katou Il aurait fallu que les mères comme les enfants aient été envoyés dans des pays où la charia est la loi d'autant que les parents qui sont en intelligence avec l'ennemi de la France cad l'état islamique, ont de fait perdu la nationalité française e. Quand on parle de rapatriement c'est ne pas dire la vérité.
De fait ? Quel fait ? Comment être déchu de sa nationalité pourrait-il relever de l'ordre du fait ? Comment sera-ce acceptable si ce n'est pas juste ? Ces gens sont Français, ou il y a un truc que je n'ai pas compris.
Ce qui me gêne dans ce débat, mais qu'on omet - merci au moins à Katou d'avoir le courage de l'aborder, alors qu'on oblitère ordinairement cet aspect.
//////Vulgarités inutiles
Mais ce que je veux surtout souligner, c'est qu'il faut être cohérent, si on veut être crédible. J'écoutais hier au soir sur Téléfacho l'histoire de ce sans-papier délinquant récidiviste qui a agressé la police, et qu'on voudrait renvoyer chez lui, il n'a rien à faire en France, il doit rentrer illico chez lui (après avoir purgé sa peine en France, ou direct expulsion, ce sont des modalités à voir). On sait que le problème, c'est que les pays d'origine nous font exactement ce qu'on propose avec ces djihadistes maintenant : ah nous, on ne les connaît pas, on ne les reprend pas, ils sont peut-être algérien, ou sénégalais, etc.) ce n'est pas notre problème, démerdez-vous avec eux, on n'en veut pas.
Et Marine et le RN nous explique que même s'ils ne veulent pas reprendre les malfaisants qui sévissent chez nous, on leur tordra le bras avec des sanctions (économiques par exemple).
Mais on fait comment pour rendre crédible cette politique si nous, de notre côté, on refuse de traiter chez nous cette racaille, pendant qu'on voudrait l'imposer aux autres ?