C'est une vision (étriquée) de la politique, à mes yeux vous parlez plutôt du politicard que de l'homme politique. Ceci dit c'est effectivement ce qu'on désigne aujourd'hui sous ce mot donc ça se défend. Par contre, j'ai du mal à être d'accord avec les principes énoncés. Comme Rousseau le montre...
Apparemment tu ignores que Rousseau a été l'un des plus gros paresseux masochistes de tous les temps..
D'ailleurs il n'avait même pas eu le courage d'assumer ses enfants, qu'il avait abandonnés à l'Assistance Publique...
Je le sais. Ca ne me concerne pas. Rousseau était un homme plein de contradictions comme beaucoup de philosophes, mais je ne vois pas l'intérêt d'associer la théorie au théoricien.
Quant à ton appréciation : " étriquée", lorsque tu t'exprimes au sujet de ce que j'ai essayé de t'expliquer, elle montre la faiblesse de ta capacité à argumenter.. :
pas du tout, c'est simplement l'affirmation que la différence de points de vue que nous rencontrons dans le domaine des idéaux politiques peut en partie s'expliquer par le fait que notre définition linguistique de la politique diffère.
Il y a des millénaires que la "politique" n'est pas autre chose ( malgré les fausses définitions qu'on en donne..) que : " s'efforcer de tromper les gens et leur mentir, pour s'emparer du pouvoir"..
Déjà, les religions étaient utilisées dans ce dessein..
Les utopies contenues dans les idéologies, ont, elles-aussi, toujours été utilisées pour servir les egos maladifs de certains névrosés orgueilleux et vaniteux, qui ont besoin de dominer les autres, pour se sentir bien..
C'est pas parce que la politique est mal appliquée qu'il faut la réduire à ce qu'elle n'est que partiellement