Ce serait bien que les policiers de Paris en fassent autant.

Plusieurs centaines de fonctionnaires de police ont protesté sous les fenêtres du préfet contre le retrait de certaines techniques d’interpellation

Lille : Les policiers manifestent contre l’interdiction de la « clé d’étranglement »

Publié le 15/06/20 à 16h01 — Mis à jour le 15/06/20 à 16h50

Le président de la République, Emmanuel Macron, a affirmé, dimanche soir, son soutien aux forces de l'ordre. Un discours qui n’a pas totalement convaincu : « C’est pesant de voir que nous ne sommes pas soutenus », déplore Jean-Philippe Ringot du syndicat Unité SGP Police. Sous les fenêtres du représentant de l’Etat dans le Nord, avec environ 250 de ses collègues, il dénonçait des annonces gouvernementales « faites dans l’urgence » en raison de « la médiatisation. »

« Les interpellations vont se terminer en combat de rue »
Le point de blocage, c’est l’interdiction désormais faite aux policiers d’utiliser la technique de la « clé d’étranglement » lors d’une interpellation. Une technique dont le nom ne fait pas rêver : « Cela fait 30 ans qu’elle est utilisée dans la police sans qu’il y ait de problème particulier. Là, on nous la retire sans rien nous donner à la place », regrette le policier. Pour lui, c’est pourtant le seul moyen d’interpeller une personne récalcitrante : « Le geste ne doit durer que quelques secondes, le temps d’amener l’individu au sol et de le menotter. Rien à voir avec ce qui s’est passé pour George Floyd qui a subi cela pendant plusieurs minutes », affirme Jean-Philippe Ringot.

J'avais eu le temps de lire.

Bon à Paris aussi.

Ils se disent « pas du tout rassurés par le discours » du président de la République, qui a déclaré dimanche soir que les policiers et gendarmes « méritent le soutien de la puissance publique et la reconnaissance de la Nation »

Paris : Nouvelle manifestation nocturne de policiers après l'allocution de Macron

Publié le 15/06/20 à 04h40 — Mis à jour le 15/06/20 à 09h30

Gyrophares bleus allumés, sirènes hurlantes : quelques centaines de policiers se sont rassemblés dimanche soir à Paris sur l’esplanade du Trocadéro pour protester contre les dernières annonces gouvernementales quelques heures après l’allocution d’Emmanuel Macron.

« Nous ne sommes pas du tout rassurés par le discours de ce soir, au contraire. Nous, ce que l’on veut, c’est du concret et surtout on veut que le ministre de l’Intérieur fasse machine arrière » sur les annonces de lundi, a expliqué à l’AFP un policier venu avec deux coéquipiers mais qui tient à rester anonyme.

« Se faire lâcher par son patron, c’est quand même terrible ! On a l’impression que c’est la rue qui commande et nous on se sent complètement abandonnés », a renchéri une autre policière en uniforme qui a souhaité, elle aussi, garder l’anonymat. Elle se dit prête à revenir tous les soirs « s’il le faut ».

A Saint Appolinaire et aux Grésilles ils sont en train de se faire canarder en ce moment, ça ne devrait pas rester calme longtemps à Chenôve

"raids vengeurs de membres de la communauté tchétchène"

Ce qui est étonnant c'est que les forces de l'ordre n'ont utilisé ni LBD ni grenades pour disperser ces personnes.

Les forces de l'ordre obéissent toujours aux ordres

Ordres ont été donnés de dégommer du contestataire social en particulier s 'il est gilet jaune ; pas les manifs anti-

racistes ni les manifs de clandestins, ni les affrontements tchétchéno-maghrébins.

Les cités s'enflammeraient illico, si l'on apprenait qu'un noir ou un arabe (pardon : un "jeune") a été abattu par un flic blanc.

Mais tôt ou tard, cela arrivera.

Pas de crainte à avoir, macaroni (le petit creux) a fait causette à ces habitants qui ont bien voulu entendre la "douce" voix du sachant décideur. Il a demandé à Caztamère d'expulser les fauteurs de troubles ! Voilà, ses groupies sont rassurées, seulement voilà, juridiquement, la France ne peut expulser un demandeur d'asile ou réfugié. Donc, pipeau comme toujours.

Je ne suis pas sûr que l'accumulation de nouveaux migrants qui eux aussi vont vouloir se faire une place dans "les affaires" soit toujours du goût de ceux qui contrôlent déjà la place.
Alors expulser quelques migrants de trop n'est-il pas la solution négociée, en tout cas décodée, par nos strictes autorités...
Le ministère annoncera des expulsions mais il ne dira jamais vraiment pourquoi !

saint-louis Le ministère annoncera des expulsions mais il ne dira jamais vraiment pourquoi !

Il ne pourra expulser éventuellement que des délinquants et criminels condamnés à une interdiction du territoire. Mais en aucun cas des tchétchène, albanais, syriens, libyens etc qui sont réfugiés ou demandeurs d'asile. La loi actuelle ne le permet pas et le pouvoir n'est du tout disposer à changer les choses !

La police française n'est efficace que pour attraper les infirmières par les cheveux, mais couarde et inopérante devant la racaille, surtout si elle est islamiste.

danielle49 mais couarde et inopérante devant la racaille, surtout si elle est islamiste.

Couarde !? Non .... Inopérante !? Assurément

Ejainiste Il serait temps que les FDO se mettent en retrait

On ne pourra pas leur donner tort, ils ne sont pas préparés à affronter quotidiennement des hordes armées.
Mais ce jour-là, il faudra serrer les fesses.

La police encore insultée par une fresque à Stains. La police doit quand même être capable de faire disparaitre ces insultes. Quelques bombes de peinture suffiront à vandaliser ce dégueulis de haine anti flics.

Averell On ne pourra pas leur donner tort, ils ne sont pas préparés à affronter quotidiennement des hordes armées.
Mais ce jour-là, il faudra serrer les fesses.

C'est surtout vrai pour les personnes vivant en ville ... En campagne, le fusil de chasse est l'ami du français blanc

gth Quelques bombes de peinture suffiront à vandaliser ce dégueulis de haine anti flics.

En l'occurrence et pour marquer le coup, un Leclerc devrait être utilisé pour l'occasion; et peu importe ce qu'il y a derrière le mur. Cette fresque est non seulement une honte mais surtout une provocation pour tester jusqu'où peuvent aller les nuisibles de notre société.
A la limite on peut épargner la partie droite de la fresque, même si cela est une incitation à la haine...