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Quel ramassis fantaisiste et orienté...
La définition que vous donnez du plaisir ne correspond strictement à rien. Vous ne pouvez, en rien, prouver que votre définition est plus juste que la mienne qui l'assimile au sybaritisme. Quand vous faites entrer la sérénité et la santé dans cette définition, vous en tordez la définition a des fins strictement manipulatoire. Voyez sérénité et santé on pourrait aussi faire rentrer ça dans l'ataraxie ou le stoïcisme qui, eux, ne s’embarrassent pas avec la notion de plaisir. Notez, au passage, qu'il n'y a pas besoin de religion pour établir une philosophie ne va pas dans le sens de votre éloge du "plaisir".
Je comprend bien qu'il vous ennuis qu'un athée n'aille pas dans le sens de votre anti-cléricalisme primaire ni d'un gout des "plaisirs" qui, contrairement a ce que vous dites est intimement lié au consumérisme, que l'on consomme des bien ou autrui et qui, par essence est egoïste. C'est d'autant plus cocasse que vous nous faites, après, le cout de la fraternité, alors-même, que ce qui a fait le succès de la chrétienté c'est, justement, l'Ekklesia, la communauté, la charité et tout ce genre de machin altruiste. D'un côté vous conchiez la religion, de l'autre, vous prônez, justement, les même valeurs.
Pour résumé votre intervention, elle est proprement manichéenne. Vous sériez de manière parfaitement subjective entre entre le bien et le mal, et analysez, ensuite, de manière inductive, en ne prenant en compte que les aspects de la religion qui vous déplaisent et en occultant les autres. Vous pouvez bien crier au "un simple constat, historiquement prouvé.: vous en démontrez rien. Je passe, même, sur votre glissement entre religion et intégrisme et votre manque de subtilité quand vous vous arc-boutez sur la position paulicienne.
D'autant plus comique que vous invoquez aussi l'histoire et les "faits avérés"... Mais, mon pauvre ami, le christianisme ou le bouddhisme n'ont jamais été univoque, ni n'ont eu une influence absolue sur les mœurs. C'est, même le laxisme et relâchement des mœurs, tout autant que le matérialisme (cf la question de la pauvreté du christ) au sein du catholicisme qui joua dans la montée du Lutherianisme, beaucoup plus rigoriste.
Enfin, votre développement creux sur le "plaisir partagé" est parfaitement délirant au regard du fonctionnement de la psyché. Pas de plaisir sans Eros, pas d'Eros autre qu'autocentré.
Et là où il y a de la contrainte il n'y a pas de plaisir. Le plaisir s'oppose donc à la contrainte.
"Vivre sans contrainte et jouir sans entrave", c'est de l'antienne soixante-huitarde réchauffée. Sérieusement vous n'avez que ça sur quoi vous appuyer?
facile de tout rejeter d'un coop de main, comme le fait de rejeter épicure en montrant qu'on ne sait pas du tout de quoi il s'agit
Bon puisqu'il faut mettre le spoints sur les i :
http://www.linternaute.com/dictionnaire/fr/definition/plaisir/
Définition plaisir
plaisir, nom masculin
Sens 1 Sentiment de satisfaction ressenti lorsqu'une envie ou un besoin est assouvi. Ex Le massage est un plaisir des sens.
Sens 2 Divertissements au sens général. Ex Elle se perd dans les plaisirs en oubliant sa famille.
Sens 3 Agir selon la volonté de quelqu'un. Ex Nous ferons selon votre bon plaisir.
Synonymes plaisir
plaisir : 3 synonymes.
Synonymes bien-être, délice, satisfaction.
C'est vrai je mélange tout, pauvre de moi, je ne fais qu'utiliser les ramifications liées à la notion de plaisir.
Excuses moi de ne pas en rester à une vision prémâchée par les religieux.
http://www.crisco.unicaen.fr/des/synonymes/bonheur
non vraiment je dis n'importe quoi sur les 5 premiers termes liés au bonheur je n'ai pas parlé de la félicité pour énoncer les divers aspects du plaisir. Puisque plaisir il y ait avec comme par hasard : joie, sérénité, bien être
http://fr.wikibooks.org/wiki/Philosophie/Bonheur
Le bonheur se distingue du plaisir, par la durée et parce que le plaisir concerne ce qui est agréable, et de la joie, en tant que cette dernière est un état plus dynamique que le bonheur. La félicité est un bonheur parfait.
Quand je parle de notion de plaisir c'est bien de tout ça qui est relié l'un à l'autre.
Je ne parle pas de la jouissance sans limite, quand je parle de la notion de plaisir.
C'est donc ta réponse qui est une fantaisie orientée.
Parce que chaque réponse de ta part repose sur une interprétation très restrictive et orientée de ce que je dis.
Tout athée logique est anticlérical, c'est à dire contre le cléricalisme.
Ce qui m’ennuie c'est de voir quelqu'un qui se dit athée reprendre les mêmes discours que les curés, au vocabulaire et associations prés, avec la même approche simplificatrice, mais les curés ils avaient une excuse, ils on fait de la propagande pour maintenir le domination de l'église sur ses ouailles.
C'est bien joli de me renvoyer bêtement à l’égoïsme consumériste, alors que tout ce que je dis ne vas pas dans ce sens. Donc comme les autres tu interprète ce que je dis pour me faire dire autre chose que ce que je dis sur de nombreuses lignes.
SI tu veux je peux remplacer la notion de plaisir par la notion de joie ça t’ira peut être mieux.
Bizarrement ceux qui sont contre la joie sont les premiers à tirer à vu dés qu'on parle de notion de plaisir.
Drôme d'athée qui reproduit exactement les mêmes discours simplistes que les religieux. Non décidément tu n'es pas crédible en athée.
Parce que la fraternité, ça appartient à l'humanité, et non à une religion. IL n'y a que des bigots pour répéter cette propagande cléricale.
Surtout que la première émotion sur laquelle repose toute religion c'est : la soumission.
D’ailleurs pendant 1600 ans l'église a d'abord et avant tout chercher à faire respecter cette soumission.
par contre moi je suis cohérent en parlant de fraternité puisque :
1) je n'ai jamais défendu le consumérisme égoïste dans mes messages, c'est toi qui l'a interprété faussement comme ça.
2) je parle de tous les sentiments et sensations positives qui contiennent la joie, la sérénité , etc...
3) et que la fraternité relève de ce domaine là
4) les penseurs matérialistes comme Épicure ou Marx, défendent une vision reposant sur des liens fraternel, la solidarité etc... qui n'a donc aucun lien avec la religion.
Oui donc pour revenir aux valeurs, comme je disais la religion c'est d'abord la soumission, donc si je peux partager des valeurs avec certaines religions sur une dimension, sur l'autre dimension, on est à l’opposé.
De plus une forte pratique religieuse va avec une répression de toute notion de plaisir personnel
quand on veut faire une critique qui soit valide, il faut au moins savoir lire ce qu'on critique.
Donc c'est toi qui en lisant ce que j'ai écrit ci dessus a interprété (encore une fois) comme étant une attaque contre tous les croyants. Je parlais implicitement des intégristes et apparentés.
Par contre c'est bien une attitude de bigot intégriste de prétendre que ce sont tous les croyants qui sont attaqués quand on cible les intégristes.
Vu que quand je parle de plaisir partagé, il est aussi question de joie de sérénité etc.... il n'y a rien de délirant, mais que du consistant. D’ailleurs que dit on quand on croise un ami, un parent qu'on aime bien : "c'est un plaisir de te revoir".
Nombre d'événements sociaux reposent sur le partage du plaisir et de la joie. Car cela fait partie de la psyché humaine justement.
D'ailleurs le partage du plaisir est à l’origine de la société humaine, cela s’appelle le sexe. Mais d’après toi ce serait étranger à la psyché humaine.
Bref tu n'as rien de solide pour t'appuyer.
Ce fut un plaisir de pouvoir t'élargir la perspective sur certains aspects de l'être humain qui sorte des entiers tracés par les religieux