“L’avortement post-natal” un nouveau-né ne serait pas (encore) une personne On pourrait penser que la dernière idée du Journal anglais d’éthique médicale soit une parodie pour prouver l’absurdité logique de ceux qui justifient l’avortement. Mais le raisonnement est aussi sérieux que mortel. Deux professionnels de l’éthique expliquent dans un article (“Avortement post-natal : pourquoi le bébé devrait-il vivre ?”) qu’il n’y a pas de différence logique entre l’avortement d’un bébé avant la naissance et le meurtre d’un nouveau-né. Sauf qu’ils n’appellent pas cela un meurtre parce qu’ils ne croient pas que des nouveau-nés soient vraiment des personnes. Tandis que nous disons que des fœtus (et des embryons aussi, mais c’est là une autre discussion) et des nouveau-nés devraient recevoir la même protection, Alberto Giubilini (Milan) et Francesca Minerva (Melbourne, Oxford) raisonnent que des fœtus et des nouveau-nés devraient bénéficier de la même absence de protection. Les auteurs admettent qu’un fœtus est aussi humain qu’un nouveau-né, mais ils redéfinissent la personne comme quelqu’un qui est conscient de sa propre existence. Ainsi, ils comptent “beaucoup d’animaux non-humains et des individus humains retardés mentalement” comme des personnes, mais ils excluent les nouveau-nés parce qu’ils n’ont pas atteint un “niveau de développement mental” apte à apprécier leur propre existence. Selon eux, “être seulement humain n’est pas en soi une raison pour attribuer à quelqu’un un droit de vivre”. Seule “une vraie personne” possède un “droit de vivre”. Ensuite, ils définissent le fait de faire du mal. C’est priver une personne de quelque chose que celle-ci valorise. Puisque ni un fœtus, ni un nouveau-né ne peuvent valoriser la vie, il n’y a pas de raison morale pour interdire l’avortement ou l’infanticide. Ils écrivent : “Puisque des non-personnes n’ont pas un droit moral à la vie, il n’y a pas de raison de bannir des avortements post-naissance.” Que pourraient être les raisons valables pour tuer un bébé ? Selon les auteurs, même un enfant en bonne santé peut constituer un fardeau. Ainsi, “si des circonstances économiques, sociales ou psychologiques changent de telle façon que prendre soin d’une progéniture devient un fardeau insupportable pour quelqu’un, alors les gens devraient avoir la possibilité de ne pas être forcés à faire quelque chose en dehors de leurs moyens.” Et l’adoption ? Selon les auteurs, cela n’est pas une bonne options pour beaucoup, parce que “la mère … pourrait souffrir une détresse psychologique si elle abandonne son enfant en vue d’être adopté.” En résumé, disent-ils, “Peu importe la faiblesse des intérêts de gens réels, ils pèsent toujours plus lourds que les intérêts suggérés de gens potentiels.” Selon les auteurs, tuer un nouveau-né n’est pas de l’euthanasie. Après tout, “tuer par compassion” est une chose pleine de compassion pour l’individu qu’on tue, tandis que “l’avortement post-natal” ne peut être compatissant que pour les parents ou la société. Que l’infanticide soit compatissant ou non pour le bébé n’est pas pertinent. Ils soulignent la différence en notant qu’un enfant trisomique peut avoir une vie heureuse et acceptable, tout en étant “un fardeau insupportable pour la famille et pour la société.” Giublini n’ignore pas le sujet de l’euthanasie; seulement cela n’entre pas en ligne de compte ici. Récemment, lorsqu’il parlait au Collège St John, il raisonnait qu’il n’y a “pas de raison morale juste contre l’euthanasie.” La vie humaine est un continuum qui commence avec la formation d’une zygote lors de la fertilisation et qui continue sans interruption jusqu’à la mort. Nous attribuons des noms aux stades différents de ce continuum —œuf, embryon, fœtus, nouveau-né, enfant, adolescent, vous, votre grand-mère, etc.— mais il n’y a pas de différence logique entre la destruction volontaire d’une personne humaine à un stade plutôt qu’un autre. Ce que disent ces soi-disant experts en éthique n’a rien de nouveau. Francis Crick, qui a découvert la double hélice de l’ADN avec Watson, avait dit en son temps qu’un enfant ne devrait pas être considéré “humain” jusqu’à trois jours après la naissance. Un raisonnement similaire —“nous devrions avoir de la sympathie pour les demandes lourdes de la grossesse et de la naissance” et, comme l’exprime l’éthicien Peter Singer de Princeton, “il n’y a pas de distinction exacte entre le fœtus et le nouveau-né”— fut avancé récemment par un juge canadien afin de justifier l’acquittement d’une femme accusée d’avoir étranglé son bébé nouveau-né et de l’avoir jeté par-dessus une clôture. Le monde a-t-il besoin de plus de professionnels pour développer des arguments qui justifient un tel comportement barbare ? En distinguant entre une personne et un être humain, ces auteurs, comme des magiciens habiles, nous distraient de la vraie question. Le National Catholic Register résume ainsi leur tactique : Le moment où nous nous permettons de devenir les arbitres de la question qui est humain et qui ne l’est pas, nous arrivons à la fin calamiteuse et inévitable. Une fois qu’on dit que la vie humaine n’est pas sacrée, le reste n’a plus d’importance. Le travail d’un éthicien ressemble à celui d’un magicien. Dans les deux cas, on détourne votre attention d’une évidence. Le magicien se sert pour cela de sa dextérité pour faire croire que des gens disparaissent. Mais lors qu’un éthicien entre en action, les gens disparaissent pour du vrai. La vraie question ici n’est pas : “Quand un être humain devient-il une personne avec des droits ?”, mais plutôt : “Qui établit les règles ?” Qui décide ce qui est “éthique” ou ce qui constitue un “droit” ? Ces éthiciens raisonnent que ce qui est “éthique” c’est ce qui avantage même les “besoins” les plus insignifiants de la société ou de “vraies personnes” par rapport à ceux qui ne peuvent comprendre qu’on est en train de leur ôter la vie. Cependant, ce qu’ils appellent un critère n’est autre qu’une simple opinion. A moins de dériver d’une source de vérité qui dépasse les hommes, les jugements moraux d’une personne n’ont pas plus de valeur que ceux d’un autre. Dieu seul, lui qui a créé les hommes, détient une autorité morale sur l’ensemble de l’humanité. Ce qu’il en dit dans le rapport de la Création tel qu’il nous est conservé dans la Bible correspond à ce que nous voyons dans le monde physique et cela valide son autorité sur l’humanité et son droit d’établir nos valeurs. Dieu a fait l’homme à son image. Tous les êtres humains ont donc une valeur égale à ses yeux, peu importe s’ils comprennent ou non la valeur de leurs vies. Les vies des nouveau-nés comme de ceux qui ne sont pas encore nés, les vies des embryons humains aux laboratoires, les vies des faibles et des sans secours, toutes ont une valeur parce que Dieu a créé les humains à son image. En Gen 9.6, Dieu explique pourquoi il proscrit le meurtre : c’est parce que l’homme a été fait à son image : Celui qui verse le sang de l’homme Par l’homme son sang sera versé. Car Dieu a fait l’homme à son image. Dieu nous ordonne de ne pas commettre de meurtre (Ex 20.13) et de défendre “ceux qui ne peuvent parler” et qui sont sur le point d’être délaissés, les “vaincus du sort” (Pr 31.8,9). Comme beaucoup d’autres, nous sommes horrifiés devant cette justification logique de l’infanticide. Mais la plupart de ceux qui sont en faveur de l’avortement ne penseraient pas à tuer un nouveau-né. Ils devront cependant considérer avec soin les arguments de ces auteurs. Nous espérons que parmi eux beaucoup se laisseront réveiller par leur répulsion de l’infanticide à la réalité logique de ce qu’ils soutiennent et se mettront à regarder l’enfant non encore né comme une personne sans défense, créée à l’image de Dieu, et non comme une chose biologique à être éliminée. Suite aux réactions violentes, Minerva a exprimé sa surprise devant les réactions négatives et maintient que l’article a été cité hors de son contexte académique et théorique. Elle a dit : “J’aimerais pouvoir expliquer aux gens que ceci ne reflète pas une politique, et que je ne suggère ni n’encourage ceci.” Bien que nous sommes d’accord que la seule différence entre un bébé avant et après la naissance est “une différence de géographie”, le raisonnement détaillé avancé par Minerva et Giubilini pour redéfinir un bébé humain comme une non-personne et le priver ainsi de tout droit à la vie constitue une affirmation éthique dangereuse. Les mots ont des conséquences. Ces mots-ci ont été publiés dans un journal d’éthique réputé. Il n’y avait aucun avertissement de l’ordre de : “Ceci n’est qu’une théorie qui a pour but de rappeler l’absurdité des avortements tardifs” ou : “Ceci n’est qu’une discussion académique qui a pour but de provoquer la réflexion en vue de changer notre approche”. Bien au contraire. La seule limite que les auteurs s’étaient imposés dans leur article était d’offrir un jugement concernant l’âge auquel un bébé devient une personne. Et ces mots peuvent être utilisés par des gens peu scrupuleux, ou par ceux qu’une majorité parmi nous regarderaient comme non civilisés, peu importe nos convictions religieuses, afin de rendre plus glissante encore la pente qui mène à une fin aussi affreuse. http://www.aepeb.be/liege/Croire/repond ... ssance.htm Manifestement, les serviteurs de la Mort ne se contenteront pas de la banalisation de l'avortement : ils leur faut aussi la banalisation du meurtre des enfants même nés.

Raisonnement logique pour les personnes favorables à l'avortement. Il n'y a, en effet, rien qui distingue la nature d'un fœtus de celle d'un nouveau né. De la même manière qu'on pourra dire qu'une personne dans le coma peut être euthanasiée, vu que dans cet état, elle n'a pas conscience d'elle même. Voilà où finissent les droits de l'homme. Suffit juste de définir ce qu'est l'homme. Or si la définition de l'homme dépend de l'opinion humaine, il n'y a en définitive plus de nature humaine intrinsèque. Cette nature n'étant finalement qu'une convention dépendante des époques et des mœurs.

On se rapproche du code Aktion T-4.

Raisonnement logique pour les personnes favorables à l'avortement. Il n'y a, en effet, rien qui distingue la nature d'un fœtus de celle d'un nouveau né. De la même manière qu'on pourra dire qu'une personne dans le coma peut être euthanasiée, vu que dans cet état, elle n'a pas conscience d'elle même. Voilà où finissent les droits de l'homme. Suffit juste de définir ce qu'est l'homme. Or si la définition de l'homme dépend de l'opinion humaine, il n'y a en définitive plus de nature humaine intrinsèque. Cette nature n'étant finalement qu'une convention dépendante des époques et des mœurs. Je n'ai aucun doute que ce genre de monstruosité va faire surface tôt ou tard. Il suffit d'attendre quelques mois, quelques années.... Ils savent que les gens ne sont encore prêts. Pas encore, il faut d'abord préparer les esprits. Se souvenir de la promotion de la pédophilie dans le sillage de Mai 68.... Alors, ils oseront encore, et encore, et encore... On en revient finalement au droit de vie et de mort que le pater familias romain avait sur toute sa maisonnée, sauf que là, le père est remplacé par la mère. 2000 ans de lente libération de l'être humain effacés d'un coup. Et tout cela au nom de la ... liberté. Je ne dirais pas les Droits de l'Homme. Plutôt un individualisme, un hédonisme poussé à l'extrème, poussé jusqu'au meurtre de celui qui gène par sa seule présence. On est soi et rien d'autre. Et surtout pas un partie d'un groupe, d'un ensemble plus vaste parce que ce serait trop de contraintes, trop de limites. Jouir sans limites était bien leur credo, n'est-ce-pas? Oui, on vit une sacrée régression morale ces dernières décennies.

“L’avortement post-natal” un nouveau-né ne serait pas (encore) une personne On se demande pourquoi c'est pas dans le bêtisier ce genre de fils ... Raisonnement logique pour les personnes favorables à l'avortement. Il n'y a, en effet, rien qui distingue la nature d'un fœtus de celle d'un nouveau né. j'ai jamais entendu un seul "pro avortement" dire que tuer un bébé c'est pas grave ... par contre j'ai entendu des vu des intégristes tuer des médecins qui pratiquaient l'IVG aux US tout en disant que la peine de mort c'est pas bien ... :

chouette on pourra se débarrasser des marmots chiards. "Docteur je n'ai plus d'argent, je vous ramène mon enfant pour le piquer." Quelle formidable époque !

Raisonnement logique pour les personnes favorables à l'avortement. Il n'y a, en effet, rien qui distingue la nature d'un fœtus de celle d'un nouveau né. j'ai jamais entendu un seul "pro avortement" dire que tuer un bébé c'est pas grave ... par contre j'ai entendu des vu des intégristes tuer des médecins qui pratiquaient l'IVG aux US tout en disant que la peine de mort c'est pas bien ... : Visiblement, si on compare le nombre d'enfants à naitre tués par les pro-avortement et celui du nombre de médecins tués par des anti-avortements, il n'y a pas photo. Entre des morts dus à quelques déséquilibrés et le meurtre d'état généralisé, il y a quand même une légère différence de nature. Après que vous considériez qu'un foetus n'est pas un être humain, c'est votre point de vue subjectif. D'autres visiblement considèrent que même après la naissance on est pas encore un être humain. Point du vue également subjectif. Moi je considère que l'être est humain dès sa conception, point de vue objectif. Car à vrai dire, je ne vois pas d'autre discontinuité dans le phénomène du vivant. Il n'y en a que deux. La conception et la mort.

Je n'ai aucun doute que ce genre de monstruosité va faire surface tôt ou tard. Il suffit d'attendre quelques mois, quelques années.... Ils savent que les gens ne sont encore prêts. Pas encore, il faut d'abord préparer les esprits. Se souvenir de la promotion de la pédophilie dans le sillage de Mai 68.... Alors, ils oseront encore, et encore, et encore... Clair ! Dans l'ordre, l'euthanasie, la polygamie, la pédophilie, et l'euthanasie post-natale, au nom de l'évolution et du progrès social...

Moi je considère que l'être est humain dès sa conception, point de vue objectif. Car à vrai dire, je ne vois pas d'autre discontinuité dans le phénomène du vivant. Il n'y en a que deux. La conception et la mort. Je plussoie

Après recherche, cet article existe bel et bien: http://jme.bmj.com/content/39/5/261.ful ... fb276a3e68

Ce site est optimisé pour être consulté depuis un navigateur moderne dans lequel JavaScript est activé.

“L’avortement post-natal”

hans

Je n'ai jamais dit qu'on était propriétaire du foetus. On est propriété de son corps. Et c'est en vertu de ce principe qu'on a le droit d'expulser le foetus qui se trouve dans son corps.

Putain mets ton cerveau en marche avant de répondre, à partir du moment que le fœtus ne t'appartient pas mais est un individu protégé par la Loi et plus généralement par la société, tu ne peux l'expulser! De la même manière tu ne peux laisser crever ton bébé de faim car il ne t'appartient pas mais est une personne humaine, protégé par la société, donc la loi et il est de ta responsabilité soit d'en assurer le bien-être, soit de le confier à l'état pour qu'il lui trouve à terme des parents adoptifs s'engageant à lui assurer son bien-être! De fait il est considérer comme inacceptable et criminel pour l'écrasante majorité des gens que de laisser mourrir de faim son enfant, la société condamne donc de fait cette passivité considéré comme criminelle, l'état ne faisant ici qu'appliqué une norme sociale, et met en place une condamnation voulue par la société! De fait la protection et la sacralisation de la vie humaine dans nos société fait qu'il est également inacceptable de laisser mourir une personne en détresse que l'on aurait alors pu aider sans se mettre soit même en danger! C'est aussi cela une société, des valeurs et des principes que ton fanatisme libéral méprise mais qui de faits constitue un socle de valeur culturellement puissant par opposition à l'anomie libérale que tu proposes!

getalife

Pas du tout. D'un point de vue moral, je trouverais ça immoral. Voilà pourquoi personne ou presque ne laisse mourir son bébé. Et si quelqu'un voulait le faire, ce n'est pas la loi qui l'en empêcherait. La loi est inutile en la matière.

La loi en matière pénale est là pour sanctionner un crime, pas l'empêcher. Mais ce que vous nous dites c'est que l'infanticide via privation de nourriture n'est plus considéré comme un infanticide, et donc aucune sanction pénale n'est prévue pour les parents qui s'en rendraient coupable. Vous voyez c'est genre de choses qui pour moi est une saloperie, pour reprendre le terme que vous balancez un peu partout sur le forum depuis une heure pour désigner le "socialisme" et les services publics.

Désolé, je suis pas juriste, je ne connais pas les 400 000 règlements français donc je ne suis pas au courant de celui-ci. Vous êtes donc en train de me dire qu'un parent qui laisserait son enfant mourir de faim n'est pas pénalement répréhensible ? haha, Vous venez donc de démontrer qu'il n'y a aucune raison de créer une telle loi.

rand

Souhaiter la liberté et prôner la non-violence, c'est être fanatique ? C'est vous le fanatique. Vous parlez de "droit au logement". Vous êtes tellement endoctrinée par la propagande socialiste que vous ne voyez même pas qu'il s'agit d'un FAUX DROIT car pour que l'état puisse fournir un logement aux uns,

J'ai parlé de droit DU logement et non de droit AU logement. Le droit DU logement est l'ensemble des règles qui régissent ce domaine. Comme le droit du travail, du commerce, etc. Donc remballez votre marchandise sur l'endoctrinement socialiste, car c'est plutôt votre endoctrinement libéral qui vous a fait oublier qu'il existe un droit du logement pour nous protéger de fanatiques de votre genre.

hans

La Grande-Bretagne qui comme chacun le sait est un pays communiste et stalinien semble avoir une jurisprudence assez explicite concernant les parents qui délaissent leurs enfants!

Grande-Bretagne: 15 ans de prison pour une mère ayant laissé son fils mourir de faim

rand

Désolé, je suis pas juriste, je ne connais pas les 400 000 règlements français donc je ne suis pas au courant de celui-ci.

Vous n'êtes pas au courant que laisser son bébé mourir de faim est sanctionnée par la loi ? Bon ben c'est plus grave que ce que je ne pensais. Vous vous enfoncez.

Vous êtes donc en train de me dire qu'un parent qui laisserait son enfant mourir de faim n'est pas pénalement répréhensible ? haha, Vous venez donc de démontrer qu'il n'y a aucune raison de créer une telle loi.

Trollage. C'est exactement l'inverse que je vous dis, en vous démontrant que c'est vous, selon votre logique, qui voulez rendre cela non répréhensible.

C'est déjà sanctionné par la loi, mon gros. Si vous sortiez votre nez des séries américaines et de vos cours d'économie et management, vous apprendriez des choses nouvelles, et très utiles.

getalife

Je n'ai jamais dit qu'on était propriétaire du foetus. On est propriété de son corps. Et c'est en vertu de ce principe qu'on a le droit d'expulser le foetus qui se trouve dans son corps.

FAUX. La société libérale ne signifie pas que chacun doit être égoïste. Au contraire, les pays les plus libéraux sont aussi les plus généreux. Ce sont ceux qui donnent le plus à la charité. Je dis simplement qu'il n'y a pas besoin de loi pour que les gens se comportent moralement. Les lois concernant la non assistance à personne en danger ne servent à rien. Les gens se secourent les uns les autres par vertu morale et non par crainte de la loi.

getalife

Souhaiter la liberté et prôner la non-violence, c'est être fanatique ? C'est vous le fanatique. Vous parlez de "droit au logement". Vous êtes tellement endoctrinée par la propagande socialiste que vous ne voyez même pas qu'il s'agit d'un FAUX DROIT car pour que l'état puisse fournir un logement aux uns,

Donc vous parlez de la trêve hivernale. Idem. C'est un faux droit puisque ça consiste à spolier le propriétaire en l'empêchant d'expulser les mauvais payeurs. L'un des effets, c'est que ça désincite la location, ça fait augmenter le prix des loyers et ça oblige les locataires à fournir de multiples garanties pour pouvoir se loger.

getalife

Désolé, je suis pas juriste, je ne connais pas les 400 000 règlements français donc je ne suis pas au courant de celui-ci.

Vous n'êtes pas au courant que laisser son bébé mourir de faim est sanctionnée par la loi ? Bon ben c'est plus grave que ce que je ne pensais. Vous vous enfoncez.

Trollage. C'est exactement l'inverse que je vous dit, en vous démontrant que c'est vous, selon votre logique, qui voulez rendre cela non répréhensible.

C'est déjà sanctionné par la loi, mon gros. Si vous sortiez votre nez des séries américaines et de vos cours d'économie et management, vous apprendriez des choses nouvelles, et très utiles.

Pourquoi vous me répétez ce que j'ai déjà dit ? Ca n'a aucun intérêt et vous m'induisez en erreur.

[supprimé]

Exactement. C'est aussi valable pour les bébés qui sont dépendant de la bonne volonté des adultes vu qu'ils ne peuvent pas se nourrir tous seuls . Si personne ne veut les nourrir et qu'ils meurent, ça n'est pas un meurtre dans le droit libéral puisqu'il n'y a pas agression. Seules l'agression physique ou la tromperie, sont considérées comme criminelles.

Même si ça semble horrible, en réalité, c'est pas du tout un problème. 99,9999% des parents s'occupent très bien de leurs enfants. Ils n'ont pas besoin de loi pour ça. Ils le font par amour pour leur progéniture et par obligation morale ou sociale. Mais si par malheur, les parents infligent de mauvais traitements à un enfant en âge d'exprimer une opinion, c'est à la famille, aux voisins ou à la charité d'intervenir pour réprimander les parents et/ou proposer à l'enfant de venir chez eux. Les libéraux considèrent que les enfants sont libres et qu'ils ont le droit de quitter le foyer familial s'ils le souhaitent.

Je ne vois que deux possibilités: la drogue ou la bêtise. Encore que la folie...

Ou plus simplement "Comment mon adhésion à une idéologie me fait ignorer toutes les réalités".

hans

FAUX. La société libérale ne signifie pas chacun doit être égoïste. Au contraire, les pays les plus libéraux sont aussi les plus généreux.

Les immondices que tu as déblatéré avant prouvent le contraire, imaginer une sociét qui autorise de laisser crever les gamins de faims sans punir les parents coupables d'une pareille négligence c'est tout simplement abject!

Je dis simplement qu'il n'y a pas besoin de loi pour que les gens se comportent moralement. Les lois concernant la non assistance à personne en danger ne servent à rien. Les gens se secourent les uns les autres par vertu morale et non par crainte de la loi.

Bordel va suivre une court d'anthropologie la morale et la loi ne sont pas deux choses séparées mais sont intrinsèquement liés, la loi est là entre autre pour appliqué les normes socialement admises, les lois définissent ou mieux dit mettent des bornes à des normes et des contrats sociaux eux-mêmes définis au court de l'histoire et culturellement ancrés! Ne pas porter secours à une personne en danger alors qu'on aurait pu le faire sans se mettre soi-même en danger, le fait de laisser crever son enfant de faim sont considéré à juste titre comme des actes criminels! Si l'état supprimait les lois condamnant ces crimes, il y aurait immédiatement des manifestations réclamant le rétablissement de celles-ci car la société ne tolérerait pas que des criminels aussi abjects ne soient pas condamnés! La loi découle également de la volonté de la population donc de normes culturelles et sociales! L'État est une facette de la société, elle peut-être dans un certaine mesure en décalage avec la société mais pas trop car sinon justement cela génère des manifestations et contestations! L'État est sommé de ne pas se mêler de tout mais aussi à l'inverse de pas tout ignorer! Toute société a besoin que de bornes de sécurité assurant la maintien de normes fondamentales et donc de la paix sociale, c'est le rôle de lois, aucune société même primitive n'a pas de lois!

rand

Bordel va suivre une court d'anthropologie la morale et la loi ne sont pas deux choses séparées mais sont intrinsèquement liés, la loi est là entre autre pour appliqué les normes socialement admises, les lois définissent ou mieux dit mettent des bornes à des normes et des contrats sociaux eux-mêmes définis au court de l'histoire et culturellement ancrés! Ne pas porter secours à une personne en danger alors qu'on aurait pu le faire sans se mettre soi-même en danger, le fait de laisser crever son enfant de faim sont considéré à juste titre comme des actes criminels! Si l'état supprimait les lois condamnant ces crimes, il y aurait immédiatement des manifestations réclamant le rétablissement de celles-ci car la société ne tolérerait pas que des criminels aussi abjects ne soient pas condamnés! La loi découle également de la volonté de la population donc de normes culturelles et sociales! L'État est une facette de la société, elle peut-être dans un certaine mesure en décalage avec la société mais pas trop car sinon justement cela génère des manifestations et contestations! L'État est sommé de ne pas se mêler de tout mais aussi à l'inverse de pas tout ignorer! Toute société a besoin que de bornes de sécurité assurant la maintien de normes fondamentales et donc de la paix sociale, c'est le rôle de lois, aucune société même primitive n'a pas de lois!

getalife

Je dis simplement qu'il n'y a pas besoin de loi pour que les gens se comportent moralement. Les lois concernant la non assistance à personne en danger ne servent à rien. Les gens se secourent les uns les autres par vertu morale et non par crainte de la loi.

J'aimerais bien que la morale et la loi soient liés mais malheureusement ça n'est pas le cas. La loi française est absolument immorale puisqu'elle légitime le vol (le racket fiscal) et l'agression (les réglementations liberticides). Par conséquent, les deux n'ont dans les faits rien à voir.

Ensuite concernant la morale, il faut distinguer la morale qui concerne les rapports entre les individus (le principe de non-agression) qui doit être obligatoire et la morale personnelle (par exemple la désapprobation de l'adultère). Je suis désolé mais si on est logique, laisser quelqu'un mourir de faim n'est pas une agression. Sinon vous êtes coupables d'agression envers les milliers de gens qui sont morts de famine ces dernières années ? Alors, vous allez me dire, c'est différent s'il s'agit de SON enfant. Moi je pense que ça ne tient pas sur le plan logique. On ne peut pas sanctionner l'inaction. Mais je pense que pour résoudre ce problème et mettre tout le monde d'accord, il existe une solution juridique qui consiste à proposer aux parents de signer un contrat dans lequel ils stipulent qu'ils s'engagent à nourrir leur enfant jusqu'à tel âge et dans ce cas, s'ils ne le faisaient pas ils seraient condamnables pour rupture de contrat.

rand

Je suis désolé mais si on est logique, laisser quelqu'un mourir de faim n'est pas une agression. Sinon vous êtes coupables d'agression envers les milliers de gens qui sont morts de famine ces dernières années ? Alors, vous allez me dire, c'est différent s'il s'agit de SON enfant.

Comparaison complètement absurde. Non la différence n'est pas que l'enfant est le notre, mais c'est surtout une différence de responsabilité vis à vis de celui qui meurt de faim, dans l'histoire. Un parent n'a aucun pouvoir de changer la situation d'un Africain qui meurt de faim en Afrique, par contre il a le pouvoir (et donc la responsabilité) de cela sur son enfant. La sanction de la loi est basé sur la responsabilité, et le degré de responsabilité. Et il n'est pas nécessaire que ce soit NOTRE enfant pour faire la différence. Si une mère part un mois en voyage, et confie l'enfant à une nounou ou une cousine, ces deux dernières seraient responsables devant la loi car elles ont un pouvoir direct sur l'enfant, et ce qui lui arriverait. Si vous laissez votre enfant se noyer, vous êtes responsable de sa mort, par contre vous n'êtes pas responsable des morts d'un tsunami en Asie. Drôle de devoir rappeler des évidences pareilles, face à un tel trollage.

Mais je pense que pour résoudre ce problème et mettre tout le monde d'accord, il existe une solution juridique qui consiste à proposer aux parents de signer un contrat dans lequel ils stipulent qu'ils s'engagent à nourrir leur enfant jusqu'à tel âge et dans ce cas, s'ils ne le faisaient pas ils seraient condamnables pour rupture de contrat.

Mais n'importe quoi. Même ça il faut que vous le voyiez comme une transaction ! Et le pire c'est que vous vous plaignez en même temps d'un trop plein de bureaucratie, et d'intrusion administrative.

hans

J'aimerais bien que la morale et la loi soient liés mais malheureusement ça n'est pas le cas.

BNsrK6P9QvI

Lien Direct Vers La Vidéo

La loi française est absolument immorale puisqu'elle légitime le vol (le racket fiscal) et l'agression (les réglementations liberticides). Par conséquent, les deux n'ont dans les faits rien à voir.

Putain tu devrais te reconvertir dans le cirque ou alors dans la chanson franchouillarde je vois bien un résumé de ta présente prose avec la mélodie suivante!

1h5jb3mBKv8

Lien Direct Vers La Vidéo

Premièrement le consentement à l'impôt tu connais, deuxièmement je t'ai pas déjà dit que l'État pouvait dans une certaine mesure être en décalage aux attentes sociales et que cela peut-être source de tensions, allô oui? Bon maintenant prend note quand l'État taxe trop c'est-à-dire plus que ce que la plupart des gens sont prêt à consentir, eh bien il y a décalage, ce qui ne veut pas dire qu'il n'y a pas à la base un consentement à l'impôt! Idem pour les lois liberticides, la populations veut qu'il y ait des limites à certaines chose mais pas toutes, l'État peut aussi bien se trouver dans un certain décalage avec un frange importante de la population car imposant des limites que cette frange ne veut pas ou à l'inverse n'imposant pas de limites là où cette frange de la population en réclame! Toi comprendre? Bien à présent tu parie combien que le fait de condamner des parents qui laissent crever de faim leur enfants est considérer comme moralement juste et qu'à l'inverse ne pas condamner est considérer comme dégueulasse et profondément immorale? Et pas la peine de revenir avec tes tics hors-sujets sur la fiscualité ou le socialisme!

Ensuite concernant la morale, il faut distinguer la morale qui concerne les rapports entre les individus (le principe de non-agression) qui doit être obligatoire et la morale personnelle (par exemple la désapprobation de l'adultère). Je suis désolé mais si on est logique, laisser quelqu'un mourir de faim n'est pas une agression.

C'est de la maltraitance, de la négligeance grave est c'est de fait condamné moralement comme étant dégueulasse et également condamné par la loi! Cette réalité t'emmerde? Eh bien désolé mais les gens considèrent à juste titre que les parents laissant crever leurs enfants de faim sont des ordures qui doivent être condamné pénalement pour leur crime ta morale anomique libérale on n'y adhère pas car profondément immorale!

Sinon vous êtes coupables d'agression envers les milliers de gens qui sont morts de famine ces dernières années? Alors, vous allez me dire, c'est différent s'il s'agit de SON enfant. Moi je pense que ça ne tient pas sur le plan logique.

Putain ton fanatisme libérale t'a définitivement grillé le cerveau comme l'a souligné Haaa!!! on peut légitimement penser que tu es sévèrement drogué, si ce n'est pas le cas ben putain ça confirme que le libéralisme que tu essaies désepérément de nous vendre ici alors que tu ne fait que nous le rendre encore plus immonde qu'on le pensait initialement, est réellement délétère pour l'esprit humain! Ben oui on ne peut être responsable de situations qu'on ne peut pas maîtriser banane! Bon Rand m'a devancé pour la réponse! Mais franchement Getalife tu veux dire que le quidam moyen est autant responsable de la guerre civile somalienne et des famines qui en découle qu'il peut l'être en ne nourrissant pas son enfant?! Putain mais c'est pas vrai et j'imagine que si une personne perdu dans le Sahara meurt de soif on est aussi coupable de non-assistance à personne en danger autant que si on laisse crever un homme blessé au bord de la route sans même appeler les secours?! Merde en matière de logique les créationnistes n'ont vraiment rien à envier au libéraux!

On ne peut pas sanctionner l'inaction.

De fait on la sanctionne banane, t'en n'a pas marre de nier la réalité elle-même?!

Mais je pense que pour résoudre ce problème et mettre tout le monde d'accord, il existe une solution juridique qui consiste à proposer aux parents de signer un contrat dans lequel ils stipulent qu'ils s'engagent à nourrir leur enfant jusqu'à tel âge et dans ce cas, s'ils ne le faisaient pas ils seraient condamnables pour rupture de contrat.

Putain de merde! Pour information il existe déjà un contrat, un contrat social, contrat social reposant sur des normes morales et éthiques partagé par la société dans son ensemble, contrat social qui plus est officialisée par la Loi et protégée par l'État! Pas besoin de signer quoi que ce soit on y est tous soumis et on nous inculque tous le fait qu'on est responsable de l'enfant que l'on met au monde via notre éducation et notre socialisation! Non mais sérieux Getalife continue comme ça ne change rien je vais faire une méga-compile de tes énormité pour la postérité afin de montrer les effets dévastateurs du libéralisme!

katou

J'aimerais bien que la morale et la loi soient liés mais malheureusement ça n'est pas le cas.

En effet, ce qui est légal n'est pas forcément moral.

http://www.zenit.org/fr/articles/suisse ... es-eveques

der-richter

C'est trop gros pour ne pas être du troll...

hans

C'est trop gros pour ne pas être du troll...

C'est un cas qui rentre de ce que certains appellent «La Loi De Poe»! Pour ma part ayant déjà aperçu ce type dans un autre forum me semble-t-il, je pense qu'il s'agit d'un réel idéologue libéral, un idéologue tellement fanatisé qu'il ne jure que par ce que lui enseigne sa doctrine assoyant son noble postérieur sur tout ce qui n'entre pas dans son idéologie chérie même ce qui est du registre de la simple réalité! Mais c'est vrai que ce genre d'individu fanatisés ont atteint un tel stade de déliquescence intellectuelle qu'ils sont souvent indissociables des trolls les caricaturant en se mettant dans le rôle de ces derniers! Il faut dire que les idéologues fanatiques sont des caricatures eux-mêmes!

getalife

Ce n'est pas du trollage. Hans, tu parles du consentement face à l'impôt et du pseudo contrat social. Je crois que Rousseau t'a "grillé" le cerveau comme tu dis. L'impôt n'est pas consenti. S'il était consenti, il n'aurait pas besoin d'être obligatoire et coercitif. Ce concept de l'impôt consenti est absolument grotesque. Il a été inventé par les étatistes pour justifier le racket des contribuables. Ensuite, pour en revenir à cet argument sur la responsabilité. La responsabilité ne peut pas s'appliquer dans le cadre de la non-assistance à personne en danger. Est responsable, celui qui cause la mort d'autrui. Pas celui qui s'abstient de l'empêcher. Sinon à ce compte là, vous voyez quelqu'un dans la rue avec un panneau "j'ai faim, je n'ai pas mangé depuis 1 semaine" et vous êtes dans l'obligation de lui donner à bouffer ?

getalife

C'est trop gros pour ne pas être du troll...

Tu es très doué pour l'invective, beaucoup moins pour le raisonnement.

knulp

C'est trop gros pour ne pas être du troll...

Pas plus gros que deux hommes qui ont un enfant par mère porteuse ou par changement de sexe

http://french.news.cn/photo/2010-01/28/c_13154906.htm

C'est le progrès, si tu fatigues en route, tu es bon pour être rééduqué.

« Page précédente Page suivante »