Ah! Le sybaritisme et la jouissance comme alpha et oméga du "bonheur"... Elle a bien marché la propagande consumériste.
Ah j'adore l'esprit de nuance dés qu'on parle de notion de plaisir personnel, tout de suite on part dans les grands délires sur la jouissance comme l'alpha et l'omega.
Revois un peu Épicure, et sa morale basée sur le plaisir, mais totalement anti-consumériste, rejetant les désirs artificiels et non désirables.
Et le plaisir partagé tu connais?
cela s'appelle l'amitié, la fraternité, l'amour.
Les pires personnes sont celles qui refusent la notion de plaisir ( comprenant la joie ) aux autres. Les psychopathes les intégristes religieux, les égocentriques, les dictateurs etc...
Commencez par garder le vouvoiement, nous ne sommes pas camarades que je sache.
Ah j'adore le type pris la main dans le pot de confiture qui dénie.
C'est, vous, qui invoquez la notion de plaisir, pas moi. Les mots ont un sens.
Par ailleurs vous pouvez bien citer épicure qui, en cette espèce n'a pas trop d'intérêt, lui-même n'étant ni anti-religieux et parfaitement traditionaliste, vous n'en utilisez pas moins des pensées prémâchées et non démontrées:
Vous êtes, là, dans la propagande bas de gamme et ne faites que reprendre des critiques éculées qui, a tous le moins, méritent débat contradictoire (faudra prouver par exemple qu'on se fendait plus la gueule en URSS que dans la France du XVIII par exemple). Cette notion de "joie", que vous évoquez maintenant étant, justement présente dans les écrits mystiques chrétiens, félicité si vous préférez. Je n'ose même évoquer les raisons du succès de la religion chrétienne au départ, a savoir la notion de fraternité.
Alors que vous soyez athée voir anti-cléricale, c'est très bien, je le suis moi-même, que celà vous fasse sombrez dans la médiocrité libéral et gauchiste qui porte au nue la notion de plaisir et en fait un argument contre la religion (je devrais dire une religion), non. Il est, toujours, inconcevable que les athées ou les anti-cléricaux en finissent toujours par invoquer cette notion de plaisir comme si elle devait définir l'homme et le guider.
Pour dénier tout intérêt aux religions, il suffit d'aller à l'essentiel, la négation de la pensée magique et de l'axiome dieu.