france2100 Dans les années cinquante ma grand-mère laissait la porte ouverte en partant de chez elle. Elle habitait à Paris, dans un quartier populaire.
Dans les années 2010, je laissais la porte ouverte en partant de chez moi, alors que j'habitais dans une cité. De même qu'actuellement j'ai une voiture qui n'est pas fermée depuis 8 ans que j'habite dans la résidence où je suis.
Bien des témoins expliquent, au contraire, que la violence était bien présente dans les années d'après-guerre mais sous une forme différente. Il ne s'agissait pas de bastons suite à un regard, de car-jacking, mais de braquages, de guerres de gangs, de bagarres entre bandes à coups de chaines de tronçonneuses, d'attentats d'anarchistes ou autres etc....
Tout était moins médiatisé (pas de réseaux sociaux, de téléphones portables, de médias d'extrême-droite et suffisamment d'immigration pour que les politiciens puissent lui imputer la responsabilité de ces méfaits dans un soucis de maitrise de l'agenda politique.
D'ailleurs, vous choisissez sciemment une époque (les années 50), mais si l'on se reporte à des périodes + anciennes et + longues, l'on se rend compte que notre époque est bien + apaisée que durant les siècles antérieurs (je vous propose un lien qui évoque les homicides en fonction de la population pour vous en rendre compte) :
https://books.openedition.org/pupvd/3389?lang=fr#:~:text=Notre%20civilisation%2C%20dit%2Dil%2C,peut%2D%C3%AAtre%20le%20taux%20m%C3%A9di%C3%A9val.