manière individualiste, il y en a qui ne sont applicables qu'à des communautés et des pays, sauf que dans votre grande malhonnêteté ou au mieux votre grande ignorance, vous n'êtes pas capable de le reconnaître.
Les musulmans ne sont assujettis qu'à leur propre libre-arbitre, et non à un schéma institutionnel qui leur commanderait de découper des têtes à chaque coin de rue.
Ceux qui égorgent les hommes «obéissent» à Dieu» comme des zombis. Leur libre arbitre n’a pas plus d’existence que la liberté de penser dans une société obscurantiste.
Le zombie est un corps qui se déplace malgré la mort de l'individu, rapprochement grossier et pas très précis.
Vous prétendez qu'ils "obéissent" à Dieu, je vous mets au défie de démontrer qu'il y a un seul verset du Coran le commandant.
De plus vous semblez connaître l'obscurantisme, hors c'est un terme qui n'est apparu qu'il y a 2 siècles, et je suis sûr que vous vous basez sur une histoire maintes fois réfutée.
Affaire relevant de la responsabilité gouvernementale, pas religieuse.
Encore une fois, vous parlez du religieux comme un phénomène devant se conformer à une définition apparue il y a 2 siècles, tandis que le religieux s'est constitué il y a plusieurs millénaires.
Les autres religions, apparues avant l’islam, se conforment aux lois françaises. Aucune raison de privilégier les musulmans. Pour eux, le choix est simple: se conformer à la modernité sociétale ou quitter l’Occident.
Aucun principe de l'Islam n'empêche de se conformer aux lois françaises.
Pour ce qui est de l'Islam, le Coran propose des prescriptions pour les affaires morales, de culte, de foi, d'économie, d'état, de relations à autrui, de guerre, d'eschatologie ect...
voilà le problème brûlant, qui révèle une totale incompatibilité avec les lois françaises.
Non, car la guerre n'est gérable que par un gouvernement, si le gouvernement de France, ne se dit pas sous les lois du Coran, alors les musulmans de France n'ont pas à invoquer des versets commandant la guerre.
L'application de ces prescriptions doit être acceptée par tous dans les territoires où le pouvoir souhaite l'appliquer, ce qui exclu les pays Européens par exemple.
Sauf qu’en Occident, les islamistes ambitionnent l’application de la charia, peu à peu, sournoisement. Ils exigent toujours plus de dispositions conformes aux instructions coraniques: emprisonnement textile qui dissimule intégralement la femme, apartheid sexuel dans les piscines et à l’hôpital, accommodements professionnels durant les jeûnes collectifs, etc.
"L'application de la charia", vous délirez, elle n'est même pas appliquée correctement sur les pays dits musulmans.
Et là où vous délirez encore plus, c'est au sujet des islamistes, on dirait Riposte Laïque avec Christine Tasin, vous fantasmez un pouvoir musulman mais il n'y a même pas de communauté réfléchissant sérieusement aux points que vous soulevez, à part peut-être la communauté islamophobe bien plus active que les musulmans.
Affaire relevant de la responsabilité gouvernementale, pas religieuse.
Dans le Coran, il est prescrit pour les musulmans de se constituer une forme de gouvernement suivant les commandements de Dieu, mais lorsque l'on se trouve dans un territoire où la population ne fait pas se choix, il est prescrit de se conformer aux règles de ce territoire.
Les islamistes acceptent cette formule en attendant de changer les règles du territoire d’accueil au moyen de l’islamisation rampante. Le renard au milieu du poulailler.
Qui sont les islamistes ? Vous nagez dans des fantasmes, vous présupposez connaître les intentions profondes des gens, vous prétendez sondez les cœurs et les reins, c'est tout à fait risible.
Dans le cadre d'un territoire ayant choisit de se conformer aux prescriptions du Coran, il faut considérer les versets sur la guerre lorsque ce territoire y fait fasse, ainsi, il est commandé d'utiliser la force contre tout assaillant pour défendre sa famille et ses proches.
Une religion acceptable n’a pas le droit de se prononcer sur la guerre, «sainte» ou non. C’est l’affaire des gouvernements. Les musulmans, en Occident, qui ne comprennent pas cela doivent retourner en terre d’islam.
D'accord, mais qui sont ces personnes qui "ne comprennent pas cela" ?
Vous savez qui ils sont et combien ils sont ?
La mort de tout homme, douce ou pénible, est un châtiment, non une fin définitive. Elle clôt chaque incarnation dont les épreuves découlent d’un mauvais usage de la liberté envers Dieu. Autrement dit: d’une appétence pour le mal.
Aujourd’hui, les musulmans, en grande nombre, n’ont pas la crédulité d’andouille des bédouins ignares.
Vous partez d'un corpus qui n'est pas le mien, il est clair que si l'on ne connait pas simultanément les deux corpus (Islamique + le votre ), on va se retrouver à faire des joutes stériles.
Gnostique, ma recherche métaphysique est indépendante de tout courant religieux. Mes propositions existent grâce à la liberté de penser. Aujourd’hui, en Occident, rien n’empêche d’approfondir de telles questions.
Vous prétendez être mieux guider sur le chemin de Dieu, que ceux qui ont suivi ses messagers ?
Tout homme est comptable des méfaits de sa communauté. Soit l’individu est partisan de ces méfaits, auquel cas il en assume la responsabilité. Soit il s’y oppose clairement. Quand les psychopathes d’Allah rentrent des combats en califat, chaque musulman doit s’expliquer: ami ou ennemi? Les musulmans intègres demandent le retrait des préceptes criminels du Coran. Puis ils excommunient les djihadistes. Les musulmans partisans de la «guerre sainte» sont bannis du territoire français.
Je ne me sens aucunement comptable des actes de qui que ce soit, du moment qu'ils n'ont pas d'incidences proches ou que je ne les connais pas; mon appartenance à une communauté est aussi discutable, l'Islam n'étant pas une communauté monolithique, on peut supposer qu'il y a pour chaque méfaits des partisans et des opposants.
Impossible à chaque musulman de se dédouaner, tant que le Coran incite au djihad.
Si on applique le droit Français, il n'y a pas d'intermédiaire entre l'état et le citoyen.
La France ne reconnait aucune existence légale des communautés.
Par conséquent, les musulmans, groupe confessionnel, ne sont pas catégorisables dans une ou des communautés, la responsabilité est donc strictement individuelle.
Ma position quant aux terroristes, est de condamner leurs actions, consistant à s'infliger la mort pour tuer des civils.
Cette observation verbale et stérile ne suffit pas. La guerre actuelle contre le djihadisme réclame, en France, des actes: islam réformé, avec excommunication de tous les égorgeurs d’Allah.
La volonté de réforme de l'Islam n'émane que d'une minorité, on verra ça au suffrage universel.
Les musulmans intègrent rappels les versets et en premier lieu ne confondent pas le paradigme laïc de l'application de la religion dans l'espace public, avec le paradigme de l'Islam.
Pour le cas du territoire français, comme pour le cas d'un territoire à majorité musulmane, les musulmans intègrent condamnent les actions terroristes et rappellent les versets sur la guerre sainte.
Dans le Coran, les versets sur la «guerre sainte» doivent disparaître. Ils sont contraires à la loi française. Aucune religion n’a le droit de promouvoir la guerre, «sainte» ou pas.
Le Coran ne peut être modifier.
Les musulmans de France doivent appliquer la loi française.
Les versets sur la guerre ne concernent que des pays acceptant la loi du Coran sur son territoire.
En Occident, aucune religion n’est autorisée à faire de la politique, à promouvoir l’action guerrière.
On sera ressorti de cet échange en rétablissant les bases du propos de chacun, mon but était de parler du Coran et de l'Islam afin de les considérés dans leur intégralité, tandis que le vôtre était en fait de rétablir l'application de la loi française.
En France, tout le monde doit obéir aux lois françaises, y compris les religieux. Le Coran ne peut servir de passe-droit.
L'Islam commande de suivre les lois du pays sur lequel on se trouve.
Dans le cas où l'on parle de l'application de la loi française, l'appel au Jihad (quelqu'en soit ses protagonistes ou ses raisons), par un responsable politique est proscrit; de même, l'appel au Jihad fait par un tiers est aussi condamnable.
Blabla islamique contredit par les versets guerriers du Coran.
Les versets sur la guerre ne concernent que les pays qui sont sous la loi du Coran.
Aucune contradiction dans le corpus islamique.
Par ailleurs, je me défendrai de faire des recommandations à quelque musulman Français, ou Français musulman ou encore musulman de France concernant quoi que ce soit, j'expose simplement les faits.
Le fait essentiel est que la législation française ne peut tolérer l’incitation au djihad du Coran.
Les versets sur la guerre ne concernent que les pays qui sont sous la loi du Coran, puisque la guerre n'est pas un fait individuel.
Dieu n’impose jamais Sa volonté aux hommes. Sinon, par exemple, les filles seraient enveloppées dans une burqa dès l’intérieur du ventre de leur mère.
La burqa est un vêtement qui a des origines culturelles, que l'on retrouve essentiellement en Afghanistan, il n'est prescrit nulle part dans le Coran.
L’épidémie des femmes intégralement dissimulées se répand partout dans le monde. Les religieux obscurantistes présentent cette geôle en tissu comme la volonté de Dieu.
La pudeur des femmes voilées n'a pas à être pointée du doigt, elles sont libres de se vêtir comme bon elles veulent, comme le font les femmes en pantalon ou les femmes en robes ou les femmes en jupe ou les femmes en string.
Aucun vêtement n'est une prison, il préserve la pudeur dans l'espace public.
Dieu ne demande jamais de tuer qui que ce soi, pas plus qu’Il ne demande une cuisson particulière des œufs. Les hommes sont libres de prendre toutes les décisions qu’ils veulent. L’enseignement de Dieu porte uniquement sur les règles divines. Si vraiment Dieu commandait de les musulmans gagneraient chaque fois. Il ne faut pas prendre les gens pour des buses.
Considérez-vous donc que le Coran ou que la Bible ne sont pas des livres saints ?
Saint est ce livre seulement pour celui qui le croit tel, pas pour les autres. L’opinion française ne reconnait au Coran ou à la Bible aucun pouvoir législatif. Les lois sont faites par des personnes qui n’ont pas le droit d’invoquer un discours religieux. Sur le territoire français, les «livres saints», politiquement, comptent donc pour du beurre.
Ce n'est pas l'opinion française, c'est la constitution.
Il n'a pas été question une seule fois dans notre échange, de parler d'un pouvoir législatif du Coran sur le sol Français.
Bédouins belliqueux contre d’autres tribus de bédouins batailleurs. Des guerriers qui se f… de connaître la science avancée du divin.
Considérez-vous donc que Muhammad -pbsl- n'était pas un Prophète ?
Quand Mahomet guerroyait, parlait de guerre, il était un prophète mauvais. Ces conceptions guerrières sont, aujourd’hui, inacceptables. La liberté intellectuelle, en France, permet de le dire. Un prophète digne de ce nom ne doit pas proclamer que Dieu veut la mort des hommes. Jamais un prophète ne prend les armes. Rien ne l’autorise à prêcher la «guerre sainte»: cause des malheurs islamiques qui ne cessent pas.
Par quels principes pouvez-vous démontrer votre proposition ?
Dieu n’est pas une idole de sauvages écumant de haine inextinguible. Le primitif imagine son dieu primitif. Les hommes, en toute liberté, font leur destin, personnel et collectif.
Dieu nous guide pour remplir le dessein de notre existence, si vous vous asseyez sur la croyance de plusieurs milliards d'individus qui ont voulu croire en un droit chemin, il faut plus que des affirmations dont on n'a pas encore vu les raisons.
Mes propositions ne sont pas des dogmes. Chacun peut les contester. Elles reposent sur une «logique» intuitive, le «bon sens» du «créateur» et de l’humanité.
Les Livres Saints prétendent guider les humanités vers le sentier de Dieu, en quoi votre intuition en est-elle plus proche ?
Dieu ne punit personne. Les règles liées au mal (qui permet de rendre l’homme libre) entraînent automatiquement des effets karmiques. Si l’homme se comporte correctement, il sortira du cycle des réincarnations. Dans le cas contraire, il subira des épreuves, en fonction de ses manquements. Durant cette vie ou la suivante. Ainsi fonctionne le jeu divin.
Par ailleurs, chaque fautif n’obtient aucun pardon de Dieu pour ses crimes. Refus de pardonner sans juger. Nul reproche divin. Avec amour, la Conscience Initiale suit son plan. En refusant son pardon, la Conscience Initiale fait au coupable, à l’homme, une fois encore, le plus beau des cadeaux: sa liberté. L’existence du mal conditionne la liberté de l’homme envers la Conscience Initiale. Son souvenir aussi.
Si la Conscience Initiale, étourdiment, Etre bon ne signifie pas être bête. Les grands salauds font d’excellents saints, une fois leur cruauté, leur perversité, leur animalité, vidangées, neutralisées.
Après avoir inconséquemment effacé les péchés de l’homme, la Conscience Initiale devrait, dans ce cas, tout le temps le préserver des tentations. L’être amputé de sa mémoire du mal ne serait alors rien d’autre qu’un malade hospitalisé, incapable d’exister hors d’une bulle protectrice. Un prisonnier de la Conscience Initiale. Un béni-oui-oui toujours d’accord avec son maître. Une chiffe molle dénuée d’opinion personnelle. La Conscience Initiale n’a pas besoin de captifs, de robots préprogrammés, de clones soumis, tels les sujets d’un tyran. La Conscience Initiale a créé les hommes libres afin qu’ils soient libres. La liberté devient effective quand on n’outrepasse pas ses potentialités raisonnables.
Sauf que dans le monothéisme abrahamique, on ne parle pas de réincarnation, chaque homme possède une seule vie, il sera rétribué selon ce qu'aura acquis son âme.
Une seule vie ne suffit pas pour acquérir l’ensemble des qualités nécessaires à l’existence définitive dans l’au-delà: ne pas tuer, ne pas torturer, ne pas user de contrainte à l’égard des autres, ne pas soumettre les femmes, ne pas imposer sa croyance religieuse, respecter les opinions différentes, accepter les règles du vivre ensemble qui rendent inutiles toute administration policière ou judiciaire, honnêteté scrupuleuse, aucune hostilité envers autrui…
Venu du fond des âges, l’homme évacue, peu à peu, la bestialité qui l’habite, ses instincts de fauve, sa cruauté. Se civiliser réclame des générations d’efforts. La morale prend beaucoup de temps pour s’épanouir. Les égorgeurs d’Allah sont loin d’avoir développé ce grand œuvre introspectif.
Dans le monothéisme abrahamique, il est indiqué que le but de l'existence est l'adoration de Dieu.
Dans l'au-delà, personne ne peut mourir, seuls ceux destinés à l'enfer pourront souffrir, personne ne pourra contraindre un autre, il n'y aura plus de religion, les opinions différentes pourront être réglées par le savoir objectif venant de Dieu, le vivre ensemble n'aura pas les mêmes buts et il est donc inutile de spéculer dessus.