C'est curieux ce besoin, chez les allogènes, de se prendre pour des indigènes; c'est curieux et gênant!

    un mois plus tard
    2 mois plus tard
    19 jours plus tard

    Ce témoignage montre combien notre société change et que le vivre ensemble devient un problème que les politiques préfèrent ne pas voir.

    sangtriste Pour les enfants, pardi... C'est la seule raison du mariage.

    Chez l'avocat, les deux petits vieux.

    • Mais enfin voyons, 95 et 94 ans, pourquoi vouloir divorcer après 75 ans passés ensemble ?
    • (ensemble en chevrotant) On attendait que les enfants soient morts !

    chevalier-du-temple

    Mon cher, si tu ne veux pas vivre avec certaines personnes comme voisins, tu es libre de le faire.

    Mais tu ne peux pas invoquer tous les motifs.

    Seuls certains sont recevables.

    La police de la pensée veille.

    [supprimé] Franchement qui a envie de vivre avec des gens qui brûlent votre voiture et saccagent la moitié de la ville quand une équipe du Maghreb participe à un match de foot ?

    Il est à remarquer que ce type de comportement est une des causes du racisme anti-arabe. Les Français d' origine arabe voudraient bien un peu plus de répression pour calmer la racaille ( quelle que soit son origine par ailleurs ).

    certains wokistes ont même pensé à séparer les racisés

    Il y a moult exemples dans l'histoire où des cultures fort différentes ont coexisté mais cela n'a pu se faire qu'au prix d'une adaptation de la minorité à la majorité. Mais je ne connais pas de civilisation dominante qui se soit soucié de vivre à égalité avec une forte minorité par trop différente d'elle. Il existe des cultures incompatibles.

    Quelle honte, notre société est d’une laideur absolue avec l'immigration extra-européenne.

    2 mois plus tard

    Du jour au lendemain, au XXIe siècle, on n’entend plus parler que de gens qui veulent changer de sexe ou qui l’ont déjà fait, se préparent à le faire, regrettent de ne l’avoir pas fait plus tôt. Cela semble soudain pour l' Occident, être devenu un problème majeur de l’humanité.
    C’est peut-être une sorte de " remplacisme global " qui, structurellement, et peut-être de façon inconsciente, promeut le transsexualisme et, plus généralement, la “théorie du genre”.
    Le remplacisme exige qu’il n’y ait pas de sexes. L 'homme et la femme ne sont pas complémentaire mais identique; l' un peut donc remplacer l' autre. Il exige qu’il n’y ait pas de races, pas de niveaux culturels, pas de cultures indépendantes les unes des autres. Pour Macron par exemple la culture française n' existe pas. Le remplacisme exige qu'il n' ait pas de nations et donc pas de citoyenneté et donc pas d' étrangers. N' importe qui peut donc sans autorisation s' installer en France transformée de pays en une simple zone géographique.
    Tout ce qui distingue, tout ce qui résiste à la standardisation générale doit être émoussé voire disparaître.
    Ce désordre est propre à l' Occident. Des forces ambigus le travaillent.

    Si le niveau de vie baisse, peut-il exister un phénomène de prédation ? L'Espagne conquise a fait une reconquète. Rappelons que Rome faisait dans l'esclavage, c'était un mélange de nationalités. Mais cela a conduit à l'effondrement du système.
    Vous êtes dans la dictature de l'idiot.

    un mois plus tard

    C'est impossible ce 'vivre ensemble' car les 'bienvenus' sont trop 'différents' et ne veulent pas apprendre à cohabiter avec les Européens, qui leurs ont donné l'asile. Et donc, en plus, les réfugiés se sentent en Europe trop à l'aise et ne font que la violence, l'agression etc. Les citoyens ne sont plus en sécurité dans leurs villes, et même dans leurs maisons
    https://www.cnews.fr/videos/france/2023-09-18/il-ma-dit-je-sais-ou-tu-habites-je-vais-venir-tegorger-les-riverains-dun

      un mois plus tard

      Le vivre ensemble, peut-être mais ce n'est pas facile. Il faudrait d'abord que ces nouveaux venus connaissent notre langue, notre histoire, et surtout acceptent nos règles de droit. N'accorder la nationalité française qu'à des gens assimilés.